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    Sherlock Holmes
    Sherlock Holmes
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    Emploi : Détective privé
    DC : War || Edgar A. Poe
    Crédits : James B. Barnes || Marvel
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    @[John H. Watson]

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    Et la voilà, la parole de trop. Cette parole qui fait bondir John, qui repousse sa tête assez brusquement. Et il se lève. Et il se met dos à lui. Et puis il le pointe du doigt. Et il le regarde avec un air accusateur. Toutes ces pensées simples, descriptives, cognent dans la tête douloureuse de Sherlock. La déception dans son regard, la tristesse, le vide, toutes ces choses passent dans les yeux pourtant si bleu de John, yeux qui maintenant reflètent une tempête assez violente, un temps très orageux. Le détective ne dit rien. Il vaut mieux qu'il garde le silence, simplement parce que John est tellement remonté contre lui qu'il ne l'écoutera même pas. Il le sait. Il n'a pas besoin d'être un excellent observateur pour le savoir. Le blond élève la voix. Le blond crie. Ce blond qui garde constamment son calme en toute circonstance, qui prétend que tout va bien. Sherlock sait qu'il mérite que John lui crie dessus, parce qu'il sait aussi que ça peut faire du bien au blond d'exploser. Du moins à son sens, ce qui n'est pas le sens de tout le monde évidemment. Alors il se tait, il prend tout pour lui et garde le silence, la gorge serrée, un noeud à l'estomac. Mais surtout, John pleure. Sans doute la seule chose qui serre davantage le coeur de Sherlock, qui ne peut pas se lever pour le serrer contre lui. Le médecin l'enverrait par terre instantanément. Et puis le fait d'aller finalement se faire foutre. Tout ce qu'il mérite de toute façon. Et puis le bruit de la chaise qui va s'écraser avec fracas. Et puis la solitude, brutale, froide, le silence revenant dans la maison. Bien que dans la tête du brun, tout continue d'hurler et de crier. Dans un maelstrom assez terrible dans lequel tout se mélange, se croise, se mêle. Et puis finalement, un sanglot étranglé. "It’s not my fault... It's Doyle's fault..." Sherlock se lève lentement, bien conscient que personne ne l'écoute, personne ne l'entend. Il se lève, laissant tomber les plaids, pour aller ramasser la chaise en silence, avant de serrer ses bras autour de lui dans une attitude vaine de se protéger. "Everything is... his fault..." Il murmure, ses bras retombant le long de son corps, avant qu'il ne se rende dans sa chambre avec la ferme intention de se droguer suffisamment pour déconnecter son cerveau. Puis, quand il arrive devant le fait presque accompli, il se ravise, sans savoir pourquoi. Se rhabillant sommairement, attrapant seulement un short et un t-shirt, Sherlock retourne dans le jardin pour observer le ciel sans rien faire, en attendant le retour de John, ses bras entourant ses genoux.
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    John H. Watson
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    S’il s’était concentré ne serait-ce qu’un petit peu, s’il s’était calmé juste l’espace d’une seconde avant de tout envoyer valser et de quitter la porte en claquant la porte relativement fort, sans doute John aurait-il réalisé ses paroles qu’il n’a pas entendu avant de s’enfuire de cette maison. Bien sûr que ça n’est la faute d’aucun des deux hommes et uniquement celle de cet auteur qui, deux cent ans plus tôt, a jugé bon de mettre fin à leurs aventures par le meurtre du détective, laissant John en vie, et triste à en mourir. Bien sûr qu’au fond de lui, le médecin en est plus que conscient mais voilà le problème de John, surtout. Il est coincé dans son passé, incapable de s‘en défaire, pour le moment. C’est quelque chose de beaucoup trop ancré et, trop fier, il n’a surtout jamais demandé d’aide psychologique pour régler ces choses qui ne se sont jamais réglées en trois années. Pourtant, ça aurait forcément été une bonne chose, arrive finalement à penser le blond lorsqu’il finit par s’asseoir sur un banc du parc, buvant dans une bouteille qu’il vient juste d’acheter. Oui, ça pourrait être une bonne chose que de se faire aider. Parce que cette