insomnia
forum ouat - avatars réels - contexte évolutif
AccueilAccueil  
  • FAQFAQ  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • GroupesGroupes  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • période : printemps 2023
    Mise à jour
    Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer elit quam, elementum sed libero vitae, commodo placerat sem. Proin vel neque posuere, aliquam urna quis, mollis mi.
    annonces du ministère
    Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Sed tristique nunc dictum consectetur posuere. In ac est sit amet elit vulputate laoreet. Nam ornare, nulla at condimentum dictum, metus tellus accumsan dui, id egestas libero ipsum nec velit. Cras quis magna elit. Donec rhoncus, leo vel accumsan luctus, turpis lorem lacinia purus, sed aliquam mi magna eget dui. Orci varius natoque penatibus et magnis dis parturient montes, nascetur ridiculus mus. Donec vehicula eu magna faucibus dapibus. Nullam auctor orci tortor, quis bibendum tortor molestie eu.
    -21%
    Le deal à ne pas rater :
    LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
    39.59 € 49.99 €
    Voir le deal

    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos

    DUMAS ALEXANDRE
    [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
    Créateur

    5 décembre 1870
    Il y a 8 ans
    Critique culinaire
    Jean-Luc St Laurence par Alex Zappa

    Pas adepte du Yaoi par ici. Mais par contre j'aime bien la CAMARADERIE VIRILE ENTRE MÂLES.

    Histoire
    24 334 figurants ; 4 056 personnages principaux ; 88 812 secondaires ; 37 267 héros ; 86 romans ; 6 pièces de théâtre ; 4 impressions de voyages ; 2 autobiographies ; 4 nouvelles ; 1 livre de gastronomie.

    Voilà tout l’héritage d’Alexandre Dumas, l’homme le plus lu de tous les temps… Après Dieu. Ne le confondez pas avec son père qui se nomme lui aussi (Thomas) Alexandre Dumas, un Général issu d’un marquis créole et d’une esclave noire. 

    Alexandre Dumas naît dans l’Aisne, un 24 juillet 1802. Cet enfant déjà privé de son père très jeune doit se contenter d’une éducation très pauvre et incomplète. Sa mère restée veuve en 1806 ne pouvait lui offrir que le minimum, après tout, la pension de son mari ne lui offrait que de faibles ressources financières. Mais ce brave gosse n’était pas à plaindre, car en plus de posséder un intellect extraordinaire, il avait une force et une santé à toute épreuve grâce à l’héritage génétique de son défunt père. Qui plus est, ce manque de présence paternelle n’impacte pas son sens de la créativité ni sa singularité naturelle.

    Car Alexandre n’a jamais aimé l’école, à tel point qu’il s’amuse même à ne pas s’y rendre comme il le devrait. Cet esprit qui ne voulait se contraindre à quoique se soit fait déjà preuve d’un attachement profond pour ce qui est authentique : La chasse et la pêche, et ceci, dès ses 15 ans. A défaut d’avoir une présence paternelle pour lui apprendre ce genre d’activités masculines et empreinte de camaraderie virile, il se débrouille seul. C’est ainsi que son goût pour l’action se prononce, et que son besoin de ne pas être mis dans une case s’affirme. Il mène une vie de petit garçon curieux et aventurier sur les bords. Il n’aura peut-être pas eu moult jouets comme ces petits aristocrates, il ne saura peut-être pas parler 3 langues ou jouer d’un instrument, cependant… Il a un trésor inestimable qui lui fera garder son âme d’enfant à vie : Sa joie de vivre naturelle.

    Pourtant, il faut bien gagner sa vie, ainsi il devient Clerc de notaire par nécessité en 1817 avant de partir pour Paris 6 ans plus tard. Le passé de Général de son père joue en sa faveur et le fait croiser la route du Général Foy qui reste impressionné par ses qualités d’écritures, mais affligé de voir Alexandre aussi ignorant. Il obtient de cette façon une place dans la chancellerie du duc d’Orléans. Le salaire qu’il perçoit lui permet dès lors de vivre convenablement à 20 ans et de parfaire son éducation, notamment en se penchant sur l’histoire de France. Le voilà prenant donc son indépendance vis-à-vis de sa mère, soulageant cette brave femme financièrement. Ce moment lui permet de ressentir une certaine satisfaction naturelle, celle de couper le cordon et de vivre comme un adulte désormais. Et comme les adultes, Alexandre est prêt à avoir de l’ambition. Beaucoup d’ambition. L’idée lui vient alors en tête de vivre de son talent, de là lui vient l’audace d’imprimer ses premiers essais. 

