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    Lorenzo de Médicis*




    Informations *

    Groupe — Créations
    Oeuvre originale — Lorenzaccio, par Alfred de Musset
    Date de mort — 1834
    Date d'arrivée — 3 mois (et demi)
    Métier — Libraire, quel beau métier.
    Avatar — Laurent de Vère, Prince Captif.







    Physique *

    « Regardez-moi ce petit corps maigre, ce lendemain d’orgie ambulant. Regardez-moi ces yeux plombés, ces mains fluettes et maladives, à peine assez fermes pour soutenir un éventail, ce visage morne, qui sourit quelquefois mais qui n’a pas la force de rire. » (Alexandre de Médicis)


    Cireuse ; c’est la couleur de son teint, entretenue par les années de beuveries précédant sa mort. Son visage est lunaire, ses traits légers et finement dessinés. Ses lèvres s’étirent en une mince ligne pâle au-dessus d’un menton pointu dénué de pilosité. Ses yeux bleu turquin en amande, eux, semblent toujours à demi fermés, lui procurant un air las qui le quitte rarement. Ses insomnies à répétition ont creusé de larges cercles sombres autour de ses orbites, cernes violacées comme des bleus. Sur le sommet de son crâne, des mèches blondes, parfois bouclées, souvent ternes, tombent jusque sur sa nuque et son front. Il aurait pu être beau, Lorenzino, si la souillure de son cœur ne lui était pas tant monté au visage. À la place, il ressemble simplement à un fantôme. Clair, gris et pâle ; silencieux et froid.

    De taille moyenne pour un homme, il atteint le mètre soixante-dix mais ne dépasse que difficilement les soixante kilos. En résulte une carrure longiligne et frêle longtemps source de brimades et humiliations diverses. Élevé parmi les nobles Médicis, il maîtrise néanmoins l’utilisation du stylet, bien que sa constitution ne fasse pas de lui le meilleur des combattants. Il est néanmoins rapide et agile, droit comme un escrimeur dans ses bottes. Lorsqu’il est abattu ou se complait dans l’ennui, il se contente de se laisser aller et s’effondrer sur la première chaise qui lui passe sous la main. Face aux autres, il se redresse néanmoins. Déjà qu’ils ne l’estiment pas beaucoup, s’il leur donne en plus des raisons de le mépriser davantage, il n’y aura plus de meubles à sauver. Il ne marche pas toujours droit, soit trop alcoolisé, soit en train de danser à moitié, et semble souvent nonchalant dans ses gestes – restes d’un rôle qui n’aurait pas dû être sien.

    Pour pallier à son évident manque de couleurs, il est forcé de porter des vêtements aux teintes contrastées qui lui évitent d’éblouir ses interlocuteurs. (Non parce que je sais pas si vous avez déjà vu une personne aussi pâle porter des couleurs claires au soleil, mais ça pique un peu les yeux. Et si Lorenzino est adepte du mauvais goût, il n’est clairement pas aussi désespéré que cela, n’est-ce pas ?)

    D’apparence peu avenante, Lorenzo ne rit pas beaucoup, et les seuls sourires qu’il daigne produire se rapprochent d’un doucereux sarcasme. Rien qui ne donne à quiconque l’envie de lui adresser la parole. (Et ceux qui s’y essaient se rendent rapidement compte qu’il y a des expériences plus sympathiques que d’autres, et que celle-ci ne l’est clairement pas.)

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    Mental *

    « Renzo, un homme à craindre ! le plus fieffé poltron ! une femmelette, l’ombre d’un ruffian énervé ! un rêveur qui marche nuit et jour sans épée, de peur d’en apercevoir l’ombre à son côté ! » (Alexandre de Médicis)

    Rêveur • réfléchi • cynique • beau parleur • torturé • névrosé • manipulateur • perdu • haineux • méprisant • fatigué • déterminé • débauché • lunatique • actif • joueur • bon acteur


    Difficile de dire ce que Lorenzo aime le plus entre le vice et la vertu. Son sens de la justice lui hurlerait que la vertu est le seul chemin possible ; mais comment être encore vertueux après avoir passé nuits et jours à se dépraver et manipuler tant de gens ? La cause est noble, mais une noble cause atteinte grâce à de sombres actions n’en reste pas moins une faute.