colère; c’est celle d’un traumatisé qui angoisse dès qu’on en revient au sujet sensible. D’un soupir, l’ancien militaire finit tout de même par repartir courir une heure ou deux, assez pour s’épuiser. Il en profite également pour faire un détour à l’hôpital, pour aller déposer sa démission. Puis, un second détour au cabinet pour prévenir son apprenti qu’il sera le seul titulaire de l’endroit, maintenant, le seul à travailler. Calmé mais le coeur brisé de devoir faire une chose pareille tout en ayant conscience qu’il n’a pas vraiment le choix, John se remet tranquillement en chemin vers la maison. Parce que Sherlock va commencer son sevrage et qu’il aura besoin de toute l’attention de John. Et ce dernier sait également qu’il n’acceptera rien de personne, si ça ne vient pas de son… de son quoi d’ailleurs ? Un soupire au bord des lèvres, il finit par pousser la porte d’entrée, sans chercher des yeux son aimé. Non, il est toujours en colère contre lui. Une douche puis il va dans la cuisine pour s’occuper nerveusement du dîner. Après tout, aucun des deux n’a rien avalé depuis la veille.
    ‘Come, Watson, come!’ he cried. ‘The game is afoot. Not a word! Into your clothes and come!’
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    Sherlock Holmes
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    Et il réfléchit, et plus il réfléchit, moins il trouve de réponse, moins il trouve de logique, moins il... Il quoi d'ailleurs ? Sherlock ne trouve plus rien. Sans comprendre comment, il est toujours profondément conscient de ses pensées qui le harcèlent, mais il fixe le ciel d'un air tellement vide qu'on peut même se demander s'il pense à quelque chose actuellement. Jamais John n'a élevé la voix sur lui. Jamais. A aucun moment. Cette fois était la fois de trop. Il se sent profondément saigner à l'intérieur, comme des plaies qui ne veulent ni se soigner, ni se refermer. Des plaies béantes, tout simplement. Resserrant ses bras autour de ses jambes, elles-même serrées contre son torse, beaucoup trop de choses se passent dans sa tête. Comme d'habitude. C'est quelque chose de récurrent. Tout le temps, tout le temps, tout le temps. Mais cette fois c'est différent. Car quelque chose s'est brisé en mille morceaux en lui. Et il plante ses ongles dans sa jambe en pensant au sevrage. Au fait que tout va s'empirer. Il plante ses ongles profondément au point de se faire saigner, ne grimaçant même pas de douleur. Ca ne lui fait plus rien, comme si brutalement plus rien n'a d'importance. Ni lui-même, ni son boulot de détective, ni rien. Sa vie est juste une immense blague à laquelle il n'a même plus la force de rire. Ni même de sourire. Un immense poids lui fait courber l'échine, un poids qui s'alourdit de jour en jour, au point de lui casser lentement le dos. Petit à petit. Puis il pose son front contre ses bras, contre ce bras métallique qui refroidit son front moite et bouillant. Peut-être qu'il devrait faire comme John. Fermer sa gueule, sourire et dire qu'il va bien. C'est peut-être la seule chose à faire pour continuer à avancer. Même si Sherlock ne veut plus avancer, chaque pas devient de plus en plus difficile et il se sent sur le point de craquer. Alors plutôt que d'imposer sa présence à son compagnon, il reste tout seul dans le jardin, à fixer de nouveau le vide sans bouger malgré ses jambes ankylosés par la position assise. C'est mieux ainsi.
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    John H. Watson
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    En roulant des yeux, John réalise que Sherlock ne va non seulement pas rentrer; mais qu’il est sûrement prêt à se laisser mourir dehors, ce crétin. La rage monte de nouveau à l’idée qu’il faut toujours, toujours être en train de s’occuper de lui. John est fatigué de ça, fatigué au point où il regarde sérieusement la porte d’entrée, se demandant s’il ne vaut pas mieux partir d’ici avec une valise et une chambre d’hôtel en attendant de trouver autre chose. Mais non, ça n’est pas possible. Il suffit de voir l’état du détective, il en mourrait dans les jours qui suivent. Avec un soupire résigné, John se dirige à l’extérieur et attrape son aimé sur son épaule, comme un enfant que l’on rentre à la maison.

