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Colonel Sebastian Moran♕
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Création date de parution : 1903 ▄ Date d'arrivée : il y a un mois ▄ Métier : journaliste ▄ Moyen ▄ Avatar : Akai Shuichi - Détective Conan | ❝ C'est Arsène, qui n'a visiblement pas de vie. |
Histoire
Quelques jours après son arrivé à Insomnia, le Colonel Moran s’était assis à la table de sa salle à manger pour écrire un résumé de son ancienne vie. Certes, les livres de Sir Conan Doyle pouvait être facilement trouvable ici, mais ils avaient toujours apprécié écrire sur lui-même, et ce qu’il avait accomplis. C’était aussi un moyen de ne pas oublier qu’il avait réellement vécu tout cela. Dans un carnet qui n’était pas d’une grande qualité, il avait commencé par rédiger le paragraphe suivant :
Ma vie fictive, si je devais en faire un résumé, était celle d’un soldat talentueux, un tireur d’élite et grand sportif. Mais aussi celle d’un homme attiré malgré lui par le Mal. Doyle avait crééla parfaite raclure le parfait bras droit pour accompagner le professeur Moriarty.
Puis, il commença son autobiographie en incluant tous les détails dont il se souvenait.
Fils de Sir Augustus Moran, un compagnon de l’Order of the Bath, ainsi qu’ambassadeur du Royaume-Uni en Perse, j’étais né à Londres en 1840. J’avais effectué mes études au collège d’Eton puis à l’université d’Oxford, avant de de finalement me lancer comme mon père dans une carrière militaire. J’avais été engagé dans le 1st Bangalore Pioneers, un régiment de l’Armée des Indes inventé par Doyle, mon soi-disant “auteur” et “vrai père” ; celui qui m’avait créé. Dès lors, j’enchainais les batailles.
J’avais servit lors de l’expédition Jowaki de 1877 à 1878, ainsi que la deuxième guerre anglo-afghane, au cours de laquelle je combattit à la bataille de Char-Asiab le 6 octobre 1879, et pendant le siège du camp de Sherpure le 23 décembre 1879… Entre autre.
En 1881, j’avais publié le livre “Heavy Game of the Western Himalayas”, puis “Three Months in the Jungle” en 1884. Personne ne soupçonnait le colonel Moran ; dont on discutait les glorieuses réussites et son incroyable courage ; soldat remarquable qu’il était ; d’être un abjecte criminel.
“Abjecte” était un bien grand mot. Il n’y avait pas de mal à se faire de l’argent sur ce que l’on faisait de mieux : tuer. On avait dit de lui qu’il était le deuxième homme le plus dangereux de Londres, après Moriarty.
Il n’y avait eu aucun scandale, mais je fus obligé de me retirer de l’Armée des Indes et de retourner à Londres. Habitant de Conduit Street dans le quartier de Mayfair, membre de clubs huppés, je menais la vie d’un riche homme respectable.
Il aspirait d’ailleurs à grimper à nouveau l’échelle sociale. Hors de question de rester pauvre toute sa vie. Même quelqu’un comme lui, qui pouvait se contenter de rien, avait besoin de luxe et de confort.
Pourtant, dans le monde de la pègre, on savait parfaitement quel être malfaisant j’étais. Si bien, que j’ai été recruté par le professeur Moriarty et devint le chef d’équipe de son empire criminel, ainsi que son assassin pour des exécutions qui nécessitaient mon talent en tire.
“Ce que l’on appelle maintenant des snipers” pensa Moran. Il fit une pause dans son écrit, se servant un verre de Brandy qu’il sirota calmement, l’esprit plongé dans quelques souvenirs, avant de reprendre.
Cela dura quelques années, jusqu’en 1891 plus précisément. Moi qui pensais Moriarty invincible, l’homme perdit pourtant son réseau criminel ; l’oeuvre de Holmes. Je réussis cependant à échapper aux accusations que l’on avait faites contre moi, et suivit le génie du crime jusqu’aux chutes du Reichenbach.
Il se souvenait parfaitement de ces chutes, en mal : il y avait perdu un ami et un précieux allié.
