insomnia
forum ouat - avatars réels - contexte évolutif
AccueilAccueil  
  • FAQFAQ  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • GroupesGroupes  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • période : printemps 2023
    Mise à jour
    Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer elit quam, elementum sed libero vitae, commodo placerat sem. Proin vel neque posuere, aliquam urna quis, mollis mi.
    annonces du ministère
    Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Sed tristique nunc dictum consectetur posuere. In ac est sit amet elit vulputate laoreet. Nam ornare, nulla at condimentum dictum, metus tellus accumsan dui, id egestas libero ipsum nec velit. Cras quis magna elit. Donec rhoncus, leo vel accumsan luctus, turpis lorem lacinia purus, sed aliquam mi magna eget dui. Orci varius natoque penatibus et magnis dis parturient montes, nascetur ridiculus mus. Donec vehicula eu magna faucibus dapibus. Nullam auctor orci tortor, quis bibendum tortor molestie eu.
    -40%
    Le deal à ne pas rater :
    Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
    59.99 € 99.99 €
    Voir le deal

    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    Tu étais récemment arrivé en ville et il t'arrivait encore de te perdre. Tu aurais dû depuis le temps essayer de te dégotter une carte pour t'aider à te repérer mais ce n'était pas une chose aisée d'en trouver une. Pourquoi perdrait-on son temps à en faire quand on savait que seuls des réincarnés pouvaient parcourir les ruelles de cet endroit et que ces fameux plans étaient surtout utiles aux touristes en voyage. Tu soupiras et tu continuas son chemin tranquillement sans pour autant être effrayé d'être seul dans un quartier malfamé en pleine nuit. Qui savait le genre de personnes qui se baladait à cette heure tardive ? Mais ton innocence te conférait autant d'avantages que de désavantages.

    Tu entras finalement dans une ruelle encore plus reculée que les autres. Elle n'était pas déserte à ta grande surprise. Trois hommes assez étranges étaient en train de fumer d'un côté. Leur attention se porta sur le champ sur toi qui soutins calmement leur regard et continuas à traverser la rue comme-ci de rien n'était mais tu aurais dû rebrousser chemin car les inconnus te barrèrent le passage et t'encerclèrent. Ils se mirent à te cracher des paroles machistes censées te draguer au visage mais tu les ignoras et tu essayas de continuer son chemin. Irrités, les trois hommes t'en empêchèrent à nouveau et l'un d'entre eux te plaqua violemment contre la paroi de la ruelle ce qui t'arracha un petit couinement de douleur. Il s'excusa sarcastiquement et te colla contre son torse pour empoigner ton fessier et te peloter sans retenue. Tu posas tes mains sur son buste pour le repousser mais il avait plus de force que toi. Tu leur dis alors que tu n'hésiterais pas à appeler la police s'ils ne te laissaient pas partir en sortant ton téléphone mais ils éclatèrent de rire et l'un des deux autres hommes attrapa violemment ton gsm pour le jeter au loin. Il se colla ensuite derrière toi et empoigna tes hanches. Ses lèvres indésirables embrassèrent à plusieurs reprises ta nuque et ta fragrance florale sembla les exciter. Le troisième homme vint humer tes cheveux comme un animal. Tu gigotas contre eux en leur demandant sèchement de te relâcher et de te laisser tranquille mais rien n'y faisait.
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos

    what a

    bad idea

    to go out at night





    Tu te fondais dans les décors les plus sombres, arpentant les rues sans destination précise. Tu aimais la nuit car elle avait l'avantage de t'envelopper de ces ombres assez réconfortantes pour que tu t'offres le plaisir de tomber le masque. Tu n'étais ni auteur, ni adjoint au maire, juste un homme qui quittait un bar pour en rejoindre un autre lorsqu'il se lassait d'une conversation. Tu n'espérais rien faire de ta soirée, et le programme te convenait amplement. Tu y trouvais ton compte, entre les moments d'ennui et les moments d’oisiveté sous lesquels le stress de tes journées s'évaporaient. À vrai dire, tu n'aurais changé cela pour rien au monde. Tu n'accordais que peu d'importance à ceux qui critiquaient tes mœurs douteuses, pour la simple et bonne raison que tu aurais pu, souvent, exposer à la vue de tous le résumé de vos échanges au creux des draps. Ou d'autres choses.

    Informations et pouvoir se révélaient être des concepts intimement liés pour ceux qui savaient comment les utiliser. Le monde était au moins aussi corrompu que toi lorsque l'on prenait le temps de gratter la surface.

