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  • période : printemps 2023
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    Anonymous
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    Mini-event : Première attaque
    La nuit venait de tomber sur la ville silencieuse, le couvre-feu imposé par le nouveau maire était violé uniquement par les plus courageux, mais ce soir était un soir particulier. Ce soir les forces du maire au pouvoirs attaqueraient. Ce soir ils étaient bien décidé à décimer les forces encore du côté d'Elohim. Aussi le raid fut lancé dés que le soleil eut quitter la terre. Le silence était presque insupportable, l'air irrespirable et chacun attendaient les commandements des leaders du groupe. Quand le signe vint, ce fut la guerre. Les cris déchirèrent le silence tandis que les portes protégées du quartier général de l'ordre explosaient, laissant déferler les attaquants par son trou béant. Sauvez vos vies, prenez celle des ennemies, c'est à vous de choisir ce que vous ferez dans ce chaos.

    [HRP] Vous l'aurez compris, c'est une attaque d'Irae, aussi nous aurons besoin de membres deux groupes pour mener ce mini-event. Les tours seront déterminé une fois les inscriptions closes, cependant nous avons des quotas pour ce mini-event aussi nous demanderons 5 membres d'Irae et 5 membres de l'Ordre. Pour ce faire, contactez moi (Devil pour ceux qui dorment au fond) par mp ou par discord pour dire que vous voulez participer et ... nous avons décidé d'instauré un système de dés, nous allons donc faire un jet d'initiative par personne pour déterminer l'ordre de passage, ce qui donnera l'avantage à Irae ou Ordre selon les dés. Ensuite les actions de combat seront déterminé au choix soit au dés pour savoir si elle "touche ou non" soit en vous arrangeant entre vous si vous ne voulez pas faire face à la toute sainte vérité des dés. Vous ferez le nombre de poste que vous voulez mais ils seront limité à 600 mots pour éviter les débordements ! Evidemment vous ne pouvez pas tuer vos adversaires[HRP]

    Participants :

    Ordre :
    • Sherlock Holmes
    • Murasaki Shibiku
    • Stéphane Mallarmé
    • Tiamat
    • Victor Hugo

    Irae :
    • Lucifer -Leader-
    • Chat Noir -Forme démoniaque-
    • Puss in Boots
    • Cerbère -forme chien à trois tête-
    • Arsène Lupin

    Blessures acceptées :

    Sherlock : Tout est accepté
    Murasaki : Tout sauf amputation
    Lucifer : Tout est accepté
    Chat noir : Tout sauf amputation
    Puss : Tout est accepté
    Cerbère : Tout sauf amputation
    Stéphane : Tout est accepté
    Arsène : Tout sauf amputation
    Tiamat : Tout sauf amputation
    Victor : Tout sauf amputation

    Ordre de passage :

    Tiamat : 1
    Murasaki : 2
    Victor : 3
    Puss : 4
    Sherlock : 5
    Lucifer : 6
    Arsène : 7
    Chat : 8
    Stéphane : 9
    Cerbère : 10
    Anonymous
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    • L'Ordre
    • Irae
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    Event
    Tout s'était déroulé très vite.

    Le soleil qui se couche, l'obscurité qui recouvre le monde d'un linceul silencieux, puis l'éclat. Le premier cri, là, dehors. Puis la marche des soldats, le tumulte des corps qui s'élancent, les hurlements qui les accompagnent. Le bruit des bottes.

    Dans le QG, les muscles s'étaient raidit. Les ventres s'étaient noués. Et le monde avait cessé de tourner en attendant l'impact.

    Boum. Boum. Boum.

    BOUM

    Les portes explosèrent. L'une d'entre-elle vola à travers l'entrée et Tiamat préféra ne pas attendre plus longtemps. Se détournant de la violence des membres désarticulés par le choc du corps à corps, le vieux dieu se lança dans sa course. Tenant son pied-de-biche, tête fièrement en l'air et ses armes poudreuses à la ceinture, il s'élança à travers le bâtiment abandonné.

    Il devait suivre les directives de Victor. L'auteur savait ce qu'il faisait. Ils n'avaient pas eu beaucoup de temps pour réfléchir, mais lui, il avait ce que Tiam n'avait pas. Une tête pensante et un esprit bien remplit.

    Tiamat, était depuis longtemps bien trop vide. Et l'occasion venait enfin de laisser déferler la violence de l'ancienne créature, la rage de l'océan en furie. Ses poings n'avaient jamais été aussi serrés et le malade était loin d'être terrifié. Bien au contraire, il était d'un calme olympien et il songeait que c'était surement grâce à son huit de tension permanent, que Victor Hugo lui avait confié cette mission.

    A effectuer rapidement, si possible.

    Alors il cessa de tragiverser. Sa course régulière se changea en celle d'un véritable héraut et il avança sans crainte.

    Bientôt, des têtes perdues d'Irae croisèrent son chemin. D'abord quelques-unes. Puis plus encore. La première tête finit défoncée contre un mur. D'autres suivirent. Le pied de biche se couvrit de sang neuf et le sourire de Tiamat éclaira son visage. Exclusif et satisfait.

    Il ne mit pas longtemps à arriver dans la salle qui l'intéressait. Le matériel était là. Tout était présent.

    Alors il sortit son walkman, lui dit mentalement adieu et le brancha aux enceintes. Puis, d'un mouvement du pouce, il lança la playlist et les deux morceaux préparés pour les suivre dans la bataille. Les enceintes lui hurlèrent dans les oreilles et les personnes alentours, lui compris, perdirent cinquante pourcent d'audition.

    Puis il se releva, secoua sa tignasse blanche perlée de gouttes rouges et s'en retourna dans la salle principale en courant. Il murmura de contentement, sa mission ainsi accomplie.

    "Musique d'ambiance, check !"

    La mêlée l'appelait. Et aussi vide et sans cœur qu'il était, Tiamat et son adrénaline n'aurait jamais abandonné ses compagnons de guerre. Aussi seul était-il, jamais il n'aurait laissé tomber ceux qui se battaient à ses côtés.
    Ceux qui allaient peut-être mourir à ses côtés.

    Tiamat retourna dans l'entrée et jeta les crochets de son arme, comme une langue bifide, contre le bras d'un adversaire. Un cri vibra dans ses tympans. Nouveau mouvement. Nouvelle violence. Chaque pas s'accompagnait d'un souffle haletant. Une balle lui effleura le bras et le malade reçut un coup dans les côtes. Il tomba un moment à terre, crachant un souffle de sang et se faisant allègrement piétiner. C'est en rampant à demi, qu'il se remit debout à la première occasion.

    Aie.

    Le dieu déchu se fraya ainsi un chemin, essuyant les coups bravement et les rendant au mieux, venant se placer dans un parterre de la pièce, en seconde ligne.

    Essoufflé, mais pas encore contenté, Tiamat se dressa, comme la divinité fière et guerrière qu'il se devait d'être. S'imposant avec dignité et hargne. Il ne crèverais pas tête basse. Son bras d'attaque lui faisait déjà mal et tremblait. Il traînait une cheville qui ne le portait plus. Mais qu'importe. Il tenait encore debout.

    Et dans la musique éclatante où s'harmonisaient les battements de son cœur, il trouva une force sans fin.

    Qu'ils viennent. L'Ordre et lui-même les attendraient.

    "On the Trail we Blaze"


    Pied de biche et joie.
    Anonymous
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    Invité
    Revelio
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    Lumos

     PREMIERE ATTAQUE
    [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

    T
    u ne sais comment c'en est arrivé là.
    Lorsque tu vois les éclats de métal et de bois briller devant tes yeux. Lorsque les premières flammes crépitent dans les airs comme un éclat de voix. Lorsque les premières armes reluisent dans la pénombre et que la lumière du jour pénètre en vague, accompagnée de cette foule hurlante.
    Tu ne sais comment c'en est arrivé là mais tu n'as pas le temps de te le demander.

    Tes poumons emmagasinent tout l'air qu'ils peuvent comprimer.
    Tes doigts enserrent leur prise, les phalanges maintenant la lance face à toi, alors que ton pied glisse déjà vers l'arrière pour prendre appui.

    Tes muscles se bandent et reluisent.
    Tes sourcils se froncent sous la concentration.
    Tu ne sens plus la douleur à la mâchoire, serrée, contractée.

    C'est que tu n'as pas le temps d'attendre, ni d'avoir peur.



    Les premiers coups claquent autant que les pans volant de tes vêtements. Ils claquent comme les muscles qui s'abattent sur une chair plus tendre, se contractent à l'effort, lorsqu'il faut défendre ton camp.
    Tu n'entends plus ton cri de guerre, Takako. Tu as la gorge déployée à chaque coup qui martèle l'air pour repousser l'ennemi, autant que chaque coup que tu reçois lorsque ton allonge a été percée par un individu plus léger et agile que toi.

    Mais tu es en première ligne et tu n'as d'autre choix que de défendre le bataillon de toute ta puissance, comme un bouclier serait capable de le faire.
    Toi qui n'a jamais cru en toi, tu n'étais plus en mesure de réfléchir.
    Il n'y a que la peine et la liberté qui te motivent.
    La peine de devoir te battre.
    Peut-être de voir des visages connus.
    Et d'être obligé de les repousser, eux aussi.

    Tu ne tues pas, Takako. Tu ne fais qu'effrayer de tes coups ceux qui tentent de s'approcher ou de toucher tes compagnons. Tu ne te rends pas compte des pertes, tu fais juste en sorte de repousser, sauf lorsqu'ils manquent de te tuer. Et là, ton rôle a toute sa splendeur.

    -Ugo-dono.... soupires-tu dans un ultime effort, ils sont trop nombreux...

    Tu commences à avoir les réflexes, tu comprends. C'est évidemment plus difficile qu'au cours d’Aïkido et de boxe, mais ça en vaut la peine lorsque tu n'es submergé d'assaillants.
    Tu n'as peur.
    Il n'y a que l'adrénaline qui fonctionne dans ce cœur dénué alors de toute forme de sentiments envers ceux qui te font face – ou presque. Il n'y a que l'adrénaline et ce flux de sang, qu'il pompe à tout rompre.
    Quelques coups partent sur tes flancs et tes épaules.
    Déjà les balafres et les plaies strient ton corps dans un nouveau dessin, peignant le tableau de la guerre. Tu as peut-être senti la douleur déchirante et brûlante de quelque chose sur le bras, mais tu ne sais quoi.

    Alors tu inspires.
    Et expires de toutes tes forces pour frapper ceux qui étaient dans le périmètre de ta lance.
    Ils deviennent de plus en plus difficiles à tenir. Ta lance toujours plus difficile à soulever.

    Le nœud blanc qui soutenait ta queue de cheval se déchire.
    Tes cheveux, en bataille, claquent eux aussi, alors que tes hanches donnent leur possible pour soutenir tes épaules déjà bien courbées.

    Tu souffres.
    La rage dans les yeux.

    Event


    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    Première attaqueTo ravage, to slaughter,
    to usurp under false titles,
    they call empire;
    and where they make a desert,
    they call it peace.
    Tacitus

    ( [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] )
    (Je ne suis pas un soldat.
    Non.
    Je suis un écrivain. Un faiseur de mots. D’histoires.
    J’écris des tragédies ; je transmets des sentiments.
    Mais je ne suis pas un soldat.
    Je ne tue pas.
    Je ne fais pas souffrir.
    Ce n’est pas moi.



    Ce n’est pas moi.)

    Tu te répétais cela depuis les derniers évènements qui t’avaient poussé à rejoindre l’Ordre. Et pourtant. Tu savais, Victor. Que le pire pouvait arriver aux partisans d’Elohim. Que peut-être il vous faudrait vous battre pour votre survie.

    (La première détonation.
    Sans grande surprise, malheureusement.)

    Les cris, lointains encore pour toi. Hurlements masqués par ces murs qui te séparent de la véritable action. Debout devant cette porte, le fusil reposant à côté de ton corps tendu, tu forces ta personne à une impassibilité froide, alors que ton regard de poète se fait algorithmique. Calculateur. Tu ne peux flancher, Hugo.


    Tiamat : Musique d'ambiance, check !


    Tu les entends, à travers l’oreillette. Ces cris. Ces coups. Puis cette musique assourdissante qui fait naitre une vague grimace sur tes traits concentrés. Et tu l’entends, Victor, le bruit de la guerre, le bruit des balles et de ceux que l’on blesse. Lueur d’inquiétude au fond de ton regard. Et pourtant. Ton expression reste impassible.

    Tu es un roc. Ils comptent sur toi.
    Tu ne peux flancher.


    Murasaki : Ugo-dono, ils sont trop nombreux...

    Hugo :
    Tenez bon.


    Si ta voix sonne calme et sereine, c’est bien pour ne pas ajouter au chaos général qui s’installe en ces lieux. Au fond de toi, un profond sentiment de frustration te taraude. Tu t’es éloigné de tes pairs dès le début de l’assaut, venant te retrancher dans cette partie à l’arrière. Pivotant sur tes talons, c’est sans un bruit que tu traverses le couloir pour venir défaire d’un geste sûr et précis le loquet à l’arrière. La porte entrouverte laisse un bref instant l’air du dehors caresser ton visage ; cet air qui n’est pas encore contaminé par le sang et la fumée.

    Demi-tour, encore une fois. Ton corps est comme en pilote automatique. Tu viens rejoindre cette pièce précédemment quittée, jetant un énième coup d’œil à l’arme avant d’ouvrir les armoires accolées aux murs. Gestes précis, rapides, mécaniques. Sortir des trousses de secours le strict minimum, l’indispensable, une bosse dans tes poches, le reste sur la table. Les coups de feu résonnent à tes oreilles avec une ardeur renouvelée. Tes mains se crispent un instant autour des bandages alors que ton cœur bat à tout rompre. La guerre. Jamais n’aura-t-elle été si proche pour toi. Tu avais l’espoir que celle-ci ne disparaisse à jamais, dans ce monde si étrange.

    Mais les êtres et les légendes et les dieux finissent toujours par succomber à son appel, apparemment.
    Détruire, spolier, annihiler.

    (Et là où se tiendra un désert, ils le nommeront "paix".)

    (Ecœurant.)


    Hugo : Holmes, repliez-vous.


    Tes doigts courent un instant sur le bois de la table, nerveusement. Ton visage figé désormais reste tourné vers cette porte, l’autre main prête à agripper ta défense. Le regard glacé, perdu dans les calculs et l’attente, et l’analyse des sons que tu perçois. Le dos droit, les jambes légèrement écartées ; la respiration calme et calculée.

    Tu ressembles à un soldat.
    (Sauf que je n’en suis pas un.)
    Qu’importe.
    (Pour cette fois, uniquement.)
    [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
    Anonymous
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    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    Première attaque
    Des cookies aux éclats de noisette et chocolat, du thé framboise, plaid bien chaud et un corps d’un être cher ronronnant contre soit.

    Voilà ce que tu aurais voulu aujourd’hui, ne pas être là. Ne vraiment pas être ici actuellement. Pas qu’on t’a appris à te servir du pistolet que tu as en main ou du couteau à ta ceinture pour autre chose que trancher du beurre. Les gens ne sont pas du beurre et autant tu ne les apprécies pas forcément vouloir couper des bouts de gras d’eux n’est pas forcément dans tes options.

    C’est Irae qui attaque, ce n’est pas toi, mais tu es pourtant dans les rangs en brave chair à canon. Ton regard se porte sur Eloan, non, ce n’est plus vraiment lui, pas sous cette forme. Il te fait peur, enfin, tu as peur pour lui, pour son esprit, pour ses futurs regrets, ses peines, ses cauchemars, tout ce qui viendra certainement après aujourd’hui.

    Tes yeux se tournent rapidement vers la foule, tu n’as pas vraiment le temps de réfléchir à après. Tu dois être un bon soldat, pas pour toi, pour vous deux, lui et toi, le reste pourra brûler tu n’en as rien faire des autres. Ton arme se lève et après une longue inspiration, tu commences à tirer, jamais de coup mortel, blesser et uniquement cela. Tu n’as pas l’âme d’un tueur, pas en étant un simple soldat qui a du rejoindre un combat malgré lui, mais tu ne trahiras pas.

    Eloan est un monstre d’ombre pour le moment et tu seras son ombre pendant cette bataille. Pas pour prendre ses coups, mais au moins voir ce qui le hantera pour les prochaines nuits, puis avoue-le aussi, même s’il te fait peur ainsi, c’est aussi une force et une protection. La musique éclate ou plutôt l’horreur qui est créer par cette dernière, et tu sursautes, ton tire aussi et rate complètement ta cible. C'était le responsable de se boucan que tu rate, dommage. Trop de monde dans cette mare de gens. Qu’est-ce qu’il va falloir faire maintenant ?

    « Que demain se lève encore pour nous demain… »

    Sur cette simple prière, tu te mets à couver pour recharger ton arme. C’est la merde et tout ce que tu veux, c’est être chez toi, devant la cheminée et ronronner en cœur en mangeant des bonbons ou du poisson.

    Dommage, ce n’est pas pour aujourd’hui.

    Le bruit ambiant te fait taper du pied par terre en rythme plus par stress qu’autre chose. On n’est jamais prêt à devenir l’ennemie. En face, il a des gens que tu ne souhaites pas forcément blesser, mais les intérêts avant le reste. Ta vie avant celle des autres. La vie d’Eloan avant la tienne.

    Une lueur de détermination s’anime en toi, ça ne sera pas suffisant pour la suite, mais pour le moment ça suffira pour avancer et c’est tout ce qui compte vraiment pour le moment.

    Codage par Libella sur [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
    Sherlock Holmes
    Sherlock Holmes
    Revelio
    Emploi : Détective privé
    DC : War || Edgar A. Poe
    Crédits : James B. Barnes || Marvel
    Nox
    Lumos
    Première attaqueÇa aurait techniquement pu être une bonne journée. Mais dernièrement, les bonnes journées se font assez rares. Alors quand ce soir-là, les cris se sont fait entendre à l’extérieur, quand ce soir-là, l’ennemi frappe à vos portes pour les exploser – littéralement – et déferler sur vous… C’est comme si le temps s’était arrêté pendant un moment. C’est comme si ce temps était suspendu dans l’espace, alors que les éclats volent, les coups de feu commencent à retentir, les hurlements et les cris envahissent tes oreilles. Et là tu commences à comprendre Sherlock, que la guerre est littéralement déclarée entre Irae et l’Ordre.

    Tu savais que les choses arriveraient un jour ou l’autre. Tous ceux de l’Ordre commençaient à s’en douter plus ou moins. Et cette fois c’est réellement arrivé. Tu aurais pu soupirer si tu ne commençais pas à éviter ces corps en mouvement te fonçant dessus. Des battes, des barres de fer, des pistolets, des armes plus lourdes. Tu as gardé sur toi le pistolet, le précieux pistolet de John. Il t’accompagne depuis quelques temps, il te l’a prêté, et tu sais qu’il y tient bien plus qu’autre chose. Alors il te servira. Tu tires dans le tas. Les coups loupent, les coups touchent, mais ce n’est pas suffisant. Au moment où Tiamat lance la musique qui hurle dans tout l’entrepôt, tu te prends un brusque coup de barre de fer dans la tête qui te sonne et te fait saigner. Tu titubes, tu te retiens à ce que tu peux.

    Un regard vers la gauche. Murasaki est en train de se battre comme une lionne, sa lance en main. Tu es à quelques pas d’elle. La musique semble déstabiliser vos adversaires. Elle tambourine à tes tympans. Bien joué Tiamat. C’est ta chance. Tu te redresses, en rechargeant avec précipitation le pistolet, et recommencer à tirer des coups de feu. Tes tirs sont incertains, tu as mal au crâne, mais tu continues à défendre chèrement ta peau et celle de ta camarade près de toi. Tu sais que les autres ne sont pas loin, et qu’ils sont prêts à se défendre. Tes cibles sont celles qui ont des armes à feu. Ils sont plus dangereux, peuvent attaquer à distance. Certains ont loupé leur coup à cause de la musique qui est survenue avec brutalité. Cela déstabilise, mais c’est parfait. Tu pourrais sourire si ce n’était pas tant le bordel.

    Alors tu essais de tirer sur ce brun avec ton arme. Tu n’es pas un tueur Sherlock, mais tu es prêt à tuer si cela est nécessaire. Tu es capable de tirer entre les deux yeux. Au moment de presser la gâchette, quelqu’un te bouscule. Tu ignores si c’est un gars de l’Ordre ou d’Irae, mais tu manques ta cible avec un grincement de dents. Et tu assènes un violent coup de crosse contre ce type qui n’est pas loin de toi. Tu ne le connais pas, peut-être qu’il est chez Irae.

    Holmes, repliez-vous.


    « Bien reçu, Hugo. »

    Tu t’éloignes alors un peu de Murasaki, comme te l’a demandé Hugo. C’est pas le moment de faire des excès de zèle, même si l’autorité et toi ça fait deux. Tu obéis docilement, tes yeux se posant sur une arme type fusil. Alors tu te précipites dessus pour l’attraper. Les balles ne doivent pas être loin, mais tu te contentes déjà d’observer la scène, poser les yeux sur Murasaki. En quelques enjambées tu devrais pouvoir la rejoindre. Alors tu serres ton arme lourde entre tes mains, prêt à asséner un coup de crosse au premier venu. Les balles sont ton prochain objectif.
    [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
    Lucifer Morningstar
    Lucifer Morningstar
    Revelio
    Emploi : Chef du gang "Les Stan's Boys"
    DC : Don Diego de la Vega - Alexander Hamilton
    Crédits : Gabriel Reyes - Overwatch
    Nox
    Lumos
    Première attaque
    Mini-event

    [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

    Lucifer écrasa le reste de sa cigarette dans sa main, protégé par l'épais tissu couvrant sa paume. Pour une fois, il n'était pas sortie avec son traditionnel lourd blouson de cuir, ni même dans ce costard mal fermé qu'il utilisait de temps en temps pour de grandes occasions. Oh, l'occasion était belle pourtant, elle réjouissait l'ange déchu, mais c'était la guerre, il lui fallait des vêtements plus résistant.

    Le diable ne lui avait pas redonné sa forme originale cette fois-ci, il ne le lui avait pas demandé en même temps. Où était le fun s'il tuait trop rapidement tout le monde. À la place, il s'était couvert d'un autre type d'armure, fait de tissus de kevlar et de cuir, moins résistant que sa forme première, moins malléable aussi, mais cela le protégera des balles, un minimum.
    Il n'avait pas poussé la sécurité jusqu'à couvrir sa tête par exemple, et si les balles ne perceraient pas trop sa chair, la douleur de leur impact sera là pour lui rappeler les limites de ce corps humain, qu'importe, le danger ne l'effrayé pas.

    La porte du repère de l'Ordre émit un craquement avant d'exploser dans un nuage de poussière. D'un geste, Lucifer ordonna à ses hommes de commencer le carnage. Certains avait été enrôlé de force, et souhaitait sans doute être ailleurs qu'ici, d'autres au contraire semblait content à l'idée d'exprimer leur sauvagerie ici. La plupart de ceux faisant partie de cette dernière catégorie venaient du gang de l'ange déchu qui n'avait jamais autant prospérer depuis que le diable avait investi la mairie. Et ce, sans oublier le matou noir et le chien à trois têtes, bêtes monstrueuses qui allait elles aussi faire un carnage.

    Lucifer venait d'entrer dans le bâtiment lorsqu'un son strident vint lui vriller les tympans, début d'une musique qui allait rythmer le tempo des combats. Il en aurait été destabilisé si l'odeur de la poudre, de sang et des morts imminents ne semblait pas déjà l'avoir plongé dans une sorte de transe euphorique.

    Chacun savait ce qu'il devait faire et l'ange déchu, en bon leader du massacre venir, se jeta dans la bataille avec un rire qui en aurait glacé plus d'un, levant son lourd fusil à pompe pour tirer dans le tas sans chercher à discerner ennemies et allié. Heureusement que, par habitude, les membres de son propre gang avait appris à ne pas se mettre sur le chemin de leur maître au risque de faire partie des victimes eux aussi.
    Du coin de l’œil, l'ange déchu cru reconnaître une silhouette imposante aux cheveux de feu. Il n'en sourit que d'avantage.

    "MASSACREZ-LES !", cria-t-il à ses hommes, euphoriques."QUE LEUR SANG RETAPISSE LES MURS !"



    Anonymous
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    Lumos
    Ordre vs Irae
    Première attaque
    Un ras le bol de tout. Un besoin de violence. Il devait détruire quelque chose.
    Peut-être pas la vie de quelqu’un d’autre, mais assurément : la sienne.
    Il voulait la sensation du sang chaud sur ses doigts, sur son visage. Sentir l’odeur métallique.  
    Il a été seul trop longtemps. Il a réfléchit trop longtemps.  
    Alors quand il a entendu parlé d’un plan d’attaque, il a accepté.

    La dague qu’il a choisi pour se battre tournoi dans sa main, alors qu’ils se tiennent prêt à attaquer. Il allait pouvoir faire toutes ces choses qui lui ont été interdite. Ces envies qui ont marqué sa vie, qu’il n’a jamais pu satisfaire. Il avait toujours chercher le danger. Il en avait été un aussi, en quelque sorte, mais jamais aussi violemment qu’en ce moment même. Il n’avait plus de limites.

    Quand les portes s’ouvrirent et que des cris s’élevèrent, un rictus pris possession de ses lèvres.

    Il agissait dans l’ombre du Chat noir, donnant des coups de lame à ceux qui s’approchaient de trop près. Pas tuer. Tout, mais pas tuer. Une part sombre de lui-même lui criait de la planter dans quelqu’un, n’importe qui. Il n’obéirai pas. Sans limites, mais tout de même…Pas un meurtrier.
    Pas encore.

    Il n’hésitait pas à user de ses poings. Une manière de se battre violente, mêlant ce qu’il connaissait parfaitement et cette arme qu’il n’avait encore jamais utiliser contre quelqu’un. Plutôt du genre à les collectionner.

    Il était déchainé.

    C’est alors qu’il la vit. La Dame.
    Elle se battait férocement, usant de la force que ce corps d’homme lui conférait. De la personne délicate et sensuel qu’il avait vu mainte, il ne restait que force et sauvagerie. La guerre vous changez.
    Son cœur loupe un battement, et comme lorsqu’il avait parlé à Isidore il y a quelques semaines : il doutait.
    Tu es en train de faire une belle connerie, Lupin.
    Il s’en rend compte. Il baisse le regard quelques secondes vers sa lame, fixant le métal teinté de rouge. Il ressent un profond dégoût. Qu’était-il en train de faire ?
    Il réfléchit rapidement. Une. Deux.
    Trois secondes et il relève les yeux.
    Ce n’était pas ce qu’il voulait.

    Le bruit de la guerre sonne trop familier à ses oreilles, assourdissant, et il y a cette musique venant d’il ne savait où qui lui perçait les tympans.  

    Il veut se réveiller de ce cauchemar, bien qu'il savait que c’était impossible : il était insomniaque.
    Comment se réveiller quand on ne dort jamais ?

    La femme qu’il aime, il aurait voulu la voir dans d’autres circonstances. Un mois qu’il ne s’était pas vu, et voilà qu’il lui expose tout ce qu’il n’aurait jamais voulu qu’elle sache.
    Comment aurait-il pu savoir, qu’elle était ici ?
    Au final, c’était une bonne chose qu’elle soit là.
    Parce-qu’il avait réalisé son erreur.

    Quelque part, il peut entendre Lucifer donner l’ordre de les massacrer.
    Un violent effort sur lui-même, c’est ce qu’il dû faire pour ne pas se retourner contre son groupe. Pas tout de suite, c’était trop tôt. Mais pas trop tard. Il n’en avait jamais réellement fait partie, au final. Arsène Lupin agit seul, ou il dirige. Jamais il ne recevait d’ordres.

    Il devait réfléchir à un moyen d’arranger les choses, que cette idiotie cesse.
    Et vite.

    Arsène commença par arrêter d’user de sa dague à tout va.


    "J'aurais pu attaquer avec un stylo..."
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    Première Attaque
    FT. Irae/Ordre

     
    Go on and cry you are the only thing that right about this broken world our love is god

    Ils étaient arrivé quand la lune venait de se lever, son petit corps tremblait de peur, d’appréhension, il savait que le monstre allait venir. Il savait qu'il allait prendre son corps et le déformer, le déchirer à nouveau avec toute douleur que cela impliquait. Son seul réconfort était la présence de Puss près de lui, il était venu pour lui et le chaton s'en voulait. Si jamais il était blessé ? Devil ne le laisserait pas être blessé gravement, pas tant qu'il était utile, mais Puss ? L'angoisse lui serrait la gorge quand Lucifer donna l'ordre de se mettre en action, il vit Cerbère passer en tête, son corps épais de chien à trois têtes défonça aisément la porte qui éclata dans tout l'entrepôt Chat le sentit, sans avoir à s'en soucier ou le deviner, il sentit la rage froide et cruelle du diable se glisser dans ses veines, le brûlant comme un feu glacé, torturant tout son corps jusqu'à ce que sa conscience ne s’effondre sur le visage inquiet de son compagnon alors qu'il se tordait de douleur au sol. Il ne vit plus rien, il n'était plus, il ne vivait plus. Son esprit était enfermé quelque part, profondément dans ce corps difforme de chat géant fait d'ombre et des ténèbres de la nuit.

    Votre forme se leva, s'ébrouant un instant comme pour chasser la douleur restante, la poussière de l'esprit fatigué d'un être trop faible pour résister le géant qu'était le diable. Votre immense corps franchit le cadavre des portes et votre présence sembla dévorer l'ombre des lieux, les consumant pour mieux maintenir son corps imposant. Vos pattes puissantes dotées de griffes tranchantes, votre gueule béante pleine de crocs scintillants et vos yeux rouge sang dont la pupille fendue se languissait du carnage qui avait déjà commencé. Vous jetiez un coup d'oeil vers les deux humains qui vous accompagnait, vous vîtes passer une crinière blanche et l'envie de la frapper comme une souris un peu trop arrogante vous traversa, mais vous aviez autre chose à faire. Lucifer lança l'attaque frontale avec son groupe, votre sang bouillonna, vous saviez que c'était votre tour. D'un mouvement angoissant, l'ombre de votre corps se répandit pour venir s'enrouler autour des deux personnes et les attira à l'intérieur de vous.

    Puis, dans un long hurlement animal et guttural couvrant le son assourdissant de la musique, vous sautiez dans la mêlée, chargeant les lignes de défense frappant les plus proches, balayant ceux qui se trouvaient trop loin, un coup de patte géant trouva le corps d'un blond qu'il frappa sans pitié (joué aux dés avec Sherlock) votre coup porta mais vos griffes tranchèrent le vent vous sentîtes simplement le corps frapper votre patte et voler à quelques mètres. Vous vous en désintéressiez aussitôt et grondiez à nouveau, faisant mine de vous aplatir pour mieux bondir alors que vous délivriez en réalité les deux personnes de votre ombre, les déposant discrètement derrière vous avant de les propulser en « douceur » avec votre patte dans les rangs de l'Ordre comme s'ils n'étaient que des ennemies que vous rendiez à l'envoyeur. Vos coups de patte s'abattirent à nouveau tout autour de vous, la majorité de votre corps absorbant les chocs comme s'ils n'existaient pas, vous sembliez invincible, si ce n'était pour vos points faibles largement exposés... mais il n'était question que l'Ordre les découvre.

