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    Origines
       
    Groupe : Créations

    Date de mort : 1871

    Date d'arrivée : 6 ans plus tôt

    Métier : Mécano

    Avatar : OC by Agnes Cecile
         



    Caractère / Physique
       
    Vorpaline, c'était l'épée d'une aventure, d'une fable, d'une adrénaline. Audacieux et absurde, brave et sauvage. Un chant de victoire, une ode à ceux qui osent prendre les armes.

    Et il l'est resté. Inflexible comme l'acier dont il est né, intrépide comme la justice qu'il exécutait et aussi insensé que le vocabulaire dont il est né, l'épée a de ces sourires qui vous disent tout ce qu'il y a à savoir - qu'il a des joies tendres comme des éclairs (autant dire pas vraiment), du sang couleur de fers croisés et de combats, que son énergie indomptée est celle de ceux qui n'ont jamais plié.

    Vorpal, il ose tout. Con comme un balai, vous diront certains. Con comme une épée, qu'il ripostera en riant. La vérité, c'est qu'il a l'aventure rivée au corps et au coeur. Alors Vorpal, il ose tout.

    Volatil démon hyperactif dopé au sucre et au café, aux couleurs et à la vitesse. Il aime le vrombissement d'un moteur de moto entre ses jambes, il vénère la vitesse et la bagarre, il vibre de rythme et de musique. Il aime le métal sous toutes ses formes - en concert et en soudures, en sculptures et en mécanique. Il mange trop sucré, trop épicé et ne dort pas assez. Il s'enivre de tous ces sens, de tout ce qui fera dresser des frissons sur cette peau tellement plus sensible que la lame qu'il a été. Il s'assoit sur les dossiers des bancs et des fauteuils pour lire des comics et de la poésie parce que les romans c'est trop long et trop lent. Il provoque et il trolle et il rigole.
    Il croque la vie à pleine dents - puis aussi parfois les gens.

    Vorpal, c'est resté une arme. Son tranchant est perdu mais sa létalité n'a que muté. Vorpal, il a des dents, il a des griffes et, quand tout le reste échoue, il garde une pugnacité indécrottable. Ironiquement adaptable, redoutable d'une volatilité à laquelle il a volé la moitié des lettres de son nom, il s'est pris d'amour pour toutes les formes de combat, pour les arts martiaux et l'escrime, pour la lutte au bâton et les coups échangés. Il lutte et peut importe qu'il gagne ou qu'il perde tant qu'il vit et vibre.

    D'autant que la loi, il ne connait pas. Ou de très loin, comme si le respect de l'autorité était cette maladie étrange que les autres attrappent quand lui est vacciné. La faute à son origine : qu'attendiez-vous de l'épée brandie par un gamin parti chercher le monstre qu'on lui a dit d'éviter ? Qu'attendiez-vous d'une Création sortie d'un poème de mots forgés de toutes pièces ? Non. Non, les limites existent pour être franchies et fracassées. Les limites mais pas la justice, qu'il conçoit selon cette instantanéité primitive qui veut que celui qui prenne les armes pour se défendre ait plus raison que toutes les déraisons des légalités officielles.

    Vorpaline, il griffe et rit et mord quand on l'étreint. Il rejette la tête en arrière de rire et de plaisir, la vulnérabilité de sa peau comme une couronne sur ses tempes devenues fragiles. Ephémère, lui qui était d'acier. Ephémère et sans peur.
    Parce qu'il est la lame des combats perdus que l'on gagne quand même.
    Il est l'épée qui tue le titre de son poème.

    ________

    Dans cet instant infime et infini durant lequel il a réalisé qu'il n'était qu'une Création et qu'il s'incarnait, Vorpaline s'est attendu à devenir un être gris acier aux reflets d'opale comme il l'avait toujours été - un androïde comme ceux des films, peut-être. Quelque chose de beau et d'étrange, saupoudré de terrible.

    Et quelque part, il l'est.

    Sauf qu'il tient plus de la création d'encre et de papier que de l'épée. Vorpaline, il a des airs volatiles et sublimes d'une blancheur qui flirte avec l'albinisme. Sa pâleur d'hiver traine dans son sillage en rire léger comme un envol de grue de papier, en peau de satin immaculé. Y'a quelque chose d'étrange, pour quelqu'un qui était une arme, à se retrouver en création d'esthète, tellement plus grande et tellement plus fragile.