Moriarty perdit la vie, tué par Holmes ; certes de la légitime défense, mais ce n’était pas mon problème. Tout ce que j’avais vu était mon mentor chuter. Jurant de le venger, j’avais provoqué une avalanche pour tenter d’éliminer le détective. Ce que je ne savais pas, c’était qu’il y avait échappé.
De retour à Londres, ayant tout perdu du jour au lendemain hormis ma réputation, je fus forcé de gagner ma vie en jouant aux cartes ; chose qu’il m’arrivait de faire encore aujourd’hui. Ronald Adair, un autre joueur qui avait découvert que je trichais, avait menacé de dénoncer les crimes que j’avais commis. Je l’avais assassiné un 30 mars 1894, avec une arme faite par un mécanicien d’origine Allemande selon les instructions de Moriarty.
“Un fusil à air comprimé pouvant tirer des balles de revolver” se souvenait Moran. Il aimerait pouvoir remettre la main sur une telle arme. Bien que cette ville avait sûrement quelque chose de plus… élaboré.
Peu après son assassinat, Holmes réapparu miraculeusement et, accompagné du Dr Watson, il prit l’affaire en main.
Je voulais que ce sale détective retourne en enfer une bonne fois pour toute… Malheureusement, celui-ci s’attendait à ma vengeance et avait pris les précautions nécessaires.
Il arrêta amèrement son récit ici. Il n’avait plus rien de glorieux à écrire. Caché dans une Maison vide - “le titre de la nouvelle de Doyle” notait-il ”il ne s’était pas torturé l’esprit” - en face du fameux 221B, Sebastian avait tiré sur ce qu’il pensait être Sherlock Holmes…
“Et finalement, c’était un stupide mannequin.”
Reprenant son stylo, il acheva tout de même son ancienne biographie :
Je fus arrêté par l’inspecteur Lestrade qui était planqué dans la même Maison. Puis plus rien. Puis Insomnia.
...Et le désastre.
Insomnia, n’avait jamais eu de couleur. Tout était noir, blanc, gris. Je fuyais la lumière qui me faisait souffrir et vivait la nuit. Insomnia, se moquait de moi de la pire des façons. Je voyais trouble, mal. J’avais perdu ce qui me caractérisait, ce qui avait fait de moi le Colonel Sebastian Moran : le regard d’un tireur d’élite.
J’étais atteint d’achromatopsie.
Moran resta un instant sans bouger, avant de jeter rageusement son stylo sur le bureau et s’allumer une cigarette, faisant les cent pas dans la pièce ; comme un tigre qui rôdait en cage, attendant d’être libéré pour le dîner.
“Le dîner qui ne viendra jamais…”
Après quelques minutes passés à remettre ses émotions en ordre, il retourna s’assoir sur sa chaise, cigarette toujours en bouche.
Je suis obligé de porter des lunettes de soleil en extérieur, sinon je suis limite aveugle. Mes yeux ont du mal à suivre quelque chose qui se déplace vite - ou ne le voit - et je ne peux lire uniquement si les lettres sont très proche de mon visage ou en gros caractères.
Je ne peux plus voir de loin. Je ne peux plus tirer comme avant. Et ça me manque et me bouffe tous les jours. Alors, pour pouvoir un peu d’action dans ma vie, je suis devenu journaliste.
Il continuera à l’être jusqu’à ce qu’il ne puisse plus, puis deviendra sans doute écrivain… En tous cas, il refusait d’être défaitiste.
Mais je ne renonce pas à la “chasse” : mes autres sens sont à ma disposition pour exécuter ma cible. L’odorat, l’ouïe, et même les ombres... Je veux être prêt pour mes retrouvailles avec le professeur Moriarty.
Sherlock aura du soucis à se faire, car il ne le lâchera pas.
En attendant, je ne pense pas être encore apte à tirer sur des cibles humaines sans me faire attraper par la police. Je m’entraine au stand de tire, ou sur quelques poubelles le soir...
J’ai également songé à former un réseau criminel… Comme avant.