    La guerre vous laissait un goût plus que satisfaisant dans la gueule, le sang des ennemies et la terreur dans leurs yeux.

    Myrddin ♕ [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]


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    E for Event

    « Devil, DTC »



    Le toit était mon lieu favori. Même si les lieux ne se prêtaient pas vraiment pour admirer les étoiles. Étoiles qui pointaient à peine leur petit nez, que le calme se transformait en chaos. Dire que j'avais sursauté ? Que nenni. Ma tête avait à peine pivoté alors que les premiers cris se faisaient entendre.

    « Amen... »

    Comme si je le disais pour moi-même, alors que j'adressais juste ses paroles inutiles à l’égard de mes compagnons d'infortunes. Cela m'agaçait, moi qui fourrait mon nez partout, je devais avouer que cette fois-ci, je m'en serais bien passé. Pour autant, j'avais aussi ce petit quelque chose dans les tripes qui m'animait. Et c'est grâce à cela que je crochais dans mon fusil hypodermique, bien décidé à en découdre. Pour autant, je n’empruntais pas les escaliers, vu les joyeusetés que je devinais plus bas, je comprenais bien trop vite que cette attaque se voulait claquante. Alors nous claquerons aussi.

    Et Tiamat claquait un peu trop. Il avait même du m'entendre l'injurier. Le pauvre n'y pouvait rien, comment pouvait-il savoir que je rampais dès à présent dans les aérations du bâtiment et que les parois en métal faisaient résonner le son ? Une paire de boules Quies n'aurait pas été de trop, mais avec l'oreillette, cela aurait été tout aussi inutile. Mais bizarrement, autre chose vient à me préoccuper. C'était moi, ou j'avais pris du cul pour ne pas glisser correctement d'une salle à l'autre ? Non, impossible, Antoine ne cessait de me rappeler ce satané cul plat...

    OUTCH. Un impact de balle se répercuta là ou je me situais. Je devais être au dessus de l'entrée. Avec le bruit, il fallait tout de même avouer que je ne savais pas vraiment ou me stopper pour faire mouche. Mais ainsi soit-il, c'était ici que je soulevais la grille du conduit d'aération. Préparant alors avec soin mon arme que je dégageais avec difficulté tant cela était étroit, je manquais de faire paraitre ma position tant un relent d'horreur me prenait face à ce que je voyais. Sherlock... Ma cible serait donc celui-ci. Une ombre...mais était-elle invincible ? J'en doutais.

    Ni une, ni deux, je me positionnais et surtout, je me canalisais. Mes mains tremblaient. Ressaisis-toi Stephy. C'était plus fort que moi. Respire. Nous n'étions pas là pour faire du mal. Vise.

    SCHTOMB.* Le bruit de l'impact de balle dans cette ombre fut fort étrange. Mais je fis mouche. Et à ce que j'en voyais, je devinais que ça ne lui plaisait pas, pis encore parce que clairement, il se retrouvait avec une patte en moins.

    J'aurais alors pu sourire, comme victorieux, mais je me devais maintenant de faire vite. Mon emplacement était grillé. Et les autres avaient besoin de moi sur la terre ferme. Ce que la loi de Newton me rappela de toute manière bien assez tôt, puisque je me sentais glisser de ma planque, l'avant de mon corps faisant balance avec ce qu'il en restait à l'arrière, pour me tenir en équilibre dans ce lieu confiné...  


    *Joué aux dés avec Chat ♥️
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    Première attaque

    J’ai mal… Je suis enfin libre… Je veux tuer… Laissez-nous dévorer… Les voix s’excitent dans votre esprit, à nouveau vos têtes sont unis, juché sur un même corps, celui que vous espériez tant récupérer. Oui, Cerbère, vous avez récupéré votre corps, Devil vous l’a permis, il vous a rendu votre corps, vous ne pouvez que l’en remercier… Le Maître est bon avec vous et pour cette raison, vous ne le décevrai pas… Le Maître sera fier, le Maître vous récompensera et cette idée fait naître un frisson d’impatience en vous, puis enfin, le carnage débuta…

    Vous enfoncez la porte sous le commandement de Lucifer, permettant ainsi au reste de la troupe d’entrer. À leur suite, vous entrez, défonçant un peu plus l’encadrement de la porte afin de pouvoir passer ton imposant corps. Vos têtes regardes dans toutes les directions, les babines retroussés, la bave s’en écoulant avec envie. L’appel du sang résonne, un grondement féroce s’arrachant de vos gueules et le combat débuta, au moment même où un bruit assourdissant vous force à plaquer vos oreilles sur vos têtes. D’où provient ce son atroce ? Vos oreilles semblent sensible et pour cause, vous n’avez plus l’habitude d’avoir l’ouïe aussi fine. Il vous faut un moment pour vous remettre et secouant vos gueules, comme pour chasser cette musique assourdissante, vos pattes se mettent à avancer, manquant de faire trembler le sol à chaque de vos pas. Une chance pour vos ennemies que votre taille n’est pas celle que vous aviez autrefois, lorsque vous gardiez la porte des Enfers. Une chance pour ces misérables que votre force soit moindre, sinon ils n’auraient eu aucune chance au final…

    Tuer… Je veux manger… Je veux m’amuser… L’un de vous lâche un hurlement, un autre cherchant déjà une proie à saisir tandis que la dernière observe avec attention le carnage qui fait rage devant vos yeux. L’Ombre exécute sa partie et vous vous occupez de semer la discorde dans les rangs de vos ennemis, donnant de violent coup de pattes sur les corps qui sont sur votre passage, allié comme ennemi, difficile pour vous de faire la différence par moment mais en même temps, vous êtes bien trop heureux d’être à nouveau libre, de pouvoir enfin montrer votre force au grand jour. Oh ça n’a pas été facile au début et pour cause, vous n’étiez pas d’accord, plus coordonné comme autrefois. Bien trop habitué à ce frêle corps humain, il vous a été difficile d’apprendre à cohabiter à nouveau. Mais pas le temps de penser, un tire résonne et vous tournez vos têtes se tournent vers l’Ombre, vers celui qui abrite Devil. Vous l’entendez, il a été touché… Vous grondez, férocement, qui a osé ?! Le Maître est touché… Le Maître a besoin d’aide… Il faut tuer…

    Un bruit attire votre attention, à nouveau, et l’un de vous lève la gueule vers le plafond, il gronde, vous grondez, une fois avoir repéré la petite chose qui se trémousse de façon désespérante au plafond, est-ce lui ? Un jouet… Et vous le saisissez, l’arrachant à sa cachette, enfonçant vos crocs dans son bras avec une telle violence que le sang se met à gicler. Vous êtes mécontent, vous commencez à vous disputer votre proie, vous le secouez dans tous les sens avant de finalement le lâcher après un coup de croc donné entre vous, le faisant voler à travers la pièce, comme un vulgaire jouet qu’on aurait balancé. Immédiatement, vous vous apprêtez à vous élancer dans sa direction, espérant pouvoir le récupérer et jouer encore avec...

    hrp. Attaque joué au dé avec Stéphapouic ♥
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    • L'Ordre
    • Irae
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    Event
    Les choses se corsaient. Tenir la position n'était pas chose facile. Positionné en seconde ligne, le mourant donnait tout son cœur à l'ouvrage. Frappant aveuglement comme pour tenir des loups à distance, de son bout de ferraille rouillé.

    Les sourcils froncés et la tête vide, Tiamat essayait de survivre à l'assaut des carnivores. Ils étaient tels les remous de l'océan furieux. Venant s'échouer contre son corps, pour mieux reculer et revenir en force. Il le savait.

    Il était l'océan. Enfin, il l'avait été, fut un temps.

    Tiamat commença à bouger de droite et de gauche pour éviter le pire. Il faiblissait. Il décrocha l'arme à feu de sa ceinture, jetant son pied de biche et pointant le canon dans le tas.

    Tirer. Juste, tirer.

    Le bruit étouffé du flingue, l'ébranla quelque peu. Mais ce qui le laissa vraiment pantois, ce fut les énormes créatures. La mêlée se fit plus hétérogène une fois le chat de ténèbres et le chien à trois têtes ayant pénétrés le bâtiment.