    Lorenzo ne sait plus qui il est. Il joue de lui et de ces rôles qu’il s’amuse à endosser, pour se faire croire faible ou idiot, facétieux et sans-cœur ; mais idiot il n’est pas, et faible encore moins. C’est la détermination qui guide ses pas, sans jamais faiblir, pour une liberté qu’il souhaitait offrir au peuple de Florence… Cette liberté qu’il n’a pas vu se déployer, et qui lui a coûté la vie.

    Il aurait pu être un jour de soleil chaleureux ; il aimait les arts, il aimait la science, la logique, la justice ; il aimait Dieu, et il aimait les Hommes. Pieu et vertueux, pur et innocent, doux et tendre, aimant. Que reste-t-il de ce Lorenzino tant aimé par sa mère ? Son érudition et son amour du savoir ne l’a jamais quitté, et c’est certainement la seule chose qu’il sait à propos de lui-même.

    Il ne peut que marcher dans l’ombre du soir. Et ce vice dans lequel il a baigné, il en transpire si fort qu’il s’en imprègne à nouveau. Du goudron qui vous englue et se colle à vous en une deuxième peau noire et odorante, et qu’il est incapable de décoller… incapable de déplier ses ailes, oiseau pris au piège. Lorenzo est un Icare qui s’est trop éloigné du soleil.


    Il se prend la tête, beaucoup, Lorenzo. Il réfléchit à tout, tout le temps, il rêve utopie et avenir, il rêve Histoire et aventures. Il aimerait être un grand homme, mais il est surtout orgueilleux. Lorsqu’il parle, c’est pour manipuler. Il aime l’alcool et les jolies femmes. Oh, bien sûr, les gambettes de ces dernières n’existent plus à Insomnia (quelle tristesse, vraiment) mais il doit bien avouer que le monde ne perd pas grand-chose de plus à les voir disparaître. Que dites-vous, du mépris ? Mais Lorenzo ne méprise personne, enfin !... Il est indifférent à tout et tout le monde. Du moins, c’est ce qu’il aime se faire croire. Il se défend au sarcasme et à l’ironie, dont il maîtrise les ficelles comme un art. Le langage a un incroyable pouvoir, si vous saviez. Les mots sont forts, mais ils ne peuvent pas tout faire.

    Les mots l’ont créé, en revanche.

    Oui, créé ! Lui ! Lui Lorenzaccio, lui le traître, lui le mécréant ! Lui qui est mort pour sa patrie, lui qui est mort pour la République, pour rien, il est en fait mort… pour le divertissement d’un public humain. Tout ce qu’il a vécu, tout ce qu’il a fait, tout ce qu’il pensait être de son fait n’existait qu’à travers les mots de son créateur. Mais ce qu’il a vécu a laissé bien des séquelles.

    C’est. Douloureux.

    Alors il méprise les hommes. Il méprise les Auteurs. Les Créations, honnêtement, il s’en fout. Elles lui font pitié. Il pourrait rire de tout, Lorenzaccio ! Rire de tout, laisser le cynisme l’envahir, tout laisser s’effondrer. Pourquoi est-il ici ? Après tout, qu’est-ce que cette existence a pu lui apporter ? Qui est-il, lui, Lorenzo, qui est-il ? Est-ce qu’il existe, au final ? Est-ce que ce n’est pas une fable de plus ? Ce qu’il est, n’est-ce pas seulement la volonté de son créateur, même maintenant ?

    Alors il cherche qui il est, il tâtonne, il observe. Et s’il ne peut pas se faire confiance à lui-même, pourquoi ferait-il confiance à d’autres ?
    L’important, c’est de frapper juste.