Je suis un homme de l’ombre. Le monde du crime est celui auquel j'appartiens.
J’ai besoin de tuer.
“Patience, mon bon Moran… Un jour ou l’autre tu pourras agir.”
Sebastian referma le carnet et, décidant qu’il était enfin l’heure de sa balade nocturne, se leva pour éteindre la lumière de son appartement.
C'était durant ces marches qu'il faisait le point sur sa vie ; l'ancienne, celle de papier inventé par un autre (cela ne lui faisait pas grand chose à vrai dire), son actuelle, pleine de nouvelles opportunités... et se demandait ce qu'il s'y était passé lors de ses nombreuses renaissances à Insomnia - il avait eu vent de cette vérité, et aimait à penser qu'il avait été d'une grande aide pour Devil.
Il préférait cependant se concentrer sur le moment présent ; si fragile malgré l'éternité qui se présentait devant lui, Moran se sentait pourtant invincible, et attendait la prochaine guerre avec impatience.
Car il était certain qu'aucun peuple ne savait resté tranquille bien longtemps.
Ma vie fictive, si je devais en faire un résumé, était celle d’un soldat talentueux, un tireur d’élite et grand sportif. Mais aussi celle d’un homme attiré malgré lui par le Mal. Doyle avait créé
Puis, il commença son autobiographie en incluant tous les détails dont il se souvenait.
Fils de Sir Augustus Moran, un compagnon de l’Order of the Bath, ainsi qu’ambassadeur du Royaume-Uni en Perse, j’étais né à Londres en 1840. J’avais effectué mes études au collège d’Eton puis à l’université d’Oxford, avant de de finalement me lancer comme mon père dans une carrière militaire. J’avais été engagé dans le 1st Bangalore Pioneers, un régiment de l’Armée des Indes inventé par Doyle, mon soi-disant “auteur” et “vrai père” ; celui qui m’avait créé. Dès lors, j’enchainais les batailles.
J’avais servit lors de l’expédition Jowaki de 1877 à 1878, ainsi que la deuxième guerre anglo-afghane, au cours de laquelle je combattit à la bataille de Char-Asiab le 6 octobre 1879, et pendant le siège du camp de Sherpure le 23 décembre 1879… Entre autre.
En 1881, j’avais publié le livre “Heavy Game of the Western Himalayas”, puis “Three Months in the Jungle” en 1884. Personne ne soupçonnait le colonel Moran ; dont on discutait les glorieuses réussites et son incroyable courage ; soldat remarquable qu’il était ; d’être un abjecte criminel.
“Abjecte” était un bien grand mot. Il n’y avait pas de mal à se faire de l’argent sur ce que l’on faisait de mieux : tuer. On avait dit de lui qu’il était le deuxième homme le plus dangereux de Londres, après Moriarty.
Il n’y avait eu aucun scandale, mais je fus obligé de me retirer de l’Armée des Indes et de retourner à Londres. Habitant de Conduit Street dans le quartier de Mayfair, membre de clubs huppés, je menais la vie d’un riche homme respectable.
Il aspirait d’ailleurs à grimper à nouveau l’échelle sociale. Hors de question de rester pauvre toute sa vie. Même quelqu’un comme lui, qui pouvait se contenter de rien, avait besoin de luxe et de confort.
Pourtant, dans le monde de la pègre, on savait parfaitement quel être malfaisant j’étais. Si bien, que j’ai été recruté par le professeur Moriarty et devint le chef d’équipe de son empire criminel, ainsi que son assassin pour des exécutions qui nécessitaient mon talent en tire.
“Ce que l’on appelle maintenant des snipers” pensa Moran. Il fit une pause dans son écrit, se servant un verre de Brandy qu’il sirota calmement, l’esprit plongé dans quelques souvenirs, avant de reprendre.
Cela dura quelques années, jusqu’en 1891 plus précisément. Moi qui pensais Moriarty invincible, l’homme perdit pourtant son réseau criminel ; l’oeuvre de Holmes. Je réussis cependant à échapper aux accusations que l’on avait faites contre moi, et suivit le génie du crime jusqu’aux chutes du Reichenbach.