    Les humains, s'éloignaient et se tordaient en mille, pour éviter de se faire écraser. Impuissant, béat, Tiamat observa l'immense chat démon, offrir un magistral coup de patte à Sherlock. Le pâle, lâcha un rire nerveux. L'homme avait volée comme une souris en peluche.

    Un trait de douleur lui déchira la joue. Une balle perdue. Tiamat déglutit difficilement. Si seulement, oh, si seulement il pouvait redevenir la divinité qu'il était ! Il aurait pu faire tellement plus, qu'avec ce corps mince aux bras tremblants sous l'effort. Il aurait pu faire tellement plus, pour aider ceux qui étaient plus fort que lui, actuellement.

    Mais le temps n'était pas aux jérémiades.

    Il ne pouvait pas être faible ! Mais il l'était.

    Il allait devoir se contenter de cet état de fait.

    "Je vais aider Sherlock. Préparez-vous. Il y aura bientôt de la fumée."

    Le temps de pivoter, il put apercevoir Stéphane se faire mâchonner comme un pouic. Aie.

    Tiamat se concentra sur son but et se fraya un chemin à coup de balles et d'épaules, perdant l'équilibre plusieurs fois à cause de sa cheville frêle, pour rejoindre le corps certainement endoloris de Holmes.

    Arrivé près du blessé, il le vit.

    L'homme à la carabine. Le massacreur, était là. Il le voyait. Il avait une fenêtre. Il n'était pas bon tireur, mais… Tiamat jeta un regard à Holmes, puis un autre à Carabine-man.

    Le choix fut fait.

    Inspirant profondément, croisant les doigts et serrant les dents, le pâle malade leva le canon de son arme vers le fou furieux. Il se concentra. Au dernier moment, sa main trembla. Le canon s'abaissa un peu. Juste un peu.

    Boum. Crack.

    Il se contenta de deviner le son de la rotule de Carabine-man, quand celle-ci se prit la cartouche qu'il avait tiré, dans l'os. Il devina aussi que l'homme allait surement devoir se passer de son genou et donc, de sa jambe, pour un moment.

    Rangeant son arme, se penchant pour soutenir le corps de Sherlock, fouillant sa ceinture d'une main, s'agrippant aux vêtements du détective de l'autre, Tiamat informa le reste de l'équipe.

    "J'ai Holmes."

    Levant la grenade à sa bouche, Tiamat en arracha l'embout avec ses dents. Puis, la laissa tomber au sol.
    Dépassant l'objet, le faisant rouler du bout des pieds en trottinant, boitant et supportant le poids de Sherlock à demi, il s'éloigna vers une fenêtre brisé non loin. Il était hors d'haleine. La fumée s'éleva, instantanée. L'enveloppant. Le cachant.

    Il cracha ses tripes.

    "Aller, du nerf Sherlock. On s'entraide. On y est presque. On se replie."

    Et dans un nouvel effort, il enjamba la fenêtre.

    Coup de feu, joué au dès avec Lucy !
    Pied de biche et joie.
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     PREMIERE ATTAQUE
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    E
    t tu souffres d'autant plus lorsque ton regard croise le sien. Lorsque tu comprends qu'il est dans ce camp. Le noisette qui entoure tes pupilles aurait pu virer au grenat, si cela avait été seulement possible. La rage, la déception puis la tristesse te traversent aussi facilement que les nombreuses balles que l'adversaire fou émet sans regarder. Sans se soucier de ses comparses.
    Un homme dont tu te souviens le visage fermé, le sourire carnassier.
    Ce même homme, qui lui aussi, t'avait menacé un jour.
    Tenir, oui, mais pour combien de temps ?

    Les choses se déroulent trop vite, trop brusquement.
    Ton visage se rive là où il peut, ton bâton s'abat, là où il en sent la nécessité. C'est comme ça que tu vois le drame arriver, et que le cri retentissant de Stéphane te fait réaliser la gravité de la situation.
    Là devant toi, se dressent des créatures dont tu ne soupçonnais l'existence.
    Parfois tu croises le regard de figures familières.

    C'est douloureux, Takako.
    Trop douloureux.  

    Instinctivement cependant, tout en repoussant ceux qui tentaient de t'assaillir, tu fais un bond et fait vibrer les coups autour de toi. Il y a déjà cette note. Tu n'as pas le temps de réfléchir.
    Ce n'est pas ton but.
    Alors tu l'empoignes, le gredin de l'Amour, par le col, c'est mieux. Tu l'empoignes et tu le regardes plus que jamais dans les yeux.

    -Toi... grognes-tu, mais tu ne mesures déjà plus le ton de ta voix. Elle vibre autant que le martèlement de ta lance. Tu viens.

    Alors de toute ta force tu l'entraînes avec toi en profitant de son temps d'hésitation.
    Tu n'as pas le temps de t'apitoyer sur votre sort, Takako. Tu n'as pas le temps car ta vie est sur un fil, comme celles de beaucoup, ici.
    Tu as oublié un instant que tu avais baissé ta garde. Alors des coups fusent à nouveau sur toi. La brûlure, la déchirure est lancinante, mais toi tu tiens. Tu mets quelques secondes à inspirer et expirer, tu te reprends aussi vite que tu le peux, de cette masse lourde.

    C'est ainsi que tu profites des fumigènes, du coup de fusil. Tu n'as que quelques minutes à toi.
    Tu bondis de nouveau, courant vers l'arrière, parce que tu préfères courir que de rester sur place. Tu traînes Arsène derrière toi en espérant qu'il te suivra de lui-même, parce que tu ne peux t'occuper de deux hommes à la fois.

    -STEFAN-DONO !

    Tu scrutes ta lance. Ton choix est fait. Alors tu la délaisses sans regrets, préférant attraper l'homme tout contre toi. Tu profites de ce moment pour le caler contre ton torse, un regard a suffi.
    La souffrance ne t'atteint pas encore en ton cœur, car l'adrénaline tambourine tes veines plus que ne le fait ton sang. Tu réussis à te frayer un chemin parmi les cadavres, sans essayer de comprendre lesquels, ne sachant pas qui tu écrases de ton poids, en faisant de ton mieux pour ne pas le faire.
    Mais lui, là-bas, il a eu des instructions : il ne doit pas mourir ici.

    -Ugo-dono, ibeka.

    Là, dans le manque de cohésion, tu as réussi à te repérer grâce à Tiam.
    L'issue arrière est votre seule solution.

    Malgré la douleur, tu pousses Arsène dans l'ouverture.
    Tu réussi à fuir avec le tireur contre toi.




    Event


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    Première attaqueTo ravage, to slaughter,
    to usurp under false titles,
    they call empire;
    and where they make a desert,
    they call it peace.
    Tacitus

    ( [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] )
    Entends-tu, Hugo ?
    Est-ce que tu l’entends, Victor ?
    Cette putain de guerre qui fait rage et divise, est-ce que tu l’entends ?

    Ton visage s’était figé dès les premiers coups de feu. Dès les premiers cris. Tes gestes mécaniques t’ayant amené à préparer de quoi soigner et survivre, en cas d’urgence. Un instant, tu portes tes mains à tes poches où le matériel de suture et un couteau se trouvent. Etrange contradiction qu’effleurent tes doigts fébriles.

    Victor acculé derrière cette porte risible ;
    Victor qui attend et écoute la guerre qui hurle encore.

    Tu entends Mallarmé au loin, les coups de feu et l’homme qui s’effondre. Les hurlements et le Cerbère qui grogne. Puis l’impact qui t’arrache une grimace douloureuse. Ton ouïe est saturée, les cris te viennent de partout ; les paroles de tes coéquipiers presque inaudibles à travers cette cohue sonore.

    Tiamat : J'ai Holmes.

    Un soupir de soulagement te parvient lorsque la divinité quitte enfin les lieux, aidant le détective à s’enfuir. Restent Murasaki et Mallarmé ; tes mains anxieuses se serrent en attendant les nouvelles, l’assurance que chacun est sauf et hors de danger. Les blessures sont un autre problème, que vous réglerez plus tard. Pour le moment, le tout est de ne pas se prendre une balle dans le crâne ou un coup de tranchant.