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    Histoire *

    « Sa jeunesse n’a-t-elle pas été l’aurore d’un soleil levant ? » (Catherine, tante de Lorenzo)


    Lorenzo est un Médicis : sa naissance le promet à un avenir glorieux sur le trône de Florence. Il étudie donc auprès de ses précepteurs les lettres, les arts et les sciences, l’escrime et la politique. Il se passionne de livres et d’histoire, il se passionne de cette population florentine qu’il aime comme sa propre famille. Sa mère l’élève avec son frère et Cosme Ier à la villa del Trebbio. Il est doux et pieux, passe son temps le nez dans ses livres, rêveur et réfléchi… Parfois, il sourit même.

    Néanmoins les temps sont troublés. Il est forcé de quitter Florence pour Venise en 1526, y revient quelques temps plus tard, est à nouveau chassé l’année suivante suite au conflit entre le Pape Clément VII, haut membre de la famille Médicis, et l’empereur Charles Quint, qui se termine par le sac de Rome. La République Florentine est restaurée, chassant ainsi les Médicis du pouvoir jusqu’en 1532.

    Entre temps, Lorenzo acquiert le doux surnom de Lorenzaccio, suite à un épisode d’ivresse où il décapite quelques statues de l’arc de Constantin à Rome, d’où il se fait bannir. Sa mauvaise réputation le précède jusqu’à Florence, où, finalement, son cousin Alexandre prend les rênes de la ville.


    Son monde s’écroule. Le duc est un tyran, fils illégitime probablement issu de Laurent II de Médicis ou du Pape Clément VII, qui le pousse à monter sur le trône. Il n’hésite pas à courir les jeunes femmes en leur arrachant leur vertu et tuer ceux qui l’importunent. Les habitants souffrent de la pauvreté, et Lorenzo se retrouve à jouer le rôle de son plus fidèle compagnon durant les quatre années suivantes.
    Il se rapproche de lui, jouant à la fois les entremetteurs et proxénètes, et l’accompagnant dans ses orgies ; ils sont inséparables et Lorenzaccio, usant de ses charmes et de sa langue acérée, le met au courant de nombreux complots et mouvements de révolte.

    Alexandre place toute sa confiance en un homme qui ne lui montre pas qui il est réellement. Il l'humilie souvent, et sa condition porte à rire. Il s'effondre devant une épée, porte les habits d'une nonne à une fête, est bien trop souvent alcoolisé. Et malgré les avertissements de ses proches, Alexandre ne les écoute pas : Lorenzaccio n’est qu’un pauvre ruffian incapable de faire du mal à une mouche…


    Lorenzo excelle dans l’art de tromper ses ennemis, et Alexandre, qui ne se doute de rien, est sa seule cible. Florence ne peut pas élever pareil tyran ; il doit l’en débarrasser. Toute sa ferveur est placée en ce simple objectif.
    Garder sa confiance. Trouver le bon moment.
    Mais l’important est de frapper juste.

    Leur relation est passionnelle. Il aime l’homme tout comme il hait le tyran, et tout comme il jalouse le duc qui lui a volé ce qui lui revenait de droit ; ils sont souvent vus ensemble, ils partagent parfois la même couche, et Lorenzo sait qu’il fait tout cela pour servir son plan. ... N'est-ce pas ?

    Débauché, le beau Lorenzaccio ; il n’est plus ce Lorenzo si pur.
    Parfois, Alexandre l’appelle encore Renzo, et il se surprend à penser à sa mère… Sa mère honteuse, qui se cache le visage entre ses mains en le voyant. Mais il porte encore la lumière, la lumière qu’il veut redonner à Florence et à la République…
    Est-il le bras de Dieu ?

    Il perd pied, peu à peu. Qui est-il ? Il doit agir, il doit faire vite. Alors il manipule le duc, lui promet sa tante, prévient les républicains ; et il l’assassine, d’un, puis deux, puis trois, puis six coups. Le duc est mort. Il est sur le sol de sa chambre, à se vider de son sang, sans émettre le moindre son.
    Quelque chose se brise. Il a réussi. Il a réussi. Pourtant, le glas sonne ; il doit s’enfuir. Il chevauche jusqu’à Venise, rejoint les Strozzi, qui montent une armée. Il apprend que les étudiants de Florence se sont révoltés, qu’ils se sont fait massacrer. Mais personne n’a agi. Rien n'a changé. Cosme Ier, celui-là même avec qui il a été élevé, monte sur le trône.