Il se souvenait parfaitement de ces chutes, en mal : il y avait perdu un ami et un précieux allié.
Moriarty perdit la vie, tué par Holmes ; certes de la légitime défense, mais ce n’était pas mon problème. Tout ce que j’avais vu était mon mentor chuter. Jurant de le venger, j’avais provoqué une avalanche pour tenter d’éliminer le détective. Ce que je ne savais pas, c’était qu’il y avait échappé.
De retour à Londres, ayant tout perdu du jour au lendemain hormis ma réputation, je fus forcé de gagner ma vie en jouant aux cartes ; chose qu’il m’arrivait de faire encore aujourd’hui. Ronald Adair, un autre joueur qui avait découvert que je trichais, avait menacé de dénoncer les crimes que j’avais commis. Je l’avais assassiné un 30 mars 1894, avec une arme faite par un mécanicien d’origine Allemande selon les instructions de Moriarty.
“Un fusil à air comprimé pouvant tirer des balles de revolver” se souvenait Moran. Il aimerait pouvoir remettre la main sur une telle arme. Bien que cette ville avait sûrement quelque chose de plus… élaboré.
Peu après son assassinat, Holmes réapparu miraculeusement et, accompagné du Dr Watson, il prit l’affaire en main.
Je voulais que ce sale détective retourne en enfer une bonne fois pour toute… Malheureusement, celui-ci s’attendait à ma vengeance et avait pris les précautions nécessaires.
Il arrêta amèrement son récit ici. Il n’avait plus rien de glorieux à écrire. Caché dans une Maison vide - “le titre de la nouvelle de Doyle” notait-il ”il ne s’était pas torturé l’esprit” - en face du fameux 221B, Sebastian avait tiré sur ce qu’il pensait être Sherlock Holmes…
“Et finalement, c’était un stupide mannequin.”
Reprenant son stylo, il acheva tout de même son ancienne biographie :
Je fus arrêté par l’inspecteur Lestrade qui était planqué dans la même Maison. Puis plus rien. Puis Insomnia.
...Et le désastre.
Insomnia, n’avait jamais eu de couleur. Tout était noir, blanc, gris. Je fuyais la lumière qui me faisait souffrir et vivait la nuit. Insomnia, se moquait de moi de la pire des façons. Je voyais trouble, mal. J’avais perdu ce qui me caractérisait, ce qui avait fait de moi le Colonel Sebastian Moran : le regard d’un tireur d’élite.
J’étais atteint d’achromatopsie.
Moran resta un instant sans bouger, avant de jeter rageusement son stylo sur le bureau et s’allumer une cigarette, faisant les cent pas dans la pièce ; comme un tigre qui rôdait en cage, attendant d’être libéré pour le dîner.
“Le dîner qui ne viendra jamais…”
Après quelques minutes passés à remettre ses émotions en ordre, il retourna s’assoir sur sa chaise, cigarette toujours en bouche.
Je suis obligé de porter des lunettes de soleil en extérieur, sinon je suis limite aveugle. Mes yeux ont du mal à suivre quelque chose qui se déplace vite - ou ne le voit - et je ne peux lire uniquement si les lettres sont très proche de mon visage ou en gros caractères.
Je ne peux plus voir de loin. Je ne peux plus tirer comme avant. Et ça me manque et me bouffe tous les jours. Alors, pour pouvoir un peu d’action dans ma vie, je suis devenu journaliste.
Il continuera à l’être jusqu’à ce qu’il ne puisse plus, puis deviendra sans doute écrivain… En tous cas, il refusait d’être défaitiste.
Mais je ne renonce pas à la “chasse” : mes autres sens sont à ma disposition pour exécuter ma cible. L’odorat, l’ouïe, et même les ombres... Je veux être prêt pour mes retrouvailles avec le professeur Moriarty.
Sherlock aura du soucis à se faire, car il ne le lâchera pas.
En attendant, je ne pense pas être encore apte à tirer sur des cibles humaines sans me faire attraper par la police. Je m’entraine au stand de tire, ou sur quelques poubelles le soir...
