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    Charles Baudelaire




    “Informations

    Groupe — Auteur
    Date de mort — 31 Août 1867
    Date d'arrivée — Milieu 2016
    Métier — Patron de la Boutique de Fleurs, il ose dire avec une touche de nostalgie et d'humour fatigué qu'il vend ses fleurs du mal.
    Avatar —  White Lie  Original de Len-Yan
    Voix — [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
    Theme — [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]







    “Physique
    Si son reflet lui exposait de l'or, il continuerait de voir de la suie.
    Charles ne s'aime pas, en tout point il se trouve laid. Pourtant son  physique n'est pas si désagréable que ça à observer. Une beauté atypique. Ce n'est certes pas un apollon, mais  comme dirait certain, la beauté n'est qu'intérieur n'est ce pas ?
    La finesse est un atout omniprésent dans son anatomie. Ou dit plus grossièrement, la maigreur. Une silhouette vide et élancée qui se découpe dans un regard morne, il pourrait presque inquiéter les médecins sur sa condition de vie s'ils voyaient son torse frêle, et son ventre démuni de toute trace de muscles. Ses doigts sont aussi une preuve bien visible de sa faiblesse physique. Longs et fins, avec des bijoux par ci par là, on pourrait le prendre pour une femme. A son plus grand désarroi.
    Bien heureusement, il se rattrape avec son visage.
    Il a hérité de son père les traits bien dessinés d'une mâchoire d'homme avec un grand h. Ainsi que son nez aquilin à l'arrête taillée profondément dans son cartilage. Ce jeune homme a aussi gagné l'honneur d'assumer secrètement des pommettes aux saveurs de caresses nostalgiques.
    Ses yeux sont peut-être l'unique réconfort de Charles, d'un bleu pâle tirant sur le gris, ses pupilles sont toujours ombragées d'un épais rideau de cils. Ou parfois tout simplement cachés derrière les verres de ses lunettes qu'il est forcé de porter pour ne pas confondre arsenic et somnifère.
    Ses lèvres pleines d'une couleur sombres sont hantées par la saveur d'anciens baisers. Toujours pincées dans une mine floue et indécise, ses sourires sont rares et bien trop maladroits pour être considérés comme tel.
    Ses cheveux sont coupés courts, et pourtant, ils arrivent quand même à lui tomber souvent devant les yeux, cachant son front et ses sourcils. D'un châtain terne, il ne les entretient pas assez. Et ne compte pas s'y mettre maintenant.

    Pour en revenir aux inquiétudes médicales, Charles pourrait bien passer pour un cadavre sans aucun maquillage. Une peau aussi pâle qu'un linceul, et des cernes sombres, virant au carmin, trophée maudit de longues nuits blanches à lutter contre un sommeil capricieux.
    Maintenant approchant la trentaine, ses traits deviennent plus marqués. Plus mâture en un sens. Il en est effrayé. Il a horreur de vieillir.

    En conclusion, Charles ne sait pas très bien prendre soin de son physique. Des cheveux ébouriffés, un style vestimentaire vieux jeu, chemise neutre, souvent trop grandes pour lui ou mal mises, il s'en satisfait. La paresse est un vice bien trop doux.



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    “Mental
    Un titre aussi illustre, on pourrait s'attendre à de longues tirades venant décrire ô combien cet être est rongé par la névrose et les regrets. Mais à vrai dire Charles est juste torturé par l'angoisse et n'a aucune confiance en lui. Ce qui génère de nombreux troubles personnels qui lui rendent la vie infernal.
    Il n'est qu'amas de séquelles. Et surtout, victime de sévères troubles d'Anxiété Sociale. Le problème est, que ses personnes souffrants de ce cas sont très vulnérables à d'autres troubles mentaux comme la dépression ou les dépendances. Heureusement pour lui, il est bien accompagné.