    — Can you please act like a grown-up just once ?

    Pourtant cette fois, le ton n’est pas particulièrement accusateur ou mesquin. Ca n’est pas méchant, juste une petite référence à leurs aventures d’autrefois, quand ils ont été amené au palais de la Reine pour récupérer des photos compromettantes. Saleté d’Irène Adler. Pourtant le blond ne grimace pas et une fois Sherlock rentré, le dépose une nouvelle fois sur le canapé et l’enroule dans les deux plaids. Avant qu’il ne trouve une nouvelle idée ingénieuse pour s’enfuire d’ici, John roule des yeux et va fermer a clef la porte de la baie vitrée. Il reste encore toutes les issus de la maison mais au moins, la plus évidente est bloquée. Parfois, John a l’impression d’avoir affaire à un chat. Puis il vient récupérer la tasse toujours pleine de Sherlock, la réchauffe au micro-onde et rapporte le liquide chaud avec une assiette d’oeufs brouillés. Le tout, accompagné d’un regard que l’on ne refuse pas. Puis il s'assit à terre, allume la télévision et grignote dans son assiette à son tour. Courir, démissionner, pleurer; c’est que ça lui a donné faim.
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    Même quand il ne fait rien, Sherlock est gênant. Il s'en rend particulièrement compte quand John vient le chercher, qu'il lui parle, lui demande de cesser d'agir comme un enfant. Le brun accuse le coup et se contente de se lever en silence pour le suivre. Parler, protester, se disputer encore une fois, provoquer la colère ou les larmes de son aimé... C'est toujours comme ça que ça se termine. Et pour une fois qu'il veut rester seul pour ne déranger personne, ça ne va pas non plus. Ca ne va jamais à vrai dire. Parce que tout est de sa putain de faute, à lui, Sherlock Holmes. Pourtant il reste silencieux, ne réagit pas. Ne veut pas enfoncer davantage le clou. Et le voilà de nouveau assis sur ce foutu canapé avec ces foutus plaids sur le dos, ce foutu thé et ces foutus oeufs brouillés sous son nez. Tout le dégoûte. Il sait que son ventre ne va pas supporter tout ça parce qu'il est très contrarié, qu'il a la gorge serré, l'estomac noué. L'esprit vagabondant entre souvenirs et culpabilité, le brun n'a pas besoin de croiser le regard de son compagnon pour capter le regard de celui-ci, qui n'admet aucun refus. Lentement, il prend sa tasse pour boire. John a bloqué la baie vitrée. Il l'empêche de sortir maintenant ? Quelle importance après tout. Être enfermé chez les fous, c'est là où il devrait aller. Baissant les yeux vers John un instant, il prend l'assiette pour commencer à manger lentement, se forçant à avaler quelque chose même s'il n'en a aucune envie. Parce qu'il n'a pas envie d'entendre une autre remarque de la part de John. "Not bad." Il économise ses mots pour ne pas provoquer un nouveau conflit, complimentant seulement le repas.
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    John le sait, Sherlock n’est pas doué pour ce genre de chose. Il sait très bien que le détective n’excèle pas dans les situations sentimentales et lui-même se fustige de lui avoir parlé comme ça. Ca n’est pas sa faute, après tout. Au bout de quelques secondes de silence, il parle par-dessus la télévision.