    Vorpaline, il vous jurera qu'il atteint le mètre quatre-vingt et ce n'est pas vrai. Il lui manque un demi-centimètre, qu'il compense en une énergie insoumise et explosive, déclinée en parfum "hyperactivité" et "redbull coupée au café". Ciselé de fluidité et d'une harmonie à vous couper le souffle à défaut de la gorge, il évolue en mouvements cinglants et en réflexes détonnants, avec l'aisance sauvage de celui qui ignorerait jusqu'aux règles élémentaires de la gravité s'il le pouvait - et croyez-le, il a essayé.

    Dans ses traits tirés d'un tableau classique, les sourires de Vorpal tranchent, ses expressions coupent des angles durs contre les douceurs de son humanité jamais investie tout à fait. Alors les éclats de ses regards et de ses dents dévoilées gardent des airs de fil acéré, ourlé des rares couleurs qu'il arbore encore. Dans l'hiver éternel des teintes qu'il promène, la Création a des yeux comme des puits d'encre noire ou une galaxie volée dans laquelle l'adrénaline fait des vagues et des novas, des lèvres d'un incarnat indécent. Mais de sa forme d'origine, des couleurs qu'il portait, Vorpaline n'a gardé que ces parcelles et sa chevelure - blanche de provocation, avec des reflets d'opale et d'arc-en-ciel en reflet sur une lame d'épée. Et il l'aime, Vorpal, sa crinière comme un étendard balafré, en mèches rebelles aux longueurs disparates et pas du tout domestiquées à forces d'audaces et de témérités, de bagarres et d'accrochages.

    Vorpaline, ses couleurs lui manquent. Il portait la chatoyance en flou de mouvement, autrefois. Il était les reflets de l'opale condensés en un fil d'acier. Alors il peint sa peau et sa crinière. Sur l'albâtre de son épiderme, il laisse courir posca, doigts et feutres - des dessins de tatoueurs pros ou amateurs, voire de gosses de 4 ans, entre les bleus des coups et le rouge écorchure. Sur sa crinière, il appose des teintes de pastels et d'arc-en-ciel, éphémères de douceur contre sa fadeur débridée.

    Etrangement, en matière de vêtements, l'épée porte surtout du sobre : du noir, du gris, du brun, du blanc - et du cuir, si familier, si rassurant bien qu'il ne vous l'avouera jamais, décliné en blousons et en bottes. Des piercings quand il n'oublie pas de porter bijoux et anneaux dorés. Des casques, aussi, mais uniquement pour la musique, seule capable d'adoucir ses moeurs indomptées. Des fragrances à même sa peau de papier froissé, en un sillage qui sent la verveine, l'air avant les premières chutes de neige et l'acier damassé.

    Vorpaline, il rit comme un carillon d'acier et de platine alors, si vous vous y laissez trompez, vous oublierez - derrière sa volatilité, il est une lame d'acier sous une peau veloutée.


    Histoire
       
    Le jeune homme, ayant pris sa vorpaline épée,
    Cherchait longtemps l'ennemi manziquais...
    Puis, arrivé près de l'Arbre Tépé,
    Pour réfléchir un instant s'arrêtait.

    Or, comme il ruminait de suffêches pensées,
    Le Jabberwock, l'oeil flamboyant,
    Ruginiflant par le bois touffeté,
    Arrivait en barigoulant.

    Une, deux! Une, deux! D'outre en outre!
    Le glaive vorpalin virevolte, flac-vlan!
    Il terrasse le monstre, et, brandissant sa tête,
    Il s'en retourne galomphant.


    Vorpaline n'est même pas un nom. C'est un adjectif forgé d'imaginaire et de reflets d'opale, déformé, détourné et mal traduit. Intraduisible. Intranscriptible. Mais Vorpal aime tant de ces adjectifs en in et im. Indompté, insolent, imprévisible, incisif, indépendant, impénitent... infuriating si on lui autorise l'anglais.