    Distant- Charles est très inconfortable avec l'affection physique. Non pas qu'il n'aime pas ça, au contraire, il adore, mais est bien trop embarrassé pour savoir comment faire si on commence à l'approcher d'un peu trop près. La seule réaction que vous aurez de lui n'est que panique et excuses maladroites. Alors s'il peut parfois paraître froid, c'est juste pour sa propre protection.
    Lâche – Une chose très importante chez lui ; c'est une lâche. Que ce soit émotionnellement parlant ou socialement parlant. Il est vraiment, vraiment, effrayé par tout ce qui pourrait le blesser. L'amour est une vielle ennemie dangereuse et gourmande de ses larmes qui le fait fuir souvent bien rapidement. Car Charles s'amourache très facilement, il aime être aimé. Mais a trop peur de ce que cela peu engendrer.
    Mélodramatique – Charles aime.. se plaindre. Et il aime aussi exagérer les choses. Se faisant souvent passer pour une frêle petite victime, dans de poses digne des plus grandes tragédies grecques. Il ne fait ça cependant qu'avec ses proches. Car en général, quand il fait ses scènes, ses petits caprices, il reçoit des caresses.
    Vif d'Esprit – Charles compense son manque d’interactions sociales par ses pensées. Déjà petit il était très intelligent, en avance sur son âge. Même s'il a eut un parcours scolaire déplorable, il n'en reste pas moins avide de savoir. Il n'est absolument pas un monsieur je sais tout, et ne le sera jamais, car pour lui, le monde est une source de connaissances inépuisable. Charles aime particulièrement écouter en silence un orateur. C'est pour ça qu'il trouve son réconfort dans des cafés, peu fréquentés, il y trouve toujours quelqu'un d'intéressant, et d'un tout autre genre de boisson, il boit les paroles.  
    Calme – Ce jeune homme n'est sûrement pas le parfait partenaire pour des aventures passionnantes et pleines de dangers. Non, lui préfère boire un thé en caressant un chat avec un bon livre. Sa petite vie pleine d'habitudes et de petites manières est très bien comme ça. Charles se sent très inconfortable si celle-ci est toute bouleversée. C'est aussi pour cela qu'il aura tendance à fuir les grandes personnalités au sang chaud.
    Doux & Attentionné – Baudelaire est The Romantic Type. Il est vraiment vieux jeu, et selon lui, la gentillesse est très importante chez un homme. Alors il s'efforce de l'être aussi. Avec succès. Bien que succès soit un grand mot, car pour voir cette facette chez le jeune homme il faut déjà arriver à apprivoiser ses angoisses.  
    Timide – Si jusque à présent vous ne l'auriez pas compris, Charles est très timide. Pas vraiment à rougir et à balbutier, non lui c'est plus.. si vous commencez à l'aborder et qu'il n'arrive pas à répondre à votre discussion, il pourrait facilement fondre en larmes for no reason. C'est un handicape dans la vie de tout les jours.
    Fatigué – Vous allez me dire, ce n'est pas un trait de caractère. Non, mais une tare. Charles ne dors pas beaucoup la nuit, il pense trop, alors la journée il est souvent très fatigué, et devient donc encore plus absent qu'il ne l'est d'habitude. La nuit quand il ne parvient pas à dormir, pour ne pas sombrer dans une déprime passagère et violente qui le frappe souvent, il à trouvé pleins de petits trucs à faire qui l'occupe. Comme par exemple tenter de compter les étoiles dans le ciel, ou essayer de déchiffrer les miaulements des chats et leur langage. Utile ou pas, dans tout les cas ça l'occupe.

    En soit, Charles est un animal sauvage pas dangereux du tout mais très facilement appeurable. Pour l'approcher, c'est tout une histoire. Et paradoxalement, il a horreur de la solitude.