    Bien rapidement, il a soif de fortune, de conquête, de notoriété. Sa situation actuelle lui permet aussi de prendre une revanche sur sa vie, de démontrer sa réussite en assumant son origine à la fois aristocratique mais aussi populaire. Alexandre Dumas est un optimiste, et un bon vivant. Alors il dépense, il offre, au point de faire par moment faillite. Il multiplie les conquêtes et laisse derrière lui moult nouveaux-nés illégitimes et sans père. Il en reconnaît quelques uns, dont Alexandre Dumas Fils qui suivra les traces de son père biologique en devenant un dramaturge à succès. Mais aussi Marie-Alexandrine Dumas issue d’une autre liaison, celle-ci finissant par venir vivre près de son père en 1846. Il y a cet Henry Bauër aussi, fils naturel qui aura décidé de garder le nom de sa mère.  On constate finalement que le sens du romantisme d’Alexandre Dumas est… Particulier. Après tout, il est capable de tomber amoureux plusieurs fois en un laps de temps très court. Disons que cet homme a un appétit hors du commun, aussi bien envers la nourriture qu’envers le corps des femmes. La réputation de sa libido exceptionnelle n’est pas infondée et on retrouve même sa générosité au travers de ses multiples partenaires : « C’est par humanité que j’ai des maîtresses ; si je n’en avais qu’une, elle serait morte avant huit jours. » Et les rumeurs ? Le commérage est exceptionnel à cette époque… Mais n’oublions pas que nous parlons d’Alexandre Dumas, un homme qui s’assume, assume ses aventures, et ne donne pas la moindre once d’attention à ce qui peut se dire sur lui. Assurément, il aurait eu parfaitement sa place à l’époque des bacchanales et de la décadence romaine. Mais cela l’amènera à se poser une question sincère à la fin de sa vie : Combien d’enfants aura-t-il laissé derrière lui ? Il a sa petite idée, s’imaginant en avoir probablement 500 dans le monde qu’il ne connaît guerre.

    Mais cela ne remet pas en question son très grand talent pour la littérature, Alexandre conserve une faculté exceptionnelle à prendre le lecteur par les sentiments et à combler ses attentes. Après le succès des « Trois Mousquetaires », Dumas réalise son rêve : Construire un château sur les coteaux de Port Marly, en bord de Seine, près de St-Germain-en-Laye. Le Château de « Monte-Cristo » où il y fait quelques folies, attirant ainsi l’admiration d’Honoré de Balzac pour ce lieu de toute beauté. « La plus royale des bonbonnières qui existe » pour reprendre ses termes. En 1847, la pendaison de crémaillère rassemble 600 invités dont quelques uns qui vivront de façon permanente avec Alexandre, et à ses frais. Alexandre ne compte pas et prend un plaisir tout à fait discutable à dépenser pour lui-même et pour les autres. Il n’y voit pas le moindre problème, pourtant, c’est une réelle contradiction pour un ancien enfant qui a manqué de biens matériels. Ne connaît-il pas la valeur des choses ? Ou alors au contraire,  connaissant le manque, serait-ce pour lui une manière de compenser son vécu ?