    Un tyran contre un tyran. La boucle est bouclée.
    Et sa vie gaspillée.
    Son innocence perdue.
    Sans liberté, sans République.

    Il a la gorge serrée, Renzino. Il a tué, s’est sali le cœur et les mains. Tout ça pour rien. Pour rien.
    Il était une machine à meurtre, mais à un meurtre seulement.

    Plutôt que de fermer les yeux et attendre, il préfère sortir de la maison qui l’abrite, ignorant la menace de mort qui plane sur lui. Et d’un coup, d’un seul, se fait assassiner.


    À son arrivée à Insomnia, il n’y a pas grand-chose qui a changé, en lui. Il est toujours le même, se sent toujours aussi découragé par la stupidité des hommes, et préfère la compagnie des livres de la librairie qu’il tient désormais. Il est étonné cependant d’être en vie ; et bien plus encore lorsqu’il apprend qu’il n’est qu’une Création. Et cette fois, ce n’est pas de la lassitude qui l’emplit, mais bien de la colère. Qui est la cause de tous ses échecs ? Ce de Musset, il verra.

    À défaut de pouvoir le tuer, il pourra bien lui mettre son poing en pleine gueule, non ?





    IRL *
    Petite grenouille de 21 ans, licenciée de psychologie (OUAIS JE PEUX LE DIRE NOW TMTC) et qui a lorgné trèèès longtemps sur le fo avant de céder (et j'ai ramené Echo tant qu'à faire hihi). En l'espace de quelques heures. Parce que même si j'ai pas le temps, j'trouverai le temps. *l'Oréal*

    J'fais du RP depuis 2008, mais j'ai réellement repris vers 2011 avec l'ouverture de notre fo à une amie et moi. À part ça, j'vous ai croisés plusieurs fois sur la toile et j'ai adoré le concept... et là, ben, réouverture, un design encore plus beau, des smileys de cutie, que demander de plus ? (Et Lorenzo encore libre ahhhhsdjfhbsdfù)
    J'prendrai (sûrement ??) pas un ton aussi pompeux pour RP en vrai. Je crois. Je sais pas. J'veux pas mettre 1h à écrire 400 mots comme ici :'(



    Anonymous
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    Nox
    Lumos
    Bienvenue :chanwar:
    John H. Watson
    John H. Watson
    Revelio
    Emploi : Médecin.
    DC : Vega ♚ Merzhin ♚ Émile Zola
    Crédits : Steve Rogers - Marvel
    Nox
    Lumos
      LOLORENZO JE T'AIME JE TE FAIS DES ENFANTS ET DES PETITS ENFANTS MÊME SI T'ES D'ACCORD :whut:
      Genre déjà le vava qu'à fait Baba est tellement magnifique je ... jpp t'es trop magnifique omg :whut: :whut:

      Bon courage pour ta fiche mais j'vois que t'es rapide et que t'assures graves ! N'hésites quand même pas à venir secouer les grelots du staff, on aime bien quand ça fait gling gling :huhu:
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    BIENVENUUUUUUUUUUUUUE CUTIE ♥
    ça fait plaisir de voir un prédéf pris.
    fin ça fait toujours plaisir !
    bref.
    j'aime beaucoup ta façon d'écrire !
    et j'ai hâte de voir cette fiche terminée.
    Anonymous
    Invité
    Invité
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    Nox
    Lumos
    Woah, merci pour votre accueil ça fait plaisir :haanw: J'espère vraiment que le personnage vous plaira, j'ai tenté de faire au plus juste (recherches wikipédia comprises, aled)(l'histoire des Médicis est vraiment casse pied) donc j'ai hâte d'avoir vos retours :D