    — It wasn’t your fault. Reichenbach. It wasn’t your fault. I’m sorry about what I said… to be honest with you, it all started yesterday because I got scared suddenly. I … I imagined you could suicide yourself because of the weaning. And… imagine a world without you wasn’t possible for me. I asked you to marry me because of that.

    Il parle une pause, cesse de parler et avale une bouchée, sans quitter la télévision des yeux. Se confier, d’accord, yeux dans les yeux, jamais de la vie.

    — I spent my life waiting for you or being with you. I guess I’m just afraid about what’s coming… I don’t want something happen to you. And I know I’ve been stupid last night because I know how you are, Sherlock. I understand you conception of love but… I thought I only was as object for you. Useful and nothing more. I thought… you didn’t love me. I mean… how could you love me. I’m a jackass, not even a good doctor. I’m just… here. Useless.

    La fourchette de John s’est reposée doucement sur la table alors que ses épaules se mettent à trembler. Il baisse la tête.

    — I… I’m not okay…
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    John se confie et Sherlock l'écoute. Toutes ces craintes, il les confie enfin. Et un sourire, tremblant, jaune étire ses lèvres quand il entend le constat finalement. Il ne sait pas aimer, c'est tout ce qu'il retient, parmi tant d'autres choses. Mettre une pression énorme sur les épaules du médecin qui, chaque jour, supporte tout sans faillir. Sherlock dépose son assiette à peine entamée, avant de tendre le bras pour caresser la nuque de son homme en le regardant, ne cherchant pas à capter son regard. "I thought about suicide. Especially right now. But I'm such a coward." Et en tant que lâche, le détective y pensera sans jamais rien mettre à exécution. Cette fois, les doigts du brun se perde dans les cheveux blonds de son compagnon. "If you are a jackass, I'm an asshole, John, for making you think of all this. You're not an object for me, you're not useful." Le détective retient un soupir. Il parle très doucement, comme une confidence, comme s'il ne voulait pas que quelqu'un d'autre que John n'entende ces mots. "Everyone loves you, appreciates you. You're an excellent doctor but you don't see that." Le regard de Sherlock fini par se perdre, secouant légèrement la tête avant de regretter son geste, nauséeux. "I love you John. You know how I am. D'you think I'm lying when I say to you 'I love you' ?" Avant qu'il ne finisse par le frapper à l'arrière du crâne, gentiment, n'ayant pas envie d'y aller trop fort, loin de là. "And if you keep saying you're useless, no matter how much you're an ex-soldier, I'll kick your ass."
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    John n’aime pas se confier. C’est un fait avéré, il est un soldat avant tout et les soldats n’ont pas le temps de se plaindre sur le terrain, ni même après. John, dans sa vie, il est rentr d’Afghanistan avec un genoux en miettes et une épaule amochée, puis il a rencontré Sherlock et sa vie a démarré; celle des romans. Alors il n’a jamais vraiment eu le temps d’avoir la moindre aide psychologique. Une vie terminée sur le champ de bataille, puis il est revenu à la vie ici, sur Insomnia et ses interminables batailles. Et puis maintenant ? Maintenant, tout est confus, tout est étrange. Il se retrouve dans cette relation avec cet homme qu’il a toujours aimé, qu’il a toujours admiré et chéri profondément mais ne sait pas comment lui parler, comment l’aider. Et c’est là qu’une pensée s’allume encore dans sa conscience. Comment peut-il aider Sherlock à aller mieux quand lui-même ne va pas bien ? Il soupire légèrement mais de bonheur, lorsque cette main touche sa nuque. Chaque personne qui oserait dire que Sherlock Holmes ne sait pas rassurer un homme, John le passerait à tabac sans aucune hésitation. Cet homme est capable du meilleur, il en est persuadé et ce dernier le lui prouve en cet instant même. Alors il écoute sagement, réprime un frisson lorsque le détective parle de suicide et vient poser une main sur celle de ce dernier, se tournant finalement vers lui avec un sourire. Ses lèvres sourient mais ses yeux pleurent; de larmes qui ne veulent pas couler, pourtant. John, pour la première fois depuis une éternité, laisse tomber son masque. Il se laisse voir tel qu’il est vraiment; un homme abîmé par la vie.

    — I believe you. I know you, and I believe you.

    Lentement, il se redresse sur ses genoux et vient coller une main dans le cou de Sherlock pour le rapprocher, et ainsi unir leurs lèvres dans un baiser amoureux. Tendre. La dernière phrase, cependant, le fait ricaner doucement, posant son front contre celui de son aimé.

    — I’d like to see you try.
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    Pour la première fois, Sherlock a rassuré quelqu'un, au lieu de l'enfoncer et l'achever à grand renfort de pelle invisible. Pourtant il ne se sent pas bien mieux. Certes c'est un bon pas vers la suite mais... Mais quoi ? Combien de temps il lui faudra pour piétiner John de nouveau, même en faisant attention ? Oh, que le brun aimerait lui dire de ne pas trop s'enflammer mais... Ce sourire qu'il lui rend, malgré ses yeux qui reflètent un sentiment contraire, lui réchauffe ses petits bouts de coeur éparpillés dans sa poitrine. L'ancien soldat l'autorise enfin à le voir tel qu'il est, cet homme véritable sans masque, sans frontière, sans barrière. A cet instant, Sherlock oublie qu'il est Sherlock, et il oublie que John est John. Qu'ils ne sont que deux hommes, quelle que soit leur nationalité initiale. Deux hommes, simplement complexes, qui se disent des vérités dans l'intimité la plus totale. Ils se découvrent. Avouent leurs peurs, leurs ressentis. Une communication qui n'est jamais intervenue entre eux. Notamment de la part de John, car Sherlock, au fond de lui, n'en pouvait plus de ne pas savoir réellement ce que pensait son homme. A être dans le doute le plus total, à imaginer les pires choses possibles - même si certaines d'entre elles se sont avérées exactes. Puis ces lèvres sur les siennes, dans un tendre baiser retrouvé, quelque chose d'exquis et de court, mais suffisant pour faire passer un message silencieux, message qu'intercepte Sherlock, qu'il peut s'amuser à décrypter. Et ce front plus frais contre le sien brûlant, dans une complicité retrouvée. Un petit ricanement, une petite phrase, comme si les choses dites étaient déjà derrière eux, qu'ils allaient recommencer comme avant, mais en ayant beaucoup plus de paramètres en compte. Le détective se sent un tout petit peu mieux. Parce qu'il craint le moment où les choses vont recommencer à se dégrader. Bien qu'il ne veuille pas y penser pour le moment. "I'll try, don't worry about that. I'm persistent." Ne pas penser au pire tout de suite, se concentrer uniquement sur les bonnes choses de l'instant.
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    — I’m sure you will.

    Le petit ricanement persiste et finalement, John se redresse en attrapant son assiette pour venir s’asseoir près de Sherlock, sur le canapé. Il pique un bout d’omelette qu’il fait semblant de vouloir faire avaler à son amant; essayant de le forcer à grignoter même un peu. Au bout d’un moment, il fronce les sourcils, vient poser son front sur celui de son aimé et soupire en remarquant que ce dernier est brûlant. Probablement ces deux journées passées dehors qui jouent en sa défaveur. Immédiatement, le Médecin revient sur le devant de la scène, laissant l’Amant se reposer.

    — I will examine you, okay ?

    Sans attendre la réponse, John revient avec ses instruments. Il lui prend sa température -avec cet appareil que l’on glisse dans l’oreille l’espace de quelques secondes; 39.5°C, puis test son poul en glissant deux doigts contre l’intérieur de son poignet. Ensuite, John vient lui prendra la tension -7, petite tension- pour finalement ranger tout ça.