    Mais Vorpaline, ce n'est pas même un nom, à peine une histoire. The vorpal sword to all vorpal swords. +10 contre tout ce qui commence par un J, vous dira sa carte Munchkin. La lame qu'on brandit pour tuer le Jabberwocky. Et c'est tout ce qu'il est : cette lame, brandie par un garçon sans nom pour tuer un monstre trop bien connu. Une arme contre les édits absurdes et les restrictions de la peur plus encore que contre la peur. De cela, Vorpal se souvient - de mains dégainant sa lame et de l'assurance qu'elles y ont de tous temps puisé. Du son de son fil tranchant l'air et la chair. Des noms qui faisaient sens mais moins que le besoin irrésistible de partir à l'aventure, mû par les membres d'autrui puisqu'il n'était que d'audace et d'acier.

    Vorpaline s'incarne en ville un beau jour. Un seul battement de son tout nouveau coeur lui suffit à réaliser qu'il n'est qu'une Création, un récit écrit avec des mots qui n'existent même pas, de l'encre sur du papier et que maintenant, il faudra être de chair et non de fer. Puis il tombe directement dans la piscine municipale - et l'ancienne épée commence sa vie humaine par une trempe. L'ironie le fait rire follement - et découvrir qu'il respire pour la première fois un air aux parfums de chlore. La sensation éclate dans ses poumons, étrange, parce que rire est étrangement plus naturel que respirer. Puis Vorpal fait connaissance avec la poussée d'Archimède et découvre qu'il ne peut en revanche pas respirer l'eau de la piscine - ni rire sous l'eau, apparemment. Mordre lui vient spontanément aussi. Le premier à tenter de l'extraire de son bassin d'eau clair en fait la douloureuse expérience. Parce que Vorpaline a désormais une volonté bien affirmée. Il veut sentir l'eau sur sa peau, la caresse de sa crinière contre le creux de ses reins, la texture du rebord contre ses doigts, le goût du sang sur ses lèvres. La sensation de l'air sur son épiderme l'incite à sortir avec une grâce de nuit d'ivresse.

    Puis il faut se recenser et apprendre à marcher. À ne pas se couper sur les lames quand on en éprouve le fil. Et le monde entier est nouveau, le monde entier est à explorer. Rien n'est plus comme avant - et rien ne peut réjouir plus l'ancienne épée. Alors Vorpal explore, Vorpal ose tout. Il grimpe sur le toit de la mairie et apprendre à conduire sans pour autant daigner passer le permis. Il rit et danse et boit en boite de nuit. Il mange trop épicé et boit trop sucré parce que les goûts éclatent contre son palais. Il découvre les téléphones portables et prend et poste beaucoup trop de photos de beaucoup trop d'âneries. Il se découvre une attirance pour les métaux, tous les métaux - les aciers, les alus, les cuivres, les ors, les musiques.

    Ce sont les métaux qui le guident dans cette ère de modernité. Vorpaline, il veut devenir épéiste. On lui dit que ça ne se fait pas, que ça n'existe plus. Non, forgeron non plus. Maréchal-ferrant ? Toujours pas. Apparemment, on ne ferre pas les motos, tant bien même elles ressembleraient à des chevaux de fer - et on ne ferre pas non plus les chevaux qui donnent leur puissance aux moteurs. Mais l'on peut réparer ces véhicules vrombissants qui vont vibrer Vorpal. Le conseiller d'insertion laisse échapper un net soupir de soulagement quand la créature mordante toute en pastels prend enfin la direction d'un apprentissage de mécanique avec l'enthousiasme suspicieux de celui qui compte débrider sa moto.

    Au désespoir général, cependant, Vorpal veut toujours devenir épéiste - combattre, partir à l'aventure, et tant pis si les dragons et les super-vilains n'arborent que des airs terriblement ordinaires. Sa pugnacité sauvage et débridée arpente les cours d'escrime, de combat au bâton, d'arts martiaux, les bagarres de bar. Sans-gêne, il harcèle les forgerons de mythe pour pouvoir créer ses propres lames. Pour le fun. Pour le frisson. Après tout, désormais, sa chair frémit comme en était incapable son fer. Tout l'intéresse. Tout est à vaincre et oublier.

    Seul son Auteur gagne le privilège de se voir ignoré - certains vous diraient évité, la Création trop indomptée pour admettre qu'il craint le lien qui risquerait de les lier si jamais ils devaient se croiser. Alors l'opalin se convainc qu'il est né de plus d'un auteur. Oh, certes, le poème d'origine est de Lewis. Mais lui ne s'arrête pas à ça, n'est-ce pas ? Lui est plus. Lui n'est pas l'épée d'un seul homme. Il est la Lame Vorpale originelle. Mille récit reprennent son nom et mettent sa garde entre les mains de héros dont le nom importe peu ; mille jeux jouent de ses forces et l'implantent dans des mondes multiples.
    Ou du moins, il voudrait bien le croire. Ce serait plus glorieux que de n'être qu'encre et papier devenus chairs de volupté.