    Du coin de l’œil, tu surveilles la porte menant à la guerre.

    Et puis enfin, les paroles qui détendent tes traits. Un instant seulement, seulement quelques syllabes. Alors, Victor, malgré la gravité de ton regard un mince sourire étire tes lèvres. Plus sous le coup du soulagement que d’une réelle euphorie.

    Murasaki : Ugo-dono, ibeka.

    Alors, Victor, tu sais que la fumée s’est faite dense, dans l’entrepôt, et que tes compagnons ne s’y trouvent plus. A tes oreilles, la musique résonne toujours, mais elle n’est plus le propre des oreillettes, l’onde sonore traversant le mur et la porte. Et enfin. Celle-ci cesse. Une autre prenant immédiatement la place.

    La mélodie d’Orphée résonne à travers le carnage.

    Et alors, Hugo, tu te presses, tu coures vers l’issue de secours, vers la sortie, comme un fou, un désespéré. Qu’importe si tes muscles se tordent sous l’effort trop brusque, si ton souffle déjà accéléré devient erratique. Ton corps tendu se crispe alors que tu enfonces la porte, quittant ce lieu de misère.


    Hugo : Terminé.


    Et tu fuis Victor, courant dans les rues sinueuses comme un condamné ayant réussi à échapper à son dernier jour.

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    Première attaque
    La décoration, tu commençais un peu à t’y connaître à force d’emménager tout doucement ta maison ainsi que ta boutique. Retapisser les murs couleur sang, même si votre chef semblé trouver cela génial, pour toi, c’était d’un très mauvais goût, puis le sang ça sèche et change de couleur, définitivement pas une belle couleur pour chez soi. Certains n'aimeront peut-être, pas toi. Tu n’es pas un chiot docile, tu écoutes entends l’ordre, hausse les épaules et continue ton manège avec ton arme. D’autre le feront pour toi. Certainement.

    Tu es avec Arsène, vous deux dans une mission capitale. Enfin, c’est comme ça que toi, tu le comprends quand une bonne partie du plan pèse sur ton action et celle de ton partenaire. Ce n’était pas du tout stressant, ce qui est stressant, c’est de voir ton amant être la cible de tous ses ennemies. Puis il y a un coup de feu différent des autres, un qui te fait trembler quand tu vois ton trésor toucher en pleine patte. Ta respiration se coupe, tu vois Cerbère attaqué et toi qui continue de suivre Lupin dans sa progression complétement ailleurs de ses états d’âme. Tu veux rentrer et partir loin de ce massacre.

    Tu ne comprends pas pourquoi l’ennemie est aussi bien armer, aussi bien organiser, aussi bien face à vous tout simplement. L’effet de surprise est parti à l’eau trop rapidement. Tu te demandes s’il n’y a pas un traître dans votre camp. Ça doit être ça. Comme on s’organise aussi bien sans traître ? Soudain, tu te mets à avoir encore plus peur pour vous. Un traître ça peut signifier un piège, vraiment une très mauvaise chose pour vous. La pire de toute, vous étiez trop confiante en venant, voilà le constat.

    Tu te planques le temps de réfléchir un peu, regardes Cerbère attaquer et as une certaine satisfaction de voir le responsable de la blessure d’Eloan être lui-même toucher. Enfin, il te semble que c’est le cas, sûrement, tu sais plus en fait, il y a trop de truc en même temps. Ton regard se tourne vers ton partenaire de crime et là, tu vois une scène surréaliste. Il vient de se faire attraper par la demoiselle qui jouait de la musique au bar. Tu vas pour viser pour l’empêcher de l’attaquer, car tu crois qu’elle va le faire, c’est un ennemi d'après toi.

    Mais non, elle lui parle, le prends simplement par le col et lui dit de la suivre. L’autre suit, presque docilement à tes yeux. Définitivement, vous avez été trahis. Il n’y a pas besoin de remuer trop du cul pour chier droit. Il va falloir sonner le repli avant que la troupe soit décimée dans cette attaque qui n’a plus de sens. Tenter d’arriver à l’objectif alors qu’il est possible qu’il le connaisse déjà ne sert qu’à prendre des risque inutile. Peut import si ce que tu vas gueuler est faux, toi tu souhaites avant tout t’occuper de ton homme, enfin chat, chez toi, loin de tout cela.

    Puis merde, s’il n’était pas avec eux Arsène n’avez qu’à lui tirer directement dans le ventre ou la cuisse à cette dame. Tu n’as rien contre elle, mais on est sur un champ de bataille et actuellement personne n’est sûr et tout le monde est ennemi. Aussi simple que cela. Alors tu te replies, prends une forte inspiration et une fois assez proche d’autre d’Irae pour couvrir un peu ta position, tu te mets à hurler le plus fort possible.

    « ON A ÉTÉ TRAHIS, REPLIE POUR NOS VIES ! »

    Oui, tu raccourcis tout, au pire, c’est une prise d’otages, mais ça tu l’expliqueras en temps utile au big boss, là il n'y a pas trop le temps des long discours plein de nuance.

    Codage par Libella sur [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
    Sherlock Holmes
    Sherlock Holmes
    Revelio
    Emploi : Détective privé
    DC : War || Edgar A. Poe
    Crédits : James B. Barnes || Marvel
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    Première attaqueTout est allé si vite en si peu de temps. Trop d'informations, pas assez de temps pour tout assimiler.

    Tu aurais préféré ne pas en arriver là. Tu ne sais pas non plus ce qu’il s’est passé exactement, tout est allé très vite. Une chose est certaine, tu as eu énormément de chance. Comme quoi, même la Mort elle-même se chiait dessus à l’idée de te voir débarquer dans l’au-delà. Tu peux le comprendre, tu n’es pas forcément facile à vivre.

    Néanmoins, le coup de patte que cette monstrueuse bestiole fait mal. Fait très mal. Tu as échappé aux griffes mais la puissance de cette chose reste considérable, surtout après avoir heurté un mur. Tu n’as pas lâché ton arme pour autant et, même si tu es à moitié allongé au sol, tu tires. Tu ne sais pas où tu tires, tu ne sais pas qui tu touches, mais tu tires. Presque comme un automatisme.

    Tu détestes les chats.

    Ton oreillette grésille. Peut-être qu’elle aussi a pris quelques dégâts, surtout quand ta tête a heurté le mur du mauvais côté. Tu sais qu’ils se parlent mais tu n’es pas capable de déterminer ce qu’il se dit. Bah, quelle importance de toute manière ? Tu ne sais pas si la mission va réussir ou non, tu ne sais pas si vous allez tous vous en sortir… Pourtant c’était le but premier, pourtant c’est ce que tu aurais voulu. Mais on n’a pas toujours ce qu’on veut dans la vie. Tout ton corps te fait mal. Peut-être – probablement même – que d’autres auront plus de blessures que toi, plus graves et j’en passe. Que tu n’as pas à te plaindre.

    C’est tout ce qui te viens à l’esprit. Tu es sonné, et tu sembles à mille lieux du conflit maintenant. Tu penses à des choses qui n’ont pas lieu d’être, tu sens que tu tires mais à l’aveugle, jusqu’à ce que tu n’aies plus de cartouches. Tu tentes d’en remettre malgré tout, des trucs qui traînent autour de toi, n’importe quoi pourrait faire l’affaire dans l’état actuel des choses. Et puis on s’approche. Quelqu’un s’approche. Ton premier réflexe est de jeter ton arme de toute tes forces sur cette personne, au niveau des jambes pour la faire tomber. Bingo. Tu l’entends râler au sol. Tu ne réponds rien.

    Puis une autre personne, avec une tignasse blanche que tu connais.
    Tiamat.

    Il t’aide à te relever, tu fais un effort pour ne pas être un poids pour lui. Et puis vous tombez sur un type. Ce type qui mériterait qu’on lui enfonce la tête sur des clous vu ce qu’il a fait. Tu l’as entendu crier de massacrer tout le monde. C’est lui qui mérite simplement qu’on le massacre.


    « Concentre-toi. »

    Tu murmures à Tiamat. Tu l’as vu qui tremblait. Et quitte à ne pas pouvoir l’aider autrement, tu veux qu’il réussisse son coup. Le coup retentit, la balle part, et fait mouche dans le genou de l’assaillant. Un léger sourire étire tes lèvres alors que tu hoches la tête.

    « Bien joué. »

    Tu l’entends ensuite dire aux autres qu’il t’avait. Tu entends toujours ce grésillement désagréable à ton oreille et tu finis par jeter l’oreillette juste avant que Tiamat ne lâche sa grenade. Une bombe fumigène. Parfait. Tes esprits se reprennent au fur et à mesure que tu avances avec Tiamat, et tu finis par le soutenir plus qu’il ne te soutient.

    « Et on va pas mourir aujourd’hui. »

    Tiamat enjambe la fenêtre en premier, tu l’aides à passer en surveillant vos arrières. Il ne manquerait plus qu’un enfoiré d’Irae vous tombe dessus pour vous tirer dessus pile à ce moment-là. Puis tu enjambes à ton tour la fenêtre.
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    Lucifer Morningstar
    Lucifer Morningstar
    Revelio
    Emploi : Chef du gang "Les Stan's Boys"
    DC : Don Diego de la Vega - Alexander Hamilton
    Crédits : Gabriel Reyes - Overwatch
    Nox
    Lumos
    Première attaque
    Mini-event

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    Lucifer s'éclatait, vraiment. Voir le sang couler, libérer toute l'énergie, la violence, la rancœur et la colère sur ses ennemies faisait un bien fou, à lui pas à ses adversaires.
    Il devait faire mal, il devait mutiler, il devait tuer, entendre les cris et les pleurs de ceux qui ont osé s’opposer au Diable, à Irae, à Lui. Même sans pouvoir, il apportait la mort sur son passage, il en était fier, si fier.

    Il vit le diable, sous l’apparence de ce chat noir monstrueux envoyé quelqu'un baladé à travers la salle, il en rit un instant avant de voir le monstre chanceler, une patte à terre. C'était-il fait toucher par un projectile ? Fort probable, fort stupide aussi.

    Absorbé par son massacre, il ne vit pas le danger qui vint planer sur lui, aveuglé par son assurance et son plaisir. Il crut voir un instant un éclat blanc sans parvenir à en déterminer l'origine. Il entendit un coup de feu particulier, qui ressortait d'avantage dans la cacophonie de cri et des autres armes et dans la seconde qui suivit, lui, le puissant Lucifer, prince fier et orgueilleux se retrouva le genou à terre.

    Il eut un moment d’incompréhension, comment cela était il possible, pourquoi une de ses jambes l'avait ainsi lâché. Ce n'est qu'à la vue de son genou éclaté qu'il comprit et la rage qui l'envahit, mêlé à l'adrénaline soudaine, masquèrent la douleur pourtant atroce de la blessure.
    Il devait se venger, qui avait oser porter la main sur lui ? Qui avait oser lui tirer dessus, lui infliger cette humiliation, le faire courber l'échine, à lui ?! Il allait le massacrer, l'éventrer et l'étrangler avec ses propres entailles.

    Il peina à se relever, c'est sur une seule jambe qu'il reposa. Il tenta bien d'avancer, de rechercher l'insecte qui avait oser loger une balle dans sa chaire, mais sa jambe blessé ne supporta pas son poids, il manqua de poser à nouveau genou à terre, résistant à cette facilité par fierté. On ne fait pas plier Lucifer.

    Il n'était plus en état de continuer le combat, ni même à commencer, autant physiquement que mentalement, son esprit ne souhaitant à cet instant que détruire, tout, allié comme ennemis pour trouer le fautif.
    Ce fut le cri de celui qui accompagnait le chat noir qui le sortir momentanément de sa rage.

    Trahison, bien sûr. Ces misérables insectes n'étaient pas fiables.
    Les hommes du gang se retournèrent vers leur chef, cherchant à confirmer l'ordre donné par ce vulgaire matou. Lucifer jugea un instant les restes du combat. La plupart des membres de l'ordre s'étaient enfuit ou était sur le point de fuir.

    "Achevez les gisants et repliez vous.", siffla t'il entre ses dents.

    Lucifer pestait. Il était l'orgueil, il ne se repliait pas, mais ces humains le trahissaient, son putain de corps humain le trahissait. Il n'y avait guère plus à faire.
    Deux atteinte à sa fierté en une journée, c'était trop pour lui, il voulait se venger, il devait se venger, mais son corps refusait d'avancer. C'était uniquement par fierté et par miracle qu'il tenait encore debout bien que chancelant sur une seul jambe valide et fatiguée.



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    Ordre vs Irae
    Première attaque
    Il ne supportait la vue de toute cette violence. Ces cris, ce sang. Et le son assourdissant des coups de feu. C’était la guerre dans toute sa laideur, et elle se présentait une nouvelle fois à lui. Que poussait les gens à se battre ?  La stupidité ou un instinct animal ?
    La rage.
    Les animaux, ce n’est pas ce qu’il manquait chez Irae. Et, si Sherlock avait été projeté, si le bras de cet homme qu’il ne connaissait avait été mordu avec autant de violence, c’est seulement à cause d’une injustice qui lui remuait les tripes et le faisait grimacer. Mais l’Ordre, n’était-il pas trop bien préparé, lui aussi ? Devait-il seulement s’en plaindre… ?
    Ses doigts se serrèrent sur le manche de sa dague, avec peut-être pour seul envie de se la planter pour en finir une bonne fois pour toute.  Plus rien ne sera comme avant...
    Quel avant ?


    Un rire menaça de s’échapper d’entre ses lèvres gercées, quand on le saisit au col. Il allait lever son arme, mais fût figé par ces yeux couleurs noisettes brûlant de colère. La voix de la Dame vibra comme les cordes du koto dont elle savait si bien jouer, résonna dans son esprit. Comme foudroyé, en pleine tempête, noyé sous cette vague de sentiments. Un véritable tsunami.
    Dieu, qu’il était désolé.

    Tout ce sang sur la Dame. Il se sentait mal, si mal. Ce sang sur sa propre joue, ses propres vêtements, à qui
    était-il ? A elle ou à lui ? Les brûlures qu’il ressentait, n’était qu’égratignures à ses yeux.
    En ce moment même, rien ne pouvait saigner plus fort en son être, que son cœur.
    Alors il la suivit, comme on suivrait aveuglément une lumière dans une nuit sans lune et sans étoiles, cherchant désespérément la sortie d’un cauchemar qui n’en finissait pas. Il y avait des hommes à terre, tous morts.
    Mort, mort, mort
    C’était les cadavres de toutes les femmes qu’il avait aimé qu’il voyait à ses pieds. Les cadavres de ses compagnons. Les cadavres de tous ceux qui ont croisés sa route. Les cadavres de tous les personnages qu’il avait été. Qui es-tu Arsène ? La voix effrayante de la Cagliostro demanda. Je ne sais plus, répondit-il. Ton vrai nom est Raoul d’Andrézy, aida la douce Clarisse. Mais Raoul n’est plus depuis longtemps.
    Qui suis-je ?

    C’était délirant.
    Il ne pouvait pas respirer, il étouffait. Il avait besoin d’air frais, de sortir d’ici au plus vite.

    La voix de Puss lui parvint. On a été trahi. Arsène est un traitre, oui.
    Il s’était d’abord trahi lui-même en rejoignant Irae, lui qui a toujours été du côté de la justice. Ce n’était qu’un simple retour à la normal…

    Rien n’est normal ici, tout est…absurde

    Murasaki les guidait vers l’issu de secours, et le poussa dans l’ouverture.
    Il marcha. Ne s’arrêta pas de marcher, pour s’éloigner le plus rapidement possible de cette boucherie.



    "J'aurais pu attaquer avec un stylo..."
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