    — Bon, ça n’est pas grand chose, mais la bronchite peut devenir asthmatiforme si t-...

    John réalise soudainement que son charabia de médecin n’est probablement comprit que de lui-même.

    — Mh. Ca n’est qu’une petite bronchite mais elle peut devenir beaucoup plus grave si tu ne te reposes pas. Alors je vais aller te faire une soupe; ne fais pas semblant, je sais que tu adores la soupe aux pomme de terre; on va te mettre au lit et j’ai une petite surprise pour toi.

    En attendant que Sherlock daigne aller se mettre sous les couettes, John lui désignant sa propre chambre avant de disparaître dans le garage, il revient trois quarts d’heure plus tard dans ladite chambre avec un plateau, des cachets pour la fièvre, une soupe bien chaude et surtout, une boîte en carton contenant les plus grandes énigmes de ce monde. Des énigmes que John a cherché sur Internet pendant des longs moments d’ennuis.
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    Que John revienne près de lui, c’est une chose que Sherlock désirait mais refusait de demander. Parce qu’il savait qu’il fallait du temps à son aimé pour faire le point et digérer tout ça. Quand le médecin revient poser son front contre le sien, le détective comprend que son amant a compris. Et Sherlock tente - en vain - de le retenir. « I’m fi-... » Trop tard, John est déjà parti chercher tout son matériel de l’enfer. Comme un enfant de quatre ans, Sherlock fait la moue quand John prend sa température, son rythme cardiaque, la tension. Vu le caractère d’excité du détective, c’est étonnant qu’il soit avec une tension aussi basse. « Asthmatiquoi ? » Le brun a plissé les yeux, méfiant, en regardant son compagnon. Puis prend un air profondément outré quand il se ravise pour lui expliquer comme à un enfant. Son air devenant de plus en plus outré devant John qui le traite littéralement comme un enfant. « Hé mais... » John ne lui laisse le temps de rien, même pas de protester. Oui il adore la soupe aux pommes de terre et oui il en avalerait des litres... mais il boude en croisant les bras. Les premières minutes, il bouge pas, toujours outré - d’un point de vue extérieur c’est très drôle à regarder -, puis il se lève en marmonnant, traînant ses plaids sur son dos avant d’aller s’installer dans la chambre de John, s’enfoncer sous la couette, toujours enroulé dans ses couvertures, télécommande en main. « Gnagnagna je m’appelle John Hamish Watson et j’traite Sherlock comme un enfant en l’envoyant au lit comme s’il avait quatre ans... » Il marmonne en zappant, une moue boudeuse sur le visage. Il jette un regard boudeur vers John quand il revient enfin après presque une heure à le laisser seul, et le détective n’a pas bougé, regardant une série policière totalement aléatoire. Ça le fait aussi bouder parce qu’il a déjà trouvé qui est l’assassin de l’épisode.
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    — Les soupes aux pomme de terre ne sont pas pour les hommes qui boudent !”

    Parce que forcément, John l’a entendu en passant la porte de la chambre qu’il laisse néanmoins ouverte. Il se rapproche du lit, un sourire un peu moqueur du bord des lèvres. Oh il ne l’avouera pas, mais il préfère largement voir son aimé comme ça. Un Sherlock qui boude est un Sherlock à peu près normal. Le médecin le voit même jeter un oeil à la télévision et s’en détourner très rapidement, signe qu’il a déjà probablement comprit tout ce qui allait se passer dans l’épisode. John dispose sur le plateau un bol de soupe avec plusieurs morceaux de pomme de terre dedans -il y a aussi du beurre, quelques feuilles d’épinards et l’ingrédient secret du blond; des oignons et du paprika- puis une tranche de pain aux céréales. Puis il tend le plateau devant Sherlock, attendant qu’il s’assoit correctement pour le lui déposer sur les genoux.