    Cependant, il existait des cas exceptionnels où les murs n'étaient plus tes oreilles. Personne n'était venu vers toi pour t'avertir de la scène qui se déroulait dans cette ruelle. Personne ne t'avait prévenu, sauf si l'on croyait à une certaine forme de destinée, ce qui n'était pas ton cas. Cet écho que tu entendais n'était pas vraiment de nature à te faire accélérer le pas. Tu n'étais pas de ces preux chevaliers qui sauvaient les demoiselles en détresse en général, simplement de ces bagarreurs qui aimaient jouer avec le feu en léchant sur ses lèvres le goût encore frais d'un bourbon de qualité à la simple évocation d'une violence légale.

    Tu te dirigeas calmement vers la source du bruit, tes yeux perçant cette obscurité que tu affectionnais tant. Tu ne reconnus qui était la victime de cette agression lâche qu'une fois bien engagé dans la ruelle. Si ton sang bouillonnait d'une rage qu'il t'était difficile de contenir, tu n'étais pas fou. Tu étais parfaitement conscient qu'un trois contre un aurait été de la folie. Ce n'était pas Daphné qui allait t'aider, ce n'était qu'une femme. Les Grecs pouvaient se retrancher derrière leur déesse Athéna pour tenter de prouver le contraire, mais ses maigres capacités en stratégie militaire ne les avait pas fait rouler sur Troie de toute évidence. Heureusement qu'Ulysse, un homme, un vrai, avait pris des initiatives.

    « Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué messieurs, la demoiselle vous a exprimé un refus excessivement clair, ce que je peux décemment comprendre puisque votre physique particulier ne doit vous rendre populaire qu'auprès des animaux nuisibles. »

    La provocation semblait fonctionner à merveille. Il fallait dire que ton sourire hautain devait les mettre hors d'eux et les détourner de leur objectif principal. Alors qu'ils avançaient vers toi, tu repris ta marche sans te dégonfler. Il n'était pas question de montrer la moindre faiblesse. Devant ton assurance, l'un d'eux s'arrêta prématurément. Sans doute t'avait-il reconnu, mais ton visage se trouvait déjà à quelques centimètres de celui qui tentait de t'impressionner. Il devait apprécier la fumée de cigarette que tu lui soufflais en plein visage. Tandis qu'il esquissait un début de mouvement, sans doute pour t'attraper par le col, tu sortis ton téléphone portable. L'écran était allumé sur un message au ton furieux, mais la vue du destinataire figea sur place celui qui pensait s'en prendre à toi.

    « Je vous prierais donc de cesser vos activités immédiatement, car il se pourrait bien dans le cas contraire que je mette un terme définitif à vos écarts de conduite. Autant l'admettre, j'aimerais éviter de tâcher mes gants. Les trouillards de votre espèce ne valent jamais le prix d'un passage au pressing. Il est donc parfaitement envisageable, comme l'indique le message que j'ai préalablement envoyé, que je rapporte à votre boss ce spectacle abject, et que je l'incite fortement à se débarrasser... non, disons plutôt qu'ils mettent fin de manière radicale à votre collaboration. » L'absence de réponse t'indiqua qu'ils comprenaient que ta menace n'était pas qu'un simple bluff. Ta colère transpira alors de tes gestes. Tu écrasas ta cigarette sur le bras de ton interlocuteur soudainement bien muet, et tu savouras cet instant. Une initiative cruelle, mais tu ne considérais pas les violeurs comme des êtres humains. « Merci de votre compréhension. J'aurais grand plaisir à ne plus jamais avoir affaire à vous. »

    Tu lui donnas deux petites tapes sur la joue, à la manière d'un adulte incitant un enfant à se reprendre, bien que dans le cas présent tu leur indiquais évidemment qu'il valait mieux qu'ils déguerpissent rapidement. Tu passas à côté d'eux, main dans les poches pour rejoindre Daphné. Tu voulus prendre sa main, mais tu songeas à la possibilité qu'il pouvait encore être choqué de la situation dans laquelle il venait de se trouver. Tu évitas donc tout contact physique, restant à une distance convenable sans pour autant donner l'impression de l'éviter. Tu voulais juste le laisser respirer.

    « Tu penses que ça va aller ? Si tu veux t'asseoir un moment ou boire quelque chose, j'ai les clés d'un appartement dans la rue d'à côté. »

    I'm dying to feel again, oh anything at all


    [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

    [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum