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Merzhin
Revelio
Emploi : Inventeur.
DC : John H. Watson - Vega - Émile Zola
Crédits : Yato - Noragami
Nox
Lumos
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S’il était une chose établie depuis toujours; c’était que Merzhin, le grand Archimage et Magicien, aimait terriblement les animaux. Il en avait été entouré toute sa longue et sainte vie mais maintenant, les choses étaient légèrement différentes. Dans ce monde nouveau, dans cette ville nommé Insomnia dans lequel il était arrivé moins d’un an de cela, rien n’était pareil. Les animaux n’étaient pas les mêmes, ici on restait dans le classique et aucune créature de légende ne faisait parti des murs d’Insomnia. Une bien triste réalité à laquelle Merzhin avait encore du mal à se faire. Il avait cependant entendu parler du fait que des personnes, ici, étaient la réincarnation de quelques animaux. Il s’était donc mis en tête d’en rencontrer quelques uns. Après tout, ça pouvait être terriblement intéressant de savoir comment ils vivaient tout cela, l’adaptation de quatre pattes à deux jambes, à deux mains. Ca ne devait pas être facile et en fin connaisseur de la nature et de son fonctionnement, l’ancien Mage était très intéressé par cette perspective d’apprentissage.
Ce qui était moins établi et plutôt de l’ordre de la honte depuis sa résurrection à Insomnia, c’était qu’il pouvait désormais ne plus communiquer qu’avec des pigeons et franchement, ça lui semblait être une bonne vieille blague du Destin. Un Destin qui avait sûrement trouvé marrant de lui retirer la totalité de ses pouvoirs infinis et quasis divins pour finalement ne lui laisser qu’une pauvre miette. La situation n’était pas si facile à gérer pour Merzhin qui n’aurait voulu qu’une chose, se retrouver dans son ancienne forêt, entouré de ses anciens animaux adorés, avec ses anciens amis. Ici, il n’avait rien ni personne que ce vieil appartement proche du toit qui lui permettait de communiquer avec les pigeons; et personne dans sa vie. Pas d’amis, pas d‘amant, et mon dieu surtout pas de femme. Surtout. Pas. Sous aucun prétexte. Elles étaient un fléau, une plaie que le ciel lui avait envoyé à l’époque pour lui retirer tous ses pouvoirs. Comment résister à une femme qui battait des cils ? Merzhin ne le savait pas. Il ne le savait pas parce qu’il avait déjà perdu face à une femme. Face à une fée. Et il en avait payé les conséquences pour le restant de ses jours, reposant dans une forêt magique qui ne pouvait plus rien pour lui.
En soupirant, il avait donc décidé d’aller faire un tour du côté de la forêt. Là-bas, les gens y étaient moins nombreux et la pollution également; c’était une aubaine pour se ressourcer. Une fois sur place, il prit entre ses doigts quelques plantes et feuilles d'arbres pour simplement le plaisir d’en toucher de nouveau la texture. Puis il vit un pigeon se poser près de lui.
— Pourquoi tu m’as suivi jusqu’ici ? Tu ne pouvais pas me laisser tranquille ? Quoi ? Il y a quelqu’un ici ? Et bien je m’en fiche puisque c’est toi qui m’ennuie, là !
Oui, oui, il parlait à un pigeon.
les pigeons
c'est complétement débile
S’il était une chose établie depuis toujours; c’était que Merzhin, le grand Archimage et Magicien, aimait terriblement les animaux. Il en avait été entouré toute sa longue et sainte vie mais maintenant, les choses étaient légèrement différentes. Dans ce monde nouveau, dans cette ville nommé Insomnia dans lequel il était arrivé moins d’un an de cela, rien n’était pareil. Les animaux n’étaient pas les mêmes, ici on restait dans le classique et aucune créature de légende ne faisait parti des murs d’Insomnia. Une bien triste réalité à laquelle Merzhin avait encore du mal à se faire. Il avait cependant entendu parler du fait que des personnes, ici, étaient la réincarnation de quelques animaux. Il s’était donc mis en tête d’en rencontrer quelques uns. Après tout, ça pouvait être terriblement intéressant de savoir comment ils vivaient tout cela, l’adaptation de quatre pattes à deux jambes, à deux mains. Ca ne devait pas être facile et en fin connaisseur de la nature et de son fonctionnement, l’ancien Mage était très intéressé par cette perspective d’apprentissage.