    — Mais comme tu es aimé par l’homme qui prépare le mieux cette soupe dans toute la ville, je concède à t’en donner un peu ~

    John ricane bêtement, maintenant. Il se permet même de piquer un morceau de pomme de terre directement dans le bol de Sherlock, avant de sortir un instant de la chambre s’en préparer un peu. C’est qu’elle est drôlement bonne, cette soupe. John vient ensuite s’asseoir aux côtés de son aimé, fixant la télévision en mangeant tranquillement.

    — ...tu as deviné qui était l’assassin, n’est-ce pas ? Je pense que c’est le jardinier. Il est suspect.
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    « Les soupes aux pommes de terre sont pas pour les hommes qui boudent, gnagnagna... » Il croise les bras en s’enfonçant davantage dans l’oreiller, faisant un peu plus la moue. Il sait que John se moque gentiment, du genre tendrement moqueur, ce vil manant. Il le voit son sourire scotché au visage. « Ça m’amuse de parler d’asthmatitruc juste pour le voir perdu et après je lui explique patiemment comme un enfant que c’est juste une bronchite plus grave, gnagnagna... » Il marmonne dans sa barbe, se redressant quand même pour que John puisse déposer le plateau, lui jetant un regard un peu blasé quand il l’entend se jeter des fleurs à ce point. « ...Les chevilles, ça va ? » Il ricane légèrement, amusé. John s’amuse beaucoup et ça pourrait presque l’attendrir. Presque. Mais il se plaît dans cette situation, vraiment. Et c’est avec un certain plaisir qu’il mange tranquillement sa soupe - qu’il adore, il ne le nie vraiment pas. Et il tourne les yeux vers son aimé quand il revient pour s’installer près de lui. Instinctivement, Sherlock se rapproche de lui pour toucher son épaule avec la sienne, et froncer les sourcils en entendant sa théorie. « Mais pas du tout c’est bien trop évident. C’est la petite amie du jardinier. Son frère est avocat et son copain est déjà suspect, ça lui laisse le temps d’agir dans l’ombre. » Et, fier de sa théorie, il mord dans le morceau de pain.
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    Soudainement, une pensée éclaire John comme une lanterne bien lumineuse. Aux vues de ce qu’ils viennent de faire la veille, aux vues de la fièvre qu’a Sherlock, il y a de grandes chances que lui-même se retrouve malade dans les jours à venir. Parce qu’il est également conscient qu’il n’y a rien de dire qu’un médecin malade; ce dernier voulant se soigner lui-même et refusant, bien sûr, toute aide extérieure. Il entendrait presque d’ici les grognements de Rick, son bras droit, essayant de lui donner divers médicaments que le blond va bien sûr refuser de prendre. Cependant il n’en dit rien, ricanant doucement à la bouderie de Sherlock. Ca, c’est leur dynamique. Et ça fait du bien de la retrouver. C’est quelque chose de connu, un terrain fiable sur lequel l’ancien militaire se plaît à avancer. Il n’y a pas à avoir peur des disputes, ici; seulement le brun qui boude et va encore bouder quelques temps jusqu’à ce que son attention soit détournée par autre chose. C’est comme ça que ça fonctionne entre eux, et John a la sensation d’avoir retrouvé leur petite bulle hors du monde rien qu’à eux. Épaule contre épaule; un geste qui ne lui passe pas inaperçu mais dont il ne fait aucun commentaire si ça n’est ce sourire un peu idiot à son visage, il grignote tranquillement, appréciant sa nourriture mais surtout, appréciant grandement le fait que son amour de détective mange enfin. Une maigre victoire, mais un victoire tout de même. Pour l’y encourager, il dépose un baiser dans son cou, détournant ensuite son visage vers la télévision.