J’ai également songé à former un réseau criminel… Comme avant.
Je suis un homme de l’ombre. Le monde du crime est celui auquel j'appartiens.
J’ai besoin de tuer.
“Patience, mon bon Moran… Un jour ou l’autre tu pourras agir.”
Sebastian referma le carnet et, décidant qu’il était enfin l’heure de sa balade nocturne, se leva pour éteindre la lumière de son appartement.
C'était durant ces marches qu'il faisait le point sur sa vie ; l'ancienne, celle de papier inventé par un autre (cela ne lui faisait pas grand chose à vrai dire), son actuelle, pleine de nouvelles opportunités... et se demandait ce qu'il s'y était passé lors de ses nombreuses renaissances à Insomnia - il avait eu vent de cette vérité, et aimait à penser qu'il avait été d'une grande aide pour Devil.
Il préférait cependant se concentrer sur le moment présent ; si fragile malgré l'éternité qui se présentait devant lui, Moran se sentait pourtant invincible, et attendait la prochaine guerre avec impatience.
Car il était certain qu'aucun peuple ne savait resté tranquille bien longtemps.
Caractère
Qualités
Défauts
Caractère;
Le Colonel Sebastian Moran a gardé le caractère de son ancienne vie, celui d’un soldat, et d’un homme de bonne famille. C’est une compagnie agréable, polie, assez discrète quoique vantarde et faisant parfois tout pour se faire remarquer. Cette attitude peut être observer lorsqu’il se rend à des clubs, huppés ou non, notamment quand il joue aux cartes - auquel il est meilleur que tout le monde... Surtout quand il triche.
Sebastian aime la compagnie… de personnes haut placées principalement - on perd difficilement certaines habitudes. S’il paraît amical, il est fort probable que cela soit par hypocrisie ; il veut être bien vu pour mieux fabriqué sa double identité. Moran est journaliste car ainsi il peut fouiller dans la vie de qui il veut sans que cela soit questionné.
Car, au fond, il est resté attaché à Moriarty. Il prépare son retour avec impatience, souhaitant bâtir un empire du mal “comme au bon vieux temps”. Il sait que ce ne sera pas facile après les événements qui se sont produits à Insomnia, dont il a eu vent (il regrette de ne pas avoir été là) - il pense à ce sujet que Moriarty pourrait très bien avoir un lien de parenté avec le Diable.
S’il y a bien un problème qui empêcherait le britannique de mener à bien son plan, ce sont ses problèmes de visions : il ne sait pas s’il sera capable de tirer à nouveau comme avant, car il ne peut voir précisément ce qui ne se trouve pas à quelques centimètres de son nez. Il ne se laisse cependant pas abattre par l’idée -il y a d’autres manières d’assassiner- n’hésitant pas à menacer, voir planifier la malencontreuse disparition d’une personne qui se serait moquée de lui. Car Sebastian ressent toujours le besoin de chasser, de voir le sang, de se salir les mains.
Étonnement, l’ancien colonel sait obéir aux ordres et respecte ses supérieur s’il juge qu’ils en sont digne. De la même manière, il est respectueux envers les anciens soldats, ceux qui réussissent dans la vie… et il se dit “pourquoi pas moi, dans ce nouveau corps ?”
Concernant son créateur, il ne le considère pas forcément comme son père… Voir ne pense pas grand chose de lui. Aussi, il ne comprend cependant pas pourquoi ce dernier a choisi de faire arrêter Moran d’une telle façon : il trouve stupide que le deuxième type le plus dangereux de Londres se fasse avoir d’une manière “aussi conne”.
Physique;
Sebastian est un homme à la peau pâle, grand, d’un mètre quatre vingt-cinq plus précisément, entretenant un corps musclé (quand il a le temps). On remarque, en le regardant, un visage aux traits marquées, des pommettes saillantes et un nez légèrement pointu ; lui donnant un air de loup.
Après avoir remonté le long de l’arête de celui-ci, on découvre deux yeux verts qui ne sont parfois pas fixes -faute au nystagmus lié à sa condition- et souvent plissés car sensibles à la lumière.
Des longs doigts fins remettent parfois en place des mèches noirs légèrement bouclés retombant sur son front. Si Sebastian préfère avoir ses cheveux courts, il lui arrive de les laisser pousser jusqu’au bas de son dos - bien loin de ce qu’exige l’armée - avant de les couper à nouveau quand il ne les supporte plus .
D’un point de vue vestimentaire, il a tendance à porter des couleurs sombres, surtout du noir. C’est une question de facilité : il est difficile d’assortir les couleurs quand on ne les voit pas. Il apprécie les vestes en cuir, les chemises et les jeans, des vêtements confortables. Il porte parfois un bonnet, pensant être plus discret ainsi… Mais ses lunettes teintés rouge-orangées (portées majoritairement en journée, elles lui permettent de ne pas être totalement aveuglé et ont en plus une correction) le rendent assez facilement repérable.
Pour le cadre de son travail, ou pour fréquenter des personnes haut placées, il fait des efforts sur sa tenue et porte des costumes de bonne qualité.
Le Colonel Sebastian Moran a gardé le caractère de son ancienne vie, celui d’un soldat, et d’un homme de bonne famille. C’est une compagnie agréable, polie, assez discrète quoique vantarde et faisant parfois tout pour se faire remarquer. Cette attitude peut être observer lorsqu’il se rend à des clubs, huppés ou non, notamment quand il joue aux cartes - auquel il est meilleur que tout le monde... Surtout quand il triche.
Sebastian aime la compagnie… de personnes haut placées principalement - on perd difficilement certaines habitudes. S’il paraît amical, il est fort probable que cela soit par hypocrisie ; il veut être bien vu pour mieux fabriqué sa double identité. Moran est journaliste car ainsi il peut fouiller dans la vie de qui il veut sans que cela soit questionné.
Car, au fond, il est resté attaché à Moriarty. Il prépare son retour avec impatience, souhaitant bâtir un empire du mal “comme au bon vieux temps”. Il sait que ce ne sera pas facile après les événements qui se sont produits à Insomnia, dont il a eu vent (il regrette de ne pas avoir été là) - il pense à ce sujet que Moriarty pourrait très bien avoir un lien de parenté avec le Diable.
S’il y a bien un problème qui empêcherait le britannique de mener à bien son plan, ce sont ses problèmes de visions : il ne sait pas s’il sera capable de tirer à nouveau comme avant, car il ne peut voir précisément ce qui ne se trouve pas à quelques centimètres de son nez. Il ne se laisse cependant pas abattre par l’idée -il y a d’autres manières d’assassiner- n’hésitant pas à menacer, voir planifier la malencontreuse disparition d’une personne qui se serait moquée de lui. Car Sebastian ressent toujours le besoin de chasser, de voir le sang, de se salir les mains.
Étonnement, l’ancien colonel sait obéir aux ordres et respecte ses supérieur s’il juge qu’ils en sont digne. De la même manière, il est respectueux envers les anciens soldats, ceux qui réussissent dans la vie… et il se dit “pourquoi pas moi, dans ce nouveau corps ?”
Concernant son créateur, il ne le considère pas forcément comme son père… Voir ne pense pas grand chose de lui. Aussi, il ne comprend cependant pas pourquoi ce dernier a choisi de faire arrêter Moran d’une telle façon : il trouve stupide que le deuxième type le plus dangereux de Londres se fasse avoir d’une manière “aussi conne”.
Physique;
Sebastian est un homme à la peau pâle, grand, d’un mètre quatre vingt-cinq plus précisément, entretenant un corps musclé (quand il a le temps). On remarque, en le regardant, un visage aux traits marquées, des pommettes saillantes et un nez légèrement pointu ; lui donnant un air de loup.
Après avoir remonté le long de l’arête de celui-ci, on découvre deux yeux verts qui ne sont parfois pas fixes -faute au nystagmus lié à sa condition- et souvent plissés car sensibles à la lumière.
Des longs doigts fins remettent parfois en place des mèches noirs légèrement bouclés retombant sur son front. Si Sebastian préfère avoir ses cheveux courts, il lui arrive de les laisser pousser jusqu’au bas de son dos - bien loin de ce qu’exige l’armée - avant de les couper à nouveau quand il ne les supporte plus .
D’un point de vue vestimentaire, il a tendance à porter des couleurs sombres, surtout du noir. C’est une question de facilité : il est difficile d’assortir les couleurs quand on ne les voit pas. Il apprécie les vestes en cuir, les chemises et les jeans, des vêtements confortables. Il porte parfois un bonnet, pensant être plus discret ainsi… Mais ses lunettes teintés rouge-orangées (portées majoritairement en journée, elles lui permettent de ne pas être totalement aveuglé et ont en plus une correction) le rendent assez facilement repérable.
Pour le cadre de son travail, ou pour fréquenter des personnes haut placées, il fait des efforts sur sa tenue et porte des costumes de bonne qualité.
Ven 15 Mar - 23:38
Sherlock Holmes
Revelio
Emploi : Détective privé
DC : War || Edgar A. Poe
Crédits : James B. Barnes || Marvel
Nox
Lumos
Ptdr t ki
J'me sens un peu menacé, je sais pas pourquoi.
1vs1 derrière Carrefour ?
REBIENVENUE SEBY J'approuve totalement du Détective Conan.
J'te vole direct un rp à ta validation, dear
HAVE FUN <3
1vs1 derrière Carrefour ?
REBIENVENUE SEBY J'approuve totalement du Détective Conan.
J'te vole direct un rp à ta validation, dear
HAVE FUN <3
Ven 15 Mar - 23:50
John H. Watson
Revelio
Emploi : Médecin.
DC : Vega ♚ Merzhin ♚ Émile Zola
Crédits : Steve Rogers - Marvel
Nox
Lumos
FRÉROOOOOOOOOOT ! Ok en vrai Jawn est pas super content MAIS BON ON VA DIRE QUE COUCOU /PAN
Courage pour ta fiche
Courage pour ta fiche
Sam 16 Mar - 0:14
Invité
Invité
Revelio
Nox
Lumos
Sherly > ptdr
ton pire cauchemar (après Moriarty, mais avant la falaise tout de même faut pas déconner)
quand tu veux pour le 1vs1
ET MERCIIII hâte de te chasser dans toute la ville
Jawn > Mais siii il va voir, ça va bien se passer. Merci
ton pire cauchemar (après Moriarty, mais avant la falaise tout de même faut pas déconner)
ET MERCIIII hâte de te chasser dans toute la ville
Jawn > Mais siii il va voir, ça va bien se passer. Merci
Sam 16 Mar - 0:48
Invité
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Nox
Lumos
Bienvenue encore une fois <3 :uuh: !!
Tu fais que des bruns toi fétichise
Dim 17 Mar - 14:29
Invité
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Nox
Lumos
Merciiii
Et oui, j'aime beaucoup trop les bruns.
Et oui, j'aime beaucoup trop les bruns.
Sam 13 Avr - 21:07
Invité
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Revelio
Nox
Lumos
bravo tu es validé !
Hey Salut sexy tu sais à quel point je te trouve ténébreux et hot ? En tout cas tu es le rebienvenue parce que ta fiche est super pleine de détail ça me rend fou ! En tout cas c'est bien écrit tu sais que je te kiffe alors bisous !
Rebienvenue quand même; amuse toi bien sur Insomnia après tout, tu connais la maison !
Rebienvenue quand même; amuse toi bien sur Insomnia après tout, tu connais la maison !
Maintenant que tu as rempli la tâche qu'était de remplir ta fiche, je t'invite à aller remplir de quoi finaliser ton inscription.Pour recenser ton avatar, c'est [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Pour que ton personnage ait un lieu de travail, je te conseille également de te rendre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Et le plus important, n'oublie pas de recenser [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] !
Oh et, si tu possèdes un DC/TC, viens le recenser par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et pour finir (oui c'est long) [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ~ !
Oh et, si tu possèdes un DC/TC, viens le recenser par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et pour finir (oui c'est long) [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ~ !
Mer 17 Avr - 4:31
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