Ce qui était moins établi et plutôt de l’ordre de la honte depuis sa résurrection à Insomnia, c’était qu’il pouvait désormais ne plus communiquer qu’avec des pigeons et franchement, ça lui semblait être une bonne vieille blague du Destin. Un Destin qui avait sûrement trouvé marrant de lui retirer la totalité de ses pouvoirs infinis et quasis divins pour finalement ne lui laisser qu’une pauvre miette. La situation n’était pas si facile à gérer pour Merzhin qui n’aurait voulu qu’une chose, se retrouver dans son ancienne forêt, entouré de ses anciens animaux adorés, avec ses anciens amis. Ici, il n’avait rien ni personne que ce vieil appartement proche du toit qui lui permettait de communiquer avec les pigeons; et personne dans sa vie. Pas d’amis, pas d‘amant, et mon dieu surtout pas de femme. Surtout. Pas. Sous aucun prétexte. Elles étaient un fléau, une plaie que le ciel lui avait envoyé à l’époque pour lui retirer tous ses pouvoirs. Comment résister à une femme qui battait des cils ? Merzhin ne le savait pas. Il ne le savait pas parce qu’il avait déjà perdu face à une femme. Face à une fée. Et il en avait payé les conséquences pour le restant de ses jours, reposant dans une forêt magique qui ne pouvait plus rien pour lui.
En soupirant, il avait donc décidé d’aller faire un tour du côté de la forêt. Là-bas, les gens y étaient moins nombreux et la pollution également; c’était une aubaine pour se ressourcer. Une fois sur place, il prit entre ses doigts quelques plantes et feuilles d'arbres pour simplement le plaisir d’en toucher de nouveau la texture. Puis il vit un pigeon se poser près de lui.
— Pourquoi tu m’as suivi jusqu’ici ? Tu ne pouvais pas me laisser tranquille ? Quoi ? Il y a quelqu’un ici ? Et bien je m’en fiche puisque c’est toi qui m’ennuie, là !
Oui, oui, il parlait à un pigeon.
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Lun 25 Fév - 3:33
Le Renard
Revelio
Emploi : Souffleur de verre.
DC : Charles Perrault - Le Loup
Crédits : Nick - Superkokia
Nox
Lumos
Il marche. Le cœur un peu triste. Au bord d'une chanson qui caresse ses lèvres ; paisible. Il marche. Juste un peu malheureux. Au milieu d'une nature en éveil. Au rythme de son propre chant ; il marche. Sans faire attention, sans regarder où il va, il marche et c'est tout. Son regard qui s'égare sur les fleurs et les arbres en bourgeons, sur les couleurs du monde autour. Bleu cours d'eau, bouillonnant de vie. Vert d'herbe tendre à deux pas de lui. Jaune et brun, blanc d'un nuage, symphonie de nuances qui dansent tout près de ses pas. Il frissonne un peu le Renard. Et resserre sur son corps son gros pull, trop pâle le soleil pour parvenir à le réchauffer totalement. Il n'accélère pas pour autant ; il prend le temps. S'arrête, même, pour lever le nez vers les cimes des arbres, vers le ciel dégagé. Un oiseau tourne là haut, et Maître Renard aimerait savoir comme on se sent quand on a des ailes. Il reste là un instant ; un moment. L'azur du ciel en reflet au fond de ses céruléennes. Un soupir.
Un sourire.
La petite bête se raccroche à des sensations anciennes. Fait taire le Morose et le Triste, rien qu'un peu, grâce à ses souvenirs. Il repart. Un peu distrait ; il manque tomber à cause d'une pierre et se rattrape comme il peut. Maladroit. Ça lui arrive souvent. Même après dix-sept années dans ce corps trop grand, trop faible, il arrive toujours à s'imaginer animal. Alors il oublie qu'il a des jambes si longues. Des bras si peu dégourdis. Et il bute sur les pierres, il se reprend en se maudissant un peu d'avoir été se perdre.
Un grognement. Renard secoue la tête, cesse de s'égarer comme il le fait. Pour tendre l'oreille, écouter le vent qui bute contre les branches. Une voix, un peu plus loin, qui le fait sursauter. Il se stoppe de nouveau. Renifle, par réflexe, comme s'il pouvait encore déceler quelque odeur. Se sent frustré. S'approche. À tout petits pas. Avec son cœur qui loupe des battements de peur. "Il y a quelqu'un ?" Il croit qu'il le dit, il le murmure à peine. La voix étranglée au fond de sa gorge, alors qu'il passe la tête par dessus un buisson. Sursaute de nouveau en voyant un homme. Un homme qui parle. Tout seul. Renard penche la tête en se demandant si c'est à l'oiseau à côté de lui qu'il tape la discute.
Est-ce qu'il doit s'avancer ? Repartir ? Son premier réflexe est de resté planqué. Il file à toutes pattes vers un arbre un peu plus proche, en espérant qu'il ne l'aura pas vu. Pas entendu. Pourtant comme ce jour là il laisse sortir sa voix. Une voix douce, peinte de timidité.
"Bonjour." dit le Renard.
Il n'y a pas d'épis de blés autour. Ni de colline où se cachait son terrier. Pas de pommier non plus Il n'y a que la forêt et son silence. Et cet homme et le pigeon. Renard, comme ce jour là, se sent intrigué. Même s'il n'y a qu'un bout de nez qui dépasse. Quelques notes de rouge, sur son visage constellé de ses tâches de rousseur.
"Je suis un renard."
Et il n'est qu'une voix, comme sur les pages de ce livre dans lequel on l'a écrit. Qu'une voix qui fredonne, et la bestiole reste là sans sortir. Peut-être qu'il s'enfuira si l'autre s'approche. Peut-être que oui.
Un sourire.
La petite bête se raccroche à des sensations anciennes. Fait taire le Morose et le Triste, rien qu'un peu, grâce à ses souvenirs. Il repart. Un peu distrait ; il manque tomber à cause d'une pierre et se rattrape comme il peut. Maladroit. Ça lui arrive souvent. Même après dix-sept années dans ce corps trop grand, trop faible, il arrive toujours à s'imaginer animal. Alors il oublie qu'il a des jambes si longues. Des bras si peu dégourdis. Et il bute sur les pierres, il se reprend en se maudissant un peu d'avoir été se perdre.
Un grognement. Renard secoue la tête, cesse de s'égarer comme il le fait. Pour tendre l'oreille, écouter le vent qui bute contre les branches. Une voix, un peu plus loin, qui le fait sursauter. Il se stoppe de nouveau. Renifle, par réflexe, comme s'il pouvait encore déceler quelque odeur. Se sent frustré. S'approche. À tout petits pas. Avec son cœur qui loupe des battements de peur. "Il y a quelqu'un ?" Il croit qu'il le dit, il le murmure à peine. La voix étranglée au fond de sa gorge, alors qu'il passe la tête par dessus un buisson. Sursaute de nouveau en voyant un homme. Un homme qui parle. Tout seul. Renard penche la tête en se demandant si c'est à l'oiseau à côté de lui qu'il tape la discute.
Est-ce qu'il doit s'avancer ? Repartir ? Son premier réflexe est de resté planqué. Il file à toutes pattes vers un arbre un peu plus proche, en espérant qu'il ne l'aura pas vu. Pas entendu. Pourtant comme ce jour là il laisse sortir sa voix. Une voix douce, peinte de timidité.
"Bonjour." dit le Renard.
Il n'y a pas d'épis de blés autour. Ni de colline où se cachait son terrier. Pas de pommier non plus Il n'y a que la forêt et son silence. Et cet homme et le pigeon. Renard, comme ce jour là, se sent intrigué. Même s'il n'y a qu'un bout de nez qui dépasse. Quelques notes de rouge, sur son visage constellé de ses tâches de rousseur.
"Je suis un renard."
Et il n'est qu'une voix, comme sur les pages de ce livre dans lequel on l'a écrit. Qu'une voix qui fredonne, et la bestiole reste là sans sortir. Peut-être qu'il s'enfuira si l'autre s'approche. Peut-être que oui.
Sam 9 Mar - 14:39
Merzhin
Revelio
Emploi : Inventeur.
DC : John H. Watson - Vega - Émile Zola
Crédits : Yato - Noragami
Nox
Lumos
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Oui, vraiment, ici, le monde prenait une autre dimension. Ca rappelait à Merlin cette forêt d’où il venait mais aussi celle où il avait été plongé dans un sommeil éternel qui l’avait mené droit à cet endroit, à cette ville étrange à laquelle il avait encore beaucoup de mal à se faire. Et c’était d’ailleurs la raison de sa présence, à vrai dire. Cet endroit, ces arbres, cette ambiance et ce soleil qui filtrait au travers des feuilles ne lui rappelait que trop bien sa Broceliande adorée. Un endroit mystique tout droit sorti des contes, un endroit qu’il avait pourtant vu naître sa magie et sa vie. Alors voilà, venir dans la forêt d’Insomnia semblait être un choix judicieux pour Merlin. Se sortir de ce train train quotidien, pouvoir parler avec quelques pigeons à droite ou à gauche -triste vie- et puis surtout, combattre cette peur tout au fond de lui. Celle de rester enfermée, celle de ne plus jamais être libre. Celle de croiser une ancienne femme dans le corps d’un homme, de ne pas reconnaître Vivianne et de se retrouver de nouveau piégé. Un frisson remonta le long de sa colonne vertébrale à cette simple pensée et là, seul dans cet endroit, Merlin secoua la tête, laissant quelques mèches violettes se plaquer contre son front. Non, il ne fallait pas penser à une chose pareille. Si cette odieuse fée était de retour, alors probablement qu’elle viendrait directement demander des comptes. Il ne fallait pas s’en faire pour le moment.
Avec un lourd soupire, Merlin se baladait donc en essayant de ne pas effrayer le peu d’animaux qui se trouvaient aux alentours. Ca lui faisait du bien, en un sens, de se reconnecter avec sa nature profonde. De se connecter à la nature, tout court; en fait. Il emplit ses poumons, inspirant le plus d’air possible avant de souffler. C’est à cet instant qu’une petite voix retentit, le faisant rapidement pivoter sur ses pieds. En face de lui, se trouvait un homme qui avait visiblement l’air effrayé. Peut-être était-il simplement perdu ? Un froncement de sourcil, l’ancien magicien s’approcha doucement jusqu’à remarquer le mouvement de recul de l’autre personne. Il cessa de marcher, resta là, figé, répondant à son “bonjour” par un simple hochement de tête.
— Un renard ? Je vois que tu as gardé ton pelage !
D’un geste de la main, il désigna les constellations sur le visage du Renard, des petites pointes rousses comme un ciel qui se révèle. Ca intriguait Merlin, à vrai dire; son propre visage étant pâle comme la nuit. Il lui était difficile de croire que des personnes si différentes peuplaient ce monde; probablement parce qu’il n’en avait pas encore assez vu de ce monde. Peut-être qu’il allait tout découvrir, petit à petit, peut-être que le monde allait s’ouvrir à ses yeux. Mais pour le moment, il n’avait que des nuances de roux sur des joues rouges et un homme qui prétendait être un Renard devant lui.
Heureusement que Merlin adorait les animaux. Il s’approcha doucement, l’air de dire, regardant ailleurs pour ne pas effrayer l’homme. Le pigeon sur son épaule se mit à faire du bruit et à battre des ailes.
— Enchanté. Je m’appelle Merlin et lui… tu t’appelles comment déjà ?
Un autre battement d’aile.
— Et lui, c’est Steven.
les pigeons
c'est complétement débile
Oui, vraiment, ici, le monde prenait une autre dimension. Ca rappelait à Merlin cette forêt d’où il venait mais aussi celle où il avait été plongé dans un sommeil éternel qui l’avait mené droit à cet endroit, à cette ville étrange à laquelle il avait encore beaucoup de mal à se faire. Et c’était d’ailleurs la raison de sa présence, à vrai dire. Cet endroit, ces arbres, cette ambiance et ce soleil qui filtrait au travers des feuilles ne lui rappelait que trop bien sa Broceliande adorée. Un endroit mystique tout droit sorti des contes, un endroit qu’il avait pourtant vu naître sa magie et sa vie. Alors voilà, venir dans la forêt d’Insomnia semblait être un choix judicieux pour Merlin. Se sortir de ce train train quotidien, pouvoir parler avec quelques pigeons à droite ou à gauche -triste vie- et puis surtout, combattre cette peur tout au fond de lui. Celle de rester enfermée, celle de ne plus jamais être libre. Celle de croiser une ancienne femme dans le corps d’un homme, de ne pas reconnaître Vivianne et de se retrouver de nouveau piégé. Un frisson remonta le long de sa colonne vertébrale à cette simple pensée et là, seul dans cet endroit, Merlin secoua la tête, laissant quelques mèches violettes se plaquer contre son front. Non, il ne fallait pas penser à une chose pareille. Si cette odieuse fée était de retour, alors probablement qu’elle viendrait directement demander des comptes. Il ne fallait pas s’en faire pour le moment.
Avec un lourd soupire, Merlin se baladait donc en essayant de ne pas effrayer le peu d’animaux qui se trouvaient aux alentours. Ca lui faisait du bien, en un sens, de se reconnecter avec sa nature profonde. De se connecter à la nature, tout court; en fait. Il emplit ses poumons, inspirant le plus d’air possible avant de souffler. C’est à cet instant qu’une petite voix retentit, le faisant rapidement pivoter sur ses pieds. En face de lui, se trouvait un homme qui avait visiblement l’air effrayé. Peut-être était-il simplement perdu ? Un froncement de sourcil, l’ancien magicien s’approcha doucement jusqu’à remarquer le mouvement de recul de l’autre personne. Il cessa de marcher, resta là, figé, répondant à son “bonjour” par un simple hochement de tête.
— Un renard ? Je vois que tu as gardé ton pelage !
D’un geste de la main, il désigna les constellations sur le visage du Renard, des petites pointes rousses comme un ciel qui se révèle. Ca intriguait Merlin, à vrai dire; son propre visage étant pâle comme la nuit. Il lui était difficile de croire que des personnes si différentes peuplaient ce monde; probablement parce qu’il n’en avait pas encore assez vu de ce monde. Peut-être qu’il allait tout découvrir, petit à petit, peut-être que le monde allait s’ouvrir à ses yeux. Mais pour le moment, il n’avait que des nuances de roux sur des joues rouges et un homme qui prétendait être un Renard devant lui.
Heureusement que Merlin adorait les animaux. Il s’approcha doucement, l’air de dire, regardant ailleurs pour ne pas effrayer l’homme. Le pigeon sur son épaule se mit à faire du bruit et à battre des ailes.
— Enchanté. Je m’appelle Merlin et lui… tu t’appelles comment déjà ?
Un autre battement d’aile.
— Et lui, c’est Steven.
ft. ››Renard // credit ›› [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
Lun 1 Avr - 0:29
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