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    “Histoire
    L'amour à détruit cet homme. Romantique et familial. 
    Charles Pierre Baudelaire est né le 9 avril 1821 à Paris. Une famille bourgeoise, une vie confortable et aisée, il n'avait pas à se plaindre. Et il ne se plaignait d'ailleurs pas. Enfant effacé, silencieux et discret, il restait calme et polit. Il avait une raison de le faire ; sa mère. Il en était fou amoureux. C'était sa muse, son rayon de soleil, son idole dans la vie. 
    Il la chérissait bien trop. Complexe d’Œdipe ? Ou complexe tout court ? Nul ne le sait ; pas même lui. Mais ce portrait familiale idyllique se brisa bien vite quand, alors âgé de 6 ans, son père alla rejoindre le monde des limbes et des oubliés. Ce ne fut pas un grand désastre sentimental, il s'en remit assez vite. Et malheureusement, sa mère aussi. Elle se remaria, avec un homme haut gradé de l'armée. Ce fut brutal pour Charles. Brutal, car ce nouveau visage paternel volait complètement sa génitrice de lui. 
    Elle était aux anges, l'amour rend aveugle. Un peu trop aveugle, car elle en oublia presque l'existence de son jeune fils. Et voir la femme qu'il aimait le plus au monde lui tourner le dos le brisa. A défaut d'en être ravagé par la tristesse, il se mit à faire germer en lui une haine si grande qu'il ne pouvait la contenir plus longtemps. 
    Son beau père s'opposait à ce qui faisait vibrer le jeune adolescent. Sa mère, la poésie, et sa liberté. 

    Contre tout attente, il entra alors dans le lycée Louis le Grand, à Paris. Les normes, les conditions, les règles furent comme un poids qui s'abattirent lourdement sur les épaules de ce poème à l'esprit nouveau. Jeune âme rebelle et farouche, il ne réussit pas à se confondre dans cette masse de novices dociles prêts à courber l'échine sous le premier ordre venu. Comme une bête frêle et fragile qui tourne en rond dans sa cage pour tenter de hurler sur l'autorité même, celle ci refusa bien vite de garder cet animal sous son toit. Affirmant trop ses pensées, Charles se fit alors exclure de ce lycée. Ce ne fut que déception et sentiment d'injustice qui le prit. Passant de fils exemplaire à honte disgracieuse, il réussit cependant avec malice à avoir son baccalauréat. C'est dans cette même année que le jeune homme vint alors épouser le quartier Latin, s'y perdant un peu trop dans de sombre soirées au clair de lune. Il s'abandonne à une vie de bohème, libre, s'offrant corps et âme à l'écriture.
    Cette vie lui convenait parfaitement. L’insouciance cependant venait un peu trop frôler ses lèvres, et la liberté peut vite ternir au vice quand elle est trop présente.

    Cette attitude déplu fortement à son beau-père, qui vint arracher Charles de ce mode de vie outrageant pour son époque. Comme un oiseau fondant sur sa proie, il poussa son beau fils à embarquer quasi de force sur le Paquebot-des-Mers-du-Sud. Son cœur y perdit d'envie.
    Si Rimbaud était passionné par le voyage et l'océan immortel, lui voulait luxure et douceurs confortables. Mais encore une fois, la miséricordieuse chance sonna à la porte du jeune poète. Son périple fut écourté grandement, et il s'arrêta alors à l'île Bourdon. Ce fut comme un violent coup. Un coup sur son petit monde fermé.

    « You got me dancing in the dark »
    Son premier amour le foudroya. Pas pour un être de chair, mais pour une culture, un goût, une saveur. L'exotisme charma ses mœurs. Les femmes y étaient si belles, si charmantes, comme de l'or brûlant coulant sur son corps endormit par la riche facilité.
    Et ce ne fut pas la seule chose qui germa en sa poitrine ; en effet, Charles se mit alors à écrire ses premiers poèmes de son recueil principal, et adopta des souvenirs qu'il garda jalousement dans sa mémoire. Ce voyage qui s'annonçait détestable vint en fait illuminer son inspiration. Il en remercia secrètement son beau père, dans un rictus mauvais et faux.

    « I black out the moon »
    De retour à Paris, alors que ses pensées planaient futilement autour de son visage, cupidon vint de nouveau violenter son cœur d'enfant. La vénus Noire tomba alors sur lui, l’envoûtant de ses bras mortels, dévorant son cou, ses lèvres et ses muses. D'un nom peu connu elle était revêtu, Jeanne Duval fut son éternel combat interne. Elle était l'incarnation même de la sensualité et de l'exotique, plus qu'une simple inspiration, elle était La Femme.
    Mais l'amour était une maladie, et elle fut violente chez le jeune homme. Faible face à la romance, ce fut une longue chute dans la déprave qui vint à sa rencontre. Cette relation instable et douloureuse ne l'empêcha pas d'écrire. Il ne dériva pas.

    « Siking your nails in my heart »
    Mal grès cette liaison avec sa muse mortelle, il vint s'amouracher encore, et encore, de femmes aux lèvres tentatrices et à l'amour facile. D'abord Marie Daubrun, puis Mme Sabatier, il faisait fuser les cœurs. Et il était bon à ça.
    Pantin animé pour aimer, il s'offrait aux courbes charnelles sans retenu. Des lettres d'amour, des lettres de ruptures, des lettres de souffrances, il les enchaîner comme une drogue. Drogue qui d'ailleurs, écorchait à vif sa personne, le rendant plus faible qu'il ne l'était déjà.
    Ça lui monta rapidement à la tête. Le jeune poète s'installa sur l’île Saint-Louis, où il commença à tirer profit de l'héritage paternel, ayant atteint la majorité. Il vivait comme un bougre. S'achetant des vêtements d'une somme indécente, payant des œuvres d'art aux prix vertigineux, il n'était plus lui même.
    Il se mit d'ailleurs à cette époque à fréquenter Théophile Gautier, qui prêcheur de la déprave, lui fit goûter la fumée extasiante de l'opium, lui faisant découvrir un monde onirique tentateur et sous l'ordre du démon. Ainsi que la purée verte, douce substance venimeuse, le Haschich.
    Charles en fut charmé, et entra même dans un club, fondé par un médecin.
    Le jeune homme était devenu complètement accroc. A la drogue, à l'alcool, à l'amour, et paradoxalement, à la souffrance.

    Mais encore une fois, sa famille n'en fut absolument pas satisfaite. Pour ne pas pourrir son héritage inutilement, sa mère et son beau-père placèrent le jeune poète sous tutelle judiciaire. Privé une nouvelle fois de sa liberté, et de ses addictions, sa colère n'en fut que plus violente. Cette situation le rendait fou. Il décida alors d'un revers de main qu'il allait vivre de sa plume. Évidemment, ce ne fut pas assez. Et l'argent, aussi répugnant soit il, est nécessaire.
    Charles se lança alors dans la critique d'art, et publia ses poèmes dans de diverses revues. C'était fade. La popularité ne le gagna pas assez vite à son goût.
    Et s'il pensait avoir tout vu, un nouvel ange vint le charmer. Edgar Allan Poe. Le jeune homme tomba complètement amoureux de ses écrits, et décrit ce poète comme sa plus grande inspiration. Il se mit alors à traduire ses textes. Charles était convaincu d'avoir trouvé le parfait reflet de son âme tourmentée. Il faisait alors paraître les œuvres de l'auteur américain, traduite en français.