    Peu importe la réponse, parce qu’une telle générosité et frivolité se paie, il accumule les dettes et se voit contraint de se séparer de ses œuvres. Mais ça ne suffit pas, il perd toujours plus d’argent, se retrouve à devoir assumer les conséquences de ses dépenses. Vivre l’instant présent sans regarder vers l’avenir est dangereux. Et pourtant, il continue de garder cet esprit positif et cette joie de vivre, toujours désireux de nouveaux projets ambitieux comme la construction de ce qui sera le Théâtre Montpensier. Malheureusement, la révolution de 1848 le ruine à nouveau, son Théâtre fait faillite et son lancement dans une carrière politique se solde par un échec. Et tout se succède, la perte de son Théâtre, puis de son château. Il ne lui reste rien, plus rien, si ce n’est partir en Belgique avec son compagnon Victor Hugo pour protester contre le coup d’État de Napoléon III, mais aussi et surtout… Pour échapper à ses propres dettes. Relation ambiguë avec cet écrivain par ailleurs, jamais il n’aurait imaginé la tournure de cette relation basée sur l’amitié mais aussi sur une rivalité complexe. Dire qu’Alexandre était absolument sincère dans son affection pour lui, il a toujours remarqué que Victor avait un certain agacement pour son côté, disons-le… Extravagant. Victor, ce cher ami qui ne l’a pour ainsi dire jamais considéré comme égal en terme de morale et de qualités littéraires, les accusations de plagiats étaient-elles une opportunité pour lui d’affirmer sa supériorité auto-proclamée ? Alexandre ne le saura probablement jamais, et c’est une déception de perdre un compagnon de route ainsi. A eux deux, ils étaient parvenu à faire valoir le romantisme, l’histoire se souviendra de leurs noms pour cela ! Mais lequel des deux hommes restera plus populaire que l’autre au travers des siècles ? Alexandre connaît bien la réponse. Son succès a tout simplement toujours été immense et plus renversant que ne l’aura été celui de Victor Hugo. Surtout, surtout… Alexandre ne compte absolument pas oublier ce coup immonde que Victor a pu lui faire en appuyant ces infâmes accusations de plagiat. Ce ne sont pas les premières pour lui, et à vrai dire, Mirecourt s’y était mis le premier à coup de bassesses en le traitant de « sauvage ». Quoi donc ? Honoré de Balzac l’accuse lui aussi ? Bon. Effectivement, Alexandre a des collaborateurs avec lesquels il écrit, s’est-il approprié leur talent ? La vérité vraie, c’est lui qui la connaît. D’ailleurs, la rumeur court que ce nègre au cœur tendre aurait en réalité les ‘qualités’ d’un tyran assumé…

    Mais peu importe, rien ne freinera cette flamme ardente en lui qui brûle pour l’écriture. Ni ces accusations, ni ces critiques qui le qualifient d’écrivain « commercial » produisant une « littérature industrielle ». Un comble !

    C’est avec ce lourd bagage qu’est son ancienne vie qu’il se retrouve ainsi dans ce monde. Si différent et pourtant si similaire avec ce qu’il a connu. La corruption, le vice, le danger mais aussi la luxure et le plaisir décomplexé. Il lui suffit de s’habituer à ce nouveau corps pour retrouver ses marques et s’adapter à une société au final, pas si dépaysante de ce qu’il a pu connaître. Ca ne l’empêche pas… De vivre sa vie comme il l’a toujours fait. Est-ce-qu’il se pose des questions sur son arrivée ? Bien sûr. Est-ce-que ça l’obsède ? Non. Tout ce qui lui importe maintenant, c’est de savourer, d’écrire, de vivre, d’expérimenter. Est-ce-que ça veut dire qu’il ne prend pas position au vu de ce qu’il se passe autour de lui ? Qui sait… 