    Terriblement adaptable, Vorpal grimpe à coup de griffes les échelons, de l'apprentissage à un niveau d'efficacité suffisant pour ouvrir son propre garage - quand il veut bien, parce que sur la porte d'entrée, un joli petit panneau plein de tâches de cambouis informe aimablement que "si quand vous tirez, rien ne se passe, c'est qu'on est fermés". La poignée offre l'accès le plus souvent en journée, parfois en soirée, parfois à 3h du matin. Parfois pas du tout, malgré les bruits de métal martyrisés au-delà du battant.

    Parce que du fond de son atelier, derrière les carcasses et les carrosseries qu'il répare, Vorpaline assemble fer et acier. Avec les beaux métaux, il crée des pièces détachées et des lames acérées. Avec les bouts dont personne ne veut, il fond des sculptures de ferraille insensées ; elles ont le visage du Jabberwocky et du Bandersnatch et parfois, elles ne ressemblent à rien sinon à un souvenir, à un avertissement. Parce que du tout fond de son être, Vorpaline sait pourquoi on oublie les héros quand on nomme les monstres et les épées. Parce que les héros sans visage se marient, ont beaucoup d'enfants et vivent heureux jusqu'à la fin de leur temps. Puis ils meurent, et les monstres reviennent - avec un nouveau visage, avec un nouvel avatar, un nouveau pouvoir, une nouvelle vengeance. Mais les monstres reviennent et il faut une épée pour les tuer, qu'un nouvel idiot intrépide brandira le temps d'une gloire ou d'une mort. Parce que les héros meurent, et que les monstres et les épées qui les tuent demeurent.

     
    Et toi, dans tout ça ?
    [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
    Âge : un quart de siècle ~

    Comment tu as trouvé le forum ? J'ai vu la lumière et me voici :huhu:

    Un petit commentaire ? Je vous aime fort <3 Pardon j'ai fait des pavééés


    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos

    Et c'est la validation !

    Bienvenue !
    Comme d'habitude tu sais que j'adore ce que tu écris, plus encore qu'avec une aussi jolie plume se ramène un joli minois. Tout en souffrance et en liberté, Vorpal possède un caractère bien trempé qui aime se laisser désirer ! Nous aimons ça! Tu es tout beau et tout fier, puissante et le récit est bien suivit, évidemment il manque d'aventure mais en même temps il est difficile de basé sa vie sur un poème. En tout cas c'est avec grand plaisir que je te valide, en espérant que tu trouves une forme de paix et de calme dans le coeur de la ville, bienvenue parmi nous et amuse toi bien sur Insomnia..

    Maintenant que tu as rempli la tâche qu'était de remplir ta fiche, je t'invite à aller remplir de quoi finaliser ton inscription.

    Pour recenser ton avatar, c'est [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Pour que ton personnage ait un lieu de travail, je te conseille également de te rendre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Et le plus important, n'oublie pas de recenser ton métier [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ! Et pour finir, venez recenser d'où vient votre personnage [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ♥ !
    Vega
    Vega
    Revelio
    Emploi : Puériculteur.
    DC : John H. Watson - Merzhin - Émile Zola
    Crédits : Jakurai Jinguji | Hypnosis Mic
    Nox
    Lumos
    Genre t'as posté ta fiche et tu me l'as même pas dit :whut: ?
    Welcome Vorpa' chou, pas trop de dégâts avec Excalibur :huhu:
    En plus tu es validé super vite, et tu écris toujours aussi bien, damn ~
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    Merci beaucoup et pour ces jolis compliments et pour la validation ultra efficace <3

    Je dirais bien que je serais sage avec Exca... mais ce serait un vilain mensonge :huhu:
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    WOUAH MAIS VORPALINE QUOI *o* C'est tellement la classe :heinhein:

    Bienvenue <3
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    Merci Magdeleine ~
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    Bienvenue (re) parmi nous ! <3 Mais les tomahawk sont mieux que les épées ! D:
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    Revelio
    Nox
    Lumos
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