    En juin 1857, après avoir gratté du papiers pendant des mois, il osa enfin exposer ses écrits, et publia les Fleurs du mal. Mais malheureusement, dès le mois d’août, il se voit intenter un procès pour outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs. Un venin de serpent venait de figer son cœur. Condamné à une forte amende, il dut retrancher six poèmes de son recueil.
    Abattu, il n'avait plus de force. Cadavre sans but précis, il ne faisait maintenant qu’errer dans les rues de Paris à la recherche de solutions létales. Les dettes croulaient sur ses épaules, et quand bien même il continuait ses traductions de Poe et ses textes critiques, il n'en restait pas moins une ombre silencieuse. Pendant cette douce période infernal, l'écrivain s'était mit aux poèmes en prose. D'un thème plus sensuel, plus musical, c'était un genre nouveau pour Charles. Déçu et blessé par son échec premier, il avait longuement songé, et fini par s'inspirer d'Aloysius Bertrand.

    «  You bring out the worst in me »
    La maladie vint alors foudroyer Charles, qui tenta tant bien que mal d'y lutter, et en premier mieux, de l'oublier. Mais cet oublie fut fatal, pendant un séjour en Bretagne, le poète fit un malaise qui fut sa sentence divine. Atteint de paralysie et d'aphasie, le poète est alors ramené à Paris en juillet.
    On lui avait tout ôté. Encore une fois, il retombait à la case départ. Ce lycée où il n'était qu'un animal en cage. Il sentait la même sensation. Prisonnier d'un corps dysfonctionnel.
    Son esprit s'écoulait lentement, et un voile morne recouvrait maintenant ses yeux. Ce n'était pas un Cauchemar qui était posé sur son torse, mais la Douleur en personne. La torture, le dégoût et la colère. Ses compagnes funèbres qui restèrent à son chevet jusqu'à sa mort, un an plus tard.

    La mort elle même ne voulu plus de Charles.
    Et en 2016, le poète était là, debout dans un monde brumaire qui envoûtait ses sens. Si Dieu avait eu pitié de lui, qu'il aille au diable. Et si le diable voulait se jouer de lui, qu'il se fasse punir par la sentence divine.
    Dans tout les cas, Baudelaire n'aimait ni l'un ni l'autre. Et c'est en temps que Patron d'une boutiques de fleurs qu'il restait là, à observer un temps qu'il ne connaissait pas prendre le dessus sur son passé décrépis.






    IRL
    Hi there //winkface
    J'ai rien à dire de très intéressant si ce n'est que je faisais des rp forum quand j'avais 14 ans, puis j'ai migré sur les RP skype/DeviantArt, mais les commu sont complètement différentes, et je dois avouer que les forum m'ont bien manqués uhuh. Et puis OH ME OH MY ! Ce contexte me faisait tellement de l'oeil hhhh ♥
    voilà voilà, j'espère que tout se passera bien ~



    John H. Watson
    John H. Watson
    Revelio
    Emploi : Médecin.
    DC : Vega ♚ Merzhin ♚ Émile Zola
    Crédits : Steve Rogers - Marvel
    Nox
    Lumos
    OH MON DIEU UN FICHE COMPLETE :whut:
    C'EST TROP LE BONHEUR :whut:

    On t'a déjà vu sur la CB mais UNE FOIS ENCORE BIENVENUE Á TOI :whut:
    TON AVATAR EST TRES TRES BEAU :whut:
    Anonymous
    Invité
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    Nox
    Lumos
    CHARLES !!!!
    c'est nice de te voir :huhu:
    Bienvenue parmi nous, ça fait plaisir de savoir que tu reviens sur les forums & surtout chez nous !!
    bon courage pour ta fiche et amour sur toi ♥️
    Anonymous
    Invité
    Invité
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    Nox
    Lumos
    ENCORE BIENVENUE BAUDELAIRE. Je te trouvais déjà parfait, et puis... la voix. Fire Emblem quoi srs, j'ai envie d'y rejouer maintenant AAAAAAAAAAH. Bref j'aime beaucoup tes deux petits ajouts dans les informations et le caractère du personnage ♥
    Anonymous
    Invité
    Invité
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    Nox
    Lumos
    WOAAAAH
    merci beaucoup pour cet acceuil ahhh ♥
    Content que ma fiche te plaise Judas ♥
    ALSO !!!
    Ma fiche est terminée ♥
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    BIENVENUE ♥︎♥︎♥︎

    Ton avatar est à se jeter par terre, j'adore l'idée de la voix et du thème (et ils sont géniaux), j'aime ta fiche, j'aime Beaudelaire bref c'est??? j'adore voilà

    et bienvenue dans le club des gens détruits par l'amour
    Anonymous
    Invité
    Invité
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    Nox
    Lumos
    Owww Baubau!

    Quel plaisir de voir ici bas tous mes écrivains favoris *__*
    Ta fiche est sublime qui plus est...

    Welcome!
    Anonymous
    Invité
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    Nox
    Lumos



    Tu y es presque !

    C'est pas encore ça !
    Bonsoir ! Avant tout bienvenue ! Malheureusement je ne peux pas te valider pour la simple et bonne raison et que l'histoire de Baudelaire est bien bien trop résumé ! Il n'est renvoyé qu'une fois, du lycée Louis-Le-Grand pour avoir défendu un camarade de classe lui ayant transmis un message écrit, il déchirera et mangera le papier plutôt que de le donner ! A peine son bac en poche,
    son beau-père l'envoie en Inde mais son bateau fait naufrage et il est rapatrié à la suite de quoi il tombe amoureux une première fois, auprès d'une femme métisse mais s'endette, c'est à ce moment là qu'effectivement il doit réduire son train de vie et commence à écrire.
    Jusque là, ça va, cependant tu passes complètement et totalement sous silence le fait que Baudelaire sombre dans la drogue,
    d'abord le haschisch puis l'opium pour soigner sa syphilis, il en deviendra complètement accroc. C'est de cet drogue qu'il tiendra une partie de ses description sur la souffrance et les tortures qu'il ressent.  Tu passes complètement sous silence également que Baudelaire à toujours été un grand défenseurs de beaucoup de cause, Delacroix, Balzac etc. Son admiration sans borne pour Edgar Allan Poe dont il devient même le traducteur officiel, ça peut te faire une relation toute faite avec le dit auteur qui nous a rejoint il y a peu :huhu:
    Tu oublies aussi que les Fleurs du Mal on créé un véritable tollé, que Baudelaire à été inculpé pour outrage suite à ces poèmes et même condamné !  Et enfin tu n'as pas du tout parlé de sa mort, de comment il s'est éteint, malade ? heureux ? Triste ? J'aimerais plus de détail surtout qu'il était un grand ami de Victor Hugo -nouveaulienpossibletavu- bref, une fois cela fait je serais ravis de te valider ^^
    Anonymous
    Invité
    Invité
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    Nox
    Lumos
    Olalala, merci vous tous ♥️
    Ara ara, j'ai re-écrit l'histoire de Charles ! En espérant que cette fois ce sois la bonne mhhh :huhu:
    Anonymous
    Invité
    Invité
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    Nox
    Lumos

    Et c'est la validation !

    Bienvenue!
    Une fiche bien présentée; j'ai envie de faire plein de bisous à ce pauvre Baudelaire ! Mais je ne le ferais pas :huhu: Très bonne façon d'écrire, avec beaucoup de comparaison de figure de style c'est agréable et parfois un peu étourdissant ce qui donne plus de caractère à ta façon d'écrire, j'aime ! En tout cas j'espère que Baudelaire saura faire face à son passé et aller de l'avant à Insomnia ! Bienvenue et amuse toi bien parmi nous ♥️ :chanwar:

    Maintenant que tu as rempli la tâche qu'était de remplir ta fiche, je t'invite à aller remplir de quoi finaliser ton inscription.

    Pour recenser ton avatar, c'est [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Pour que ton personnage ait un lieu de travail, je te conseille également de te rendre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Et le plus important, n'oublie pas de recenser ton métier [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ! Et pour finir, venez recenser d'où vient votre personnage [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ♥️ !
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