    Ca reste une sacrée vie qu’Alexandre a vécu. Peu de gens peuvent se vanter d’avoir été aussi riche que lui, et pas uniquement financièrement -même si, il a absolument tout perdu-. Car il garde une richesse émotionnelle, culturelle, et créative, toutes exceptionnelles, pareil pour sa joie de vivre qui reste à envier. Malheureusement, rien n’est éternel et cette vie de débauche heureuse ne lui aura pas fait que du bien, son corps finit par éprouver une réelle fatigue à 67 ans. Que se passe-t-il ? Pas un seul instant, jamais, il n’avait songé à la mort. Cette chose obscure vue comme une libération pour certains, une fin inévitable pour d’autres, l’effraie. Serait-ce bientôt la fin pour lui ? Voilà tout ce qu’un bon vivant comme lui, ogre joyeux qu’il est, peut redouter. L’accident vasculaire lui tombe dessus l’année d’après, une partie de son corps n’est plus fonctionnelle, il se sent lourd, épuisé en plus d’être complètement vidé de ses poches. L’inévitable approche, l’écrivain décide de se montrer lucide en se préparant à vivre ses derniers jours. Il veut trouver le repos éternel sous le toit de son fils, Alexandre. Alexandre Père a conscience que son fils a pu éprouver une certaine honte au travers des rumeurs et de ses multiples batifolages. Mais à la veille de son départ pour l’au-delà, au travers de leurs dernières phrases échangées, il finit par se laisser livrer à la mort dans l’apaisement.

    « À quoi songes-tu, papa ? »

    « Alexandre, crois-tu qu’il restera quelque chose de moi ? »

    « Ça, papa, je te le jure ! »


    Finalement, plus que la mort, il avait peur d’être oublié. Il finit par quitter ce monde, contraint de ne jamais pouvoir connaître la réponse à sa question, même si la conviction de son fils lui offre un certain réconfort à l’âme. Cette dernière scène à son chevet est celle qui lui revient en flash successif à la seconde même où il rouvre les yeux dans ce monde parallèle. Il se tient la poitrine sans même faire attention à sa crinière qui se mêle à ses doigts crispés. La peur est restée la même et lui revient en tout premier lieu avant même de se demander où il a atterri et depuis combien de temps est-il resté endormi. Il ne veut pas être oublié. Il ne veut pas retrouver la faucheuse. Alexandre voit cette nouvelle vie comme une occasion de rattraper les lacunes éprouvées dans sa précédente existence… Au début. Car bien vite, il retombe dans ses habitudes hédonistes le jour, retrouvant le chemin du lit la nuit en bonne compagnie. Surtout en bonne compagnie. Il ne supporte plus de se retrouver seul dans l’obscurité de sa chambre, seul avec ses pensées, seul… Avec ces deux peurs irrationnelles qui le poussent à faire de violentes crises d’angoisses et de colères. Tout resurgi, tout l’englouti, et chaque jour, il s’enfonce un peu plus dans cette contradiction de vouloir vivre sa vie à 200 % et de finir terrifié le soir en ayant l’impression de ne jamais faire assez pour qu’on se rappelle de lui.

    Actuellement il est critique culinaire, ses qualités d'écriture et son plaisir des bonnes choses sont un atout considérable pour son métier. Même si cela ne l'empêche pas à ses heures perdues de rêver de musique, de théâtre, d'écriture, encore et encore, de se prendre d'une envie soudaine de danser et de faire l'amour pendant des heures et des heures. 

    Toujours fidèle à lui-même.
    Caractère
    Qualités
  • • Créatif
  • • Épicurien
  • • Entreprenant
  • • Spontané
  • • Joueur
  • • Généreux
  • Défauts
  • • Rancunier
  • • Irresponsable
  • • Dépensier
  • • Frivole
  • • Contradictoire
  • • Volage
  • • Il lui a fallu le temps de s’y habituer, à la finesse féminine de son nez, à la blancheur nacrée de sa peau, à sa crinière souple mais encore plus noire qu’il ne l’a été lui-même. Même la couleur odorante de sa sueur n’est pas aussi épicée et insoutenable qu’auparavant. Elle est même douce, et pleine de discrétion. Huit ans, jour pour jour, qu’il a rené de ses cendres dans un corps qui n’est pas le sien. Ça n’était pas lui, ça, il le savait dans le fond. Et heureusement, son âme de nègre lui a permis de conserver quelques petites bribes de son passé sans en saisir encore toute la totalité. Alors, Alexandre a pris le temps. Il a pris le temps de se connaître. Il se surprend à être un fin observateur à la mémoire vive. Il s’avère aussi qu’au cours d’une journée, il peut être épris d’une pulsion particulière. Celle qui vous excite le cœur comme une jeune pucelle devant son prince charmant,  celle qui vous pèse au ventre comme lorsque vous apprenez que vous avez encore mis en cloque une énième femme par accident. Et celle qui vous enflamme l’esprit et l’âme avec une telle ardeur que vous devenez capable de surpasser votre médiocrité de mortel pour rester des jours sans boire ni manger.