    — Mh ? Mais elle a l’air si innocente ! Regarde, elle donne aux bonnes oeuvres, ça m’étonnerait qu’elle soit si méchante. Elle ne peut pas avoir tué le boulanger !
    ‘Come, Watson, come!’ he cried. ‘The game is afoot. Not a word! Into your clothes and come!’
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    Sherlock se sent terriblement bien. Il se fiche bien de savoir que la terre tourne autour du soleil, se fout des problèmes dehors, se fout bien de tout ce qui n’est pas John en ce moment. L’estomac toujours aussi noué’, il ne mange que parce que c’est quelque chose qui lui fait plaisir, pas par faim en particulier. Même s’il est visiblement malade - à ses yeux il va bien -, selon le médecin de son cœur. Et pour une fois il ne le conteste pas, ni lui, ni sa décision de l’envoyer au lit comme on envoie un enfant au lit. Le brun sent ses épaules enfin détendues, relâchées dans une position plutôt relax contrairement à d’habitude. Un frisson quand John lui embrasse le cou. Rien n’indique qu’ils se sont engueulés assez brusquement quelques heures auparavant. « Et alors ? Justement le fait qu’elle soit si parfaite ça montre qu’elle est coupable. Regarde ses gestes. Ils sont pas assurés, nerveux. » Le détective tourne les yeux vers lui. « Regarde-moi, j’ai une gueule d’ange et j’ai l’air gentil, c’est pas pour ça que je le suis. » Ça lui fait vraiment plaisir de parler de quelque chose d’affreusement banal. Ça montre leur complicité de toujours. Tout ce qu’il aime entre eux tout simplement, et bien plus encore.
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    C'est vrai que ça fait terriblement du bien, d'être revenu à cette normalité bien étrange qui les caractérise. Cette chose si normale qui fait fondre le coeur de John. Ce dernier, les yeux rivés vers la télévision, tente de percer mystère de ce film qui a vraiment l’air idiot tout en piquant une pomme de terre de sa fourchette pour la diriger vers les lèvres de son aimé.

    — Toi ? Une gueule d’ange ? Sherlock, quand tu es énervé, tu es le diable en personne et je suis bien placé pour le savoir !

    La réplique fait rire le médecin qui vient de nouveau se concentrer sur l'écran. C'est la que ça le frappe. Venu de nul part, une pensée futile qui fait vibrer le bout de ses doigts qu’il ramène rapidement contre lui alors que son coeur martele sa poitrine. Oh mon dieu. Il aime cet homme. Plus que l'aimer, John a surtout la sensation de n’avoir jamais vraiment aimé qui que ce soit d'autre à ce point. Sherlock Holmes est l'homme de sa vie et tout à coup, ça sonne être comme la plus parfaite des évidences.
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    "J'ai une gueule d'ange. Je suis loin d'être moche physiquement, tout à fait entre nous. Et je peux avoir une tête adorable. Ceci dit..." Il attrape la pomme de terre entre ses lèvres avant de la manger, en toute détente. "Ceci dit, le diable quand il s'énerve, c'est toi ici. C'est pas moi. Et j'suis tout aussi bien placé pour le savoir." Il fait légèrement la moue avant d'avoir un sourire franc et amusé qui étire ses lèvres, posant sa tête contre celle de son compagnon, et lui embrasser tendrement la mâchoire. "Mais dis-moi Sweetheart... Tu risques de choper ma bronchite, aussi." Le brun relève un oeil vers lui, laissant sa main de chair chercher celle de John pour entrecroiser leurs doigts. Sherlock a tellement eu cette peur profonde et viscérale d'avoir perdu le blond définitivement, c'est lui qui recherche un contact qui le dérange tant d'habitude. Chercher à sentir sa présence, sa peau, la chaleur de sa peau. Et en prenant la main de John, il se détend davantage, même s'il a les doigts presque aussi froids que sa prothèse. Ca lui prouve quelque part... Qu'il aime bien plus profondément John qu'il ne le laisse entendre. Qu'il n'a pas besoin de comprendre cette partie de lui-même au final. Du moment qu'il lui montre... D'une manière ou d'une autre, spontanément... Ca vaut plus que mille ans de réflexion.
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