    En attendant, j'ai terminé ma fiche je pense, j'ai juste modifié la date d'arrivée à il y a 3 mois environ :sparkle:

    Le Chat > Merci merci <3
    Johnny > J'suis même très très motivée pour les bébés hihuhuhu <3 J'risque d'avoir besoin de vous très vite ;w; (cf plus bas) Merci pour l'accueil en tout cas héhé :D
    Baba > Les prédefs c'est la vie. Surtout quand c'est Lorenzo. Avec un si bel avatar. Comment j'résiste, hein ?! C'est votre faute si j'ai pas de volonté :o /pan
    En tout cas merci pour le compliment ça me touche vraiment, j'espère que le reste vous conviendra aussi ! (Bon j'ai fait en méga résumé parce que sinon aled je faisais 10 pages)


    Sinon en retournant sur la fiche du prédef, j'ai vu qu'y a deux liens qui se sont rajoutés : Musset (ce qui me semble assez clair et logique xD) et Sherlock ?? :o J'imagine qu'il faudra voir avec le joueur/la joueuse ? :)

    Des bisous sur vous :loveu:
    Vega
    Vega
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    Emploi : Puériculteur.
    DC : John H. Watson - Merzhin - Émile Zola
    Crédits : Jakurai Jinguji | Hypnosis Mic
    Nox
    Lumos
      Hello mon Bichon ~

      Pour la petite explication, Médicis était un prédéfini que nous avions sur l'ancienne version du forum. Par conséquent, on lui avait attribué certains liens, dont Sherlock :huhu:
      Après, si toi en tant que joueuse qui a pris le predef', tu ne veux ps du lien, et bien ma foi, un petit MP et le tour est joué ~
      Ce sont des liens qui sont là pour être entre predef' et pour pas laisser le joueur seul une fois le perso pris :what:
      Du coup, à toi de faire tes choix, le lien est là, en suggestion, mais si t'en veux pas, Sherlock aime bien qu'on le claque de toute façon :huhu:
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    (Vous êtes trop rapides sérieusement, blbl vous dormez des fois ?)

    Merci pour la précision :loveu: Je verrai avec Sherly alors, l'idée me bottait bien (j'suis allée voir sur l'ancien fo tout à l'heure, parce que je suis une stalkeuse (prenez pas peur plz)), après faut voir si c'est ok de son côté aussi haha :nerd:

    Amour et paillettes parce que c'est bon pour la santé :sparkle:
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    BIENVENUE LORENZO ! Du temps où le grand Dickens était un prédéfini, tu m'intéressais grandement... pour ton histoire n'est-ce pas. Ce n'est pas mon genre de nourrir d'autres idées à propos d'hommes séduisants :huhu:

    Je ne te souhaite pas bon courage pour la fiche puisqu'elle est terminée, mais euh... bon courage pour la validation ? Arriver en retard est toujours si perturbant :dipie:
    Anonymous
    Invité
    Invité
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    Nox
    Lumos

    Et c'est la validation !

    Bienvenue !
    Tu m'as déçu...je n'ai rien à dire. Une très belle fiche bien écrite, une histoire pleine de détail et très bien menée, la mort qui côtoie l'espoir avant de s'apercevoir que tout cela était en vain et que sa vie, qu'il aura dévoué à tuer le duc n'aura servie à rien. C'est beau, c'est bien écrit, tu es beau, tu es sexy. Je n'ai rien à dire et c'est très frustrant ! D8 Mais je suis ravi de pouvoir te valider du premier coup sans pinailler et j'espère que tu t'amuseras bien à Insomnia, mon bel ange déchu ~ :chanwar: .

    Maintenant que tu as rempli la tâche qu'était de remplir ta fiche, je t'invite à aller remplir de quoi finaliser ton inscription.

    Pour recenser ton avatar, c'est [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Pour que ton personnage ait un lieu de travail, je te conseille également de te rendre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Et le plus important, n'oublie pas de recenser ton métier [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ! Et pour finir, venez recenser d'où vient votre personnage [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ♥️ !
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