    Alexandre est un artiste inspiré, en permanence.

    Les pages blanches ne le restent jamais bien longtemps, capable de noircir chacune d’elle en un quart d’heure seulement, sans rature ni faute aucune. Progressivement, il s’est mis à griffonner le même nom sur ses feuilles : D’Artagnan. Un modèle de noblesse et de bonté qu’il reconnaît très vite, l’affectionnant très personnellement. Alors, au final, qui est-il ? La même personne qu’il a été quelques siècles auparavant. Un nègre au talent indiscutable mais qui aime par-dessus tout la vie et ses plaisirs. Du simple verre de rouge sous le clair de la lune à la jouissance de pouvoir apprécier la saveur intime d’une femme sur le bout de ses lèvres, Alexandre savoure chaque chose et les apprécie à leur juste valeur. D’ailleurs, quelle surprise de constater que ses pointes de chair sont aussi rosées que celles de ces ladies à la peau laiteuse ! Quel étonnement de voir que son ventre imposant n’est plus ! Quelle tristesse de manger à déraison sans prendre le moindre kilos ! Quel désagrément d'avoir les yeux si bleus que la lueur du soleil en est douloureuse ! Quelle hilarité d’embrasser avec des lèvres rougies et charnues, à se demander où est passée sa bouche grossière que se plaisait à critiquer cet effronté d’Eugène de Mirecourt ! Toutefois, quel soulagement de voir que sa longueur virile est toujours aussi fière et turgescente aux heures les plus douces du matin. Alexandre a cette manie aussi, sous sa couette, de toucher son propre corps. Ainsi, il en imprime l’emplacement de ses veines sur la finesse de ses muscles, constate à quel point ses jambes sont interminablement longues (Après tout, quelle taille mesure-t-il ? Sans doute un bon mètre quatre-vingt dix à vue d’oeil), caresse le grain affiné de sa peau qui n’a rien à avoir avec la dureté rêche de son ancienne peau brûlée.

    Sa générosité, sa joie de vivre et sa spontanéité lui attirent la sympathie de bien des personnes. Est-il riche ? C’est compliqué. On pourrait envier sa paie à chaque fin de mois, et pourtant, les folies multipliées de cet homme en font quelqu’un de très vite ruiné avant de retoucher à nouveau l’argent qui lui est dû. C’est ainsi, l’argent est fait pour être dépensé, et la vie pour être vécue. Et sa nouvelle vie dans le corps d’un blanc, il réussit à s’y faire. Pourquoi ? Parce que noir ou blanc, qu’importe, il n’est pas là pour faire valoir une enveloppe charnelle mais un talent, un esprit. Son nom n’est pas connu parce qu’il a été un artiste noir dans une France encore aristocratique et aux mœurs jugées obsolètes. Mais parce qu’il a écrit les Trois Mousquetaires, nom de Dieu !

    Mais cet homme, possède-t-il des défauts ? Évidemment, ça n’est pas parce qu’Alexandre est noir et donc une minorité raciale qu’il est exempt de la moindre critique allons ! Même si… Désormais, il doit avoir gagné la carte privilège du mâle cis-genre hétéro, non ? Quel drame, le voilà qu’il n’est plus intouchable désormais !

    Étant un épicurien, l’attitude volage d’Alexandre est donc une suite logique de son comportement. Il multiplie les maîtresses qu’il gâte et affectionne avant de jeter son nouvel intérêt sur une autre, et encore une autre… Ca n’est pas un défaut direz-vous, mais qu’en est-il si vous appreniez qu’il n’a pas la moindre intention de prendre ses responsabilités si la femme en question portait son enfant ? Est-ce de la lâcheté ? Tout dépend de quel point de vue on se place. Alexandre n’est pas un homme qui aime se faire des nœuds au cerveau, qui aime être retenu dans sa quête de la joie et du plaisir. Et en cas de querelle, il vous dira les choses telles qu’il les pense sans s’attarder avant de retourner vaquer à ses occupations. La vie est trop courte pour ça, n’est-ce-pas ? « Fidèle à moi-même », voilà ce que devrait être son crédo.

    Désormais, il vit sa renaissance avec un regard nouveau même s’il conserve des bribes de sa vie antérieure. Il a tout d’un gentleman noble et serviable, si bien que ses vêtements ont un écho de l’époque à laquelle il a vécu. Il lui arrive de les moderniser un peu plus avec des vestes en cuir. Alexandre n’a pas l’intention par ailleurs de couper ses cheveux, c’est tellement grisant d’avoir des fils de soie qui tombent en cascade le long de son torse et de son dos, si bien qu’il se plaît à passer les doigts machinalement dedans. Il comprend par la même occasion cette manie si féminine d’enrouler ses mèches autour de ses doigts, c’est comme un jeu pour lui. Et… Il a compris également que certains hommes en sont attirés, même quand cela vient d’autres hommes. Quelle est cette époque décadente ! Est-il si facile de devenir sodomite maintenant ? « Ma foi... » pensa-t-il, « Pourquoi pas ? » . Alexandre est un épicurien adorant les femmes. Leurs courbes, leurs poitrines voluptueuses et douces, leurs parfums sucrés, il est trop faible face à cela. Mais peut-il ressentir la même chose avec un homme au menton carré, au regard prononcé et aux cheveux coupés ? Assurément, il risque d’être plus difficile dans son choix des hommes mais, si le plaisir y est tout aussi renversant qu’avec une femme, il le sait, il ne se le refusera pas.

    On ne rate pas des occasions de vivre, parce que ça aussi, c'est une forme de création.
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    Bienvenue à toi bel homme ♥️
    Bon courage pour la suite et la fin ~

    Queen of Hearts & Chaperon

    ♥️
    John H. Watson
    John H. Watson
    Revelio
    Emploi : Médecin.
    DC : Vega ♚ Merzhin ♚ Émile Zola
    Crédits : Steve Rogers - Marvel
    Nox
    Lumos
    Welcome officiellement à toi :whut: !
    Courage pour le reste de ta fiche même si elle avance carrément vite :tuhw: !

    Si tu as des questions, tu sais où trouver le staff :huhu:

    :kiss:
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    Petit Chaperon Rouge : Merci bichon, je m'en vais terminer cette fiche une bonne fois pour toute ♥️

    John H. Watson : MERCI :huhu:
    J'ESPERE QUE LA FICHE CONVIENDRA, je m'étais pas rendu compte à quel point Alexandre Dumas était aussi... Chaudblblblblbl :nerd:
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos


    Courage pour ta validation mon loulou :cate: <3
    Tu es bo, et je t'aime d'avance <3 <3

    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    Merci doudou, j'espère que le grand manitou sera satisfait cette fois hhh :cate:
    Aaw, déjà autant de love je suis touchey ♡ Je te tartine avec amour, baaayooooo ♡♡♡
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos

    bravo tu es validé !

    On y est arrivé :cate: Comme je te l'ai déjà dit une très bonne fiche très complète avec une profondeur dans le personnage qui le rend attachant et intéressant bien qu'il soit un peu trop vigoureux à mon goût :huhu: en tout cas j'apprécie ton style qui laisse entrevoir comment tu joueras notre petite Du Mâts, j'espère que tu te plaira parmi nous et que tu trouveras ce que tu cherches. Bienvenue et amuse toi bien sur Insomnia

    Maintenant que tu as rempli la tâche qu'était de remplir ta fiche, je t'invite à aller remplir de quoi finaliser ton inscription.Pour recenser ton avatar, c'est [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Pour que ton personnage ait un lieu de travail, je te conseille également de te rendre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Et le plus important, n'oublie pas de recenser [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ♥️ !
    Oh et, si tu possèdes un DC/TC, viens le recenser par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et pour finir (oui c'est long) [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ~ !
    Contenu sponsorisé
    Revelio
    Nox
    Lumos
    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum