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    Anonymous
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    Sherlock Holmes*




    Informations *

    Groupe — Créations
    Oeuvre originale — Sherlock Holmes ; Arthur Conan Doyle
    Date de mort — ///
    Date d'arrivée — Un peu plus de deux ans et demi.
    Métier — Détective privé.
    Avatar — Levi — Snk







    Physique *
    Un ciel sans étoiles présent dans ces deux prunelles sombres, un éclat que l'on ne peut distinguer ni palper, une noirceur que l'on contemple sans parvenir à saisir toute sa profondeur. Ses yeux ne sont que deux puits sans fond, sans forme, aspirant les connaissances humaines pour les garder pour lui. Car l'être est bien trop instable et anesthésié émotionnellement pour que l'on ne parvienne à y lire une quelconque émotion exacte, dans ses yeux on ne distinguera que ce flegme et une éternelle flamme désintéressée. Il fixe le monde en n'ayant plus de réel espoir de trouver un divertissement, il paraît ennuyé lorsqu'on prend parole, froid dans ses moindres extrémités. Puis un jour son visage esquisse cette minuscule mimique amusée, fascinée, ses traits durs et inertes deviennent plus souples et moins sévères, on apprécie de voir ses sourcils sombres s'éloigner l'un de l'autre, lui donnant moins l'expression froide et impénétrable. Il ne démontre rien de son jeu habile, car quelques secondes suffissent pour qu'il vous cerne dans les grandes lignes, son don d'observation étant aussi élevé que sa faible tolérance à l'ennui. Sherlock on ne peut deviner à quoi il pense, ce qu'il va dire, il demeure un mystère que même ces yeux n'osent trahir.

    Le faciès de marbre ne changeant d'expression que de manière chaotique, il garde un air d'homme mature, les traits quelque peu fins mais figés, ses aventures l'ayant permis de se raffermir. Les lèvres fines quelque peu grignotées par ces dents, asséchés par les substances qu'il laisse envahir ses veines lorsqu'il se peine à se divertir. Le sourire ne vient teindre ses traits que très rarement, il n'en reste néanmoins sincère et quelque peu étrange, ce qui l'intéresse réellement étant les actes condamnables par sa justice. Sherlock il a ce visage d'homme mûr mais pas encore atteint l'âge critique de vieillesse, cette peau veloutée et blanche, une mousse de vague que l'on aurait assemblée pour le créer. Son épiderme est si clair que le moindre contact brusque et la moindre plaie peu le marquer indéfiniment, que ses habits sombres semblent dénigrer et contraster. Il plonge dans la pénombre tout est restant toujours aussi limpide. Ironie du monde. Sherlock il a cette aura particulière, un mélange de charisme et de danger, on voudrait lui faire confiance tout autant que l'on pourrait le craindre. Et il charme néanmoins grâce à ses dons de manipulation, de cette voix grave qui hérisse les poils, profonde et insondable, encore incomprise. Une forêt noire naissant sur le haut de son crâne, à la couleur habituelle sombre purement londonienne. Ses cheveux sont aussi étranges que leur propriétaire, des fils lisses qu'il ne parvient à dompter qu'en étant coupés, les quelques restes sur le côté étant plus rasés que réellement passé aux ciseaux. Il s'est adapté à ses nombreux rôles lors de ses diverses fuites du monde, le physique l'importe peu, il ne pense pas à changer ses manières et encore moins sa coupe. Bien qu'en le voyant on puisse penser de lui qu'il soit un éternel poète gothique du XIXème siècle.

    Le corps souple encore légèrement musclé suite à ses quelques altercations, tout autant que ses quelques années de boxe et de combat à l'épée. Sa silhouette est à la fois féline et forte, de sa taille légèrement plus grande que la moyenne. Il arbore son mètre quatre-vingt, la posture droite, la démarche rapide et presque nerveuse. Son style vestimentaire restant relativement le même, il porte ces fidèles vêtements de style victorien, aux teintes sombres, les chemises restant indéniablement la marque type de son look décalé. Exclusivement de manches longues, cachant les diverses marques de morsures des seringues et d'autres loisirs qu'il aurait pu profiter. Malgré sa pudeur inexistante il demeure un être qui ne se montre pas, restant la discrétion des yeux pour ne pas attirer l'attention indésirable. Une allure de gentleman lorsqu'il attrape de ses longs doigts son parapluie, lorsqu'il joue du violon avec son air indéfinissable. On ne le verra que très rarement habillé autrement, bien que sur un moment de pure folie il puisse lui arriver de tenter d'autres choses, par simple désir d'expérimenter.

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    Mental *
    D e d u c t i o n s

    Cet art dont il est un des pères fondateurs et qu'il maîtrise dans le summum de sa perfection, dans cette posture arrogante qui le caractérise et qui ne fait qu'effleurer sa prestance. Sherlock, l'homme à la déduction exacte, aux remarques parfois déplacées et à cet incroyable mutisme lorsque le temps vient à lui arracher sa forme d'amusement. Il ne voit pas les choses comme les autres, il est bien trop ambitieux, de ceux qui vous tapoteraient la tête de cette manière condescendante en vous demandant comment vous faites pour vivre avec si peu d'aspirations, si toutefois il était friand du contact avec les inconnus. Sherlock il ne vit qu'avec sa tête, dans un monde logique et calculé, dans ses théories qui s'avèrent être vraies, dans ces ficelles entremêlées qu'il titille afin de faire bouger le monde. Entre ses doigts des chaînes invisibles et la parole d'or, la langue d'argent qui ne s'exprime que peu lorsque le sujet ne l'intéresse pas, il parvient toujours à vous enrouler dans vos propres mots. Création exquise de manipulation et de fourberie.

    L'éloquence du personnage, l'archet de virtuose frottant les cordes sensibles de son vieil instrument, il mène ses plans toujours à leur paroxysme, comme un compositeur armé de l'âme de la musique. Sherlock ce ne sont que des enchaînements logiques, qu'une vie qu'il ne distingue sans aucune implication émotionnelle. Le monde n'est qu'un enchaînement d'énigmes fades qu'il ne s'obstine plus à résoudre. Il traque sans cesse ce mystère qui pourrait le faire frémir, ce danger qui pourrait créer un typhon dans ses tripes. Il le recherche, mais a depuis bien trop longtemps perdu cette étincelle. Créature de génie dans sa forme d'art complexe, il semble exceller dans tous les domaines lorsqu'on le croise la toute première fois, lorsqu'il parvient à lire en vous vos habitudes avec facilité. Il possède ce charisme étrange qui séduit au premier abord, vous agaçant par la suite de son manque de délicatesse et de sa froideur. Il n'est qu'un homme de plus à qui on aurait tendu une capacité accrue et qui par conséquent perd tout autre caractéristique le rendant humain, restant imparfait. Il ne connaît pas les réelles normes de relations sociales ni encore morales, il vous blesse de son audace sans même s'en rendre compte. L'empathie n'existant pas dans cette poitrine ravagée par les toxines pas plus qu'il ne possédera les mêmes centres d'intérêt que vous. Il excelle dans les domaines scientifiques, ne sachant pourtant pas de choses de la vie courantes, anesthésié de ces émotions rendant les êtres à ses yeux bien trop instable.

    L'instinct cherchant à contourner et ne respectant pas toutes ces règles que l'on pourrait lui tendre. Il ne serait qu'une tête pensante qui ne parvient à sauver autrui que parce que c'est une conséquence des énigmes qu'il résout et des bêtes qu'il traque. Les criminels ingénieux sont fascinants et tout être mourra un jour. Il ne ressent pas ces sentiments d'affliction à l'idée qu'il puisse perdre quelqu'un lors de ses précieux jeux de traque. On ne cesse de pointer du doigt sa sociopathie et son manque d'empathie, son imprévisibilité l'emmenant souvent dans des situations dangereuses, tout autant que sa capacité à ne pas penser aux conséquences de ses actes. Lui ne voit cela que comme une qualité essentielle, bien qu'il puisse en pâtir lors des intempéries de son caractère. Car ces normes que vous parvenez à respecter lui les comprend mais ne cesse de flirter avec les limites, il peut les franchir avec aisance. Un simple pas de côté étant équivalent à son geste. Sherlock c'est un vide presque constant lorsque les minutes défilent, qu'il ne parvient à contrôler ses pensées furibondes, car elles sautent, toujours plus haut, qu'il les entend grésiller dans sa tête. Qu'une entité parvenant à sourire le temps d'un mystère, face au cadavre d'une jeune personne en fleur de l'âge, qu'un détective qui ne craint la roue de la Fortune et la mort prématurée. Elle ne le fait que frissonner et c'est exactement ce qu'il recherche. Sherlock il ne désire qu'une substance qui pourrait prendre le temps de quelques heures ses neurones, qu'une difficulté de plus à franchir et lorsqu'il ne se passe rien il s'ennuie, il plonge dans ce trou béant vide qui l'aspire de plus en plus, il devient soit amorphe, soit capable de beaucoup pour tenter de se divertir un minimum. Il plonge dans la drogue et dans son vice pour vaincre son manque d'attachement aux valeurs humaines et faire taire son intelligence capricieuse.

    Il est dit qu'il serait atteint de folie et que ces crimes qu'il se contente de résoudre ne lui suffiront plus. Peut-être qu'un jour il finira du côté de ceux qu'il traque ?

    Ce ne sont que des sottises.
    Malgré son caractère instable et imprévisible il demeure en lui l'âme d'un justicier et même encore après sa mort, il continuera de chercher le mal, il continuera d'y plonger et d'y sortir indemne. C'est pour cela qu'il vit et c'est pour cela qu'il continue de persévérer dans cette science exacte, car tout est bien trop amusant et intéressant, car peut-être que dans le fond finalement est-il un homme détenant un cœur malgré les remarques acerbes. Holmes c'est un orateur, un être se fichant éperdument de votre vie privée et s'immisçant sans aucune gêne dans celle-ci s'il peut y trouver un quelconque intérêt. Il possède des goûts étranges, parfois un poil macabre. Il est de ceux que l'on déteste faute d'être compris et il n'en a que faire, il méprise ceux qui ne sont point capables de le suivre tout autant qu'il garde un certain côté apte à leur expliquer le fil de ses pensées.

    Puis il y a ce vice.

    Celui qu'il dissimule aux yeux des autres, celui qu'il ne montre non pas parce qu'il y voit un quelconque inconvénient mais bel et bien parce qu'il ne possède que très peu de proches. Et parfois son masochisme le reprend, il s'hâte de combler ses lacunes affectives, devient celui qui est contrôlé plutôt que celui qui contrôle le temps d'une soirée, d'un instant. Il est plongé dans l'appréhension excitante et le plaisir coupable que cela lui rapporte, car le frisson lui existe dans cette relation étrange qu'il peut avoir avec autrui. Tout n'est qu'une question de contrôle et lui n'est pas homme à filer les rênes à autre, sauf lorsqu'il s'agit de jouer avec les cartes de son propre jeu. Il n'existe que des relations plongées dans la déchéance lorsqu'il est au centre et il en joue, il accepte d'être le temps de son plaisir la victime plutôt que le bourreau, qu'on lui fasse mal au point qu'il puisse réellement la sentir cette douleur, palper un semblant d'humanité qui semble lui échapper.

    Sherlock Holmes.
    En voilà une bonne énigme à décortiquer.

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    Histoire *
    Une simple création d'un esprit humain, il n'avait été qu'un personnage servant à divertir les lecteurs assidus, une existence factice dans les méandres d'un monde ne l'ayant jamais accueilli réellement. Une création de plus, un génie de plus, un homme de plus. Il était étrange et frustrant de ne le réaliser ainsi, qu'il n'avait pas été humain avant d'avoir posé ses pieds sur cet étrange univers nommé Insomnia.

    Les premières lignes de sa vie furent écrites en fin du XIX ème siècle, dans les années où il se faisait peu à peu connaître comme étant un détective privé consultant, œuvre de son génie et de sa quête folle de mystères et d'énigmes en tous genres. Les rues Londoniennes avaient vu grandir un étrange spécimen, devenant un homme au style sobre de cette époque et aux capacités étonnantes de déduction l'ayant mené à créer ce métier quelques peu conventionnel. Il avait été le premier à l'exercer de cette façon, sûrement un des seuls hommes ambitieux que l'on voyait courir en direction du danger plutôt qu'en direction opposée. C'était un fait ancré dans son caractère, ce goût pour le risque sans réellement se soucier de l'appât du gain et cette science exacte qu'il ne se plaisait à expliquer en détail qu'à ceux qu'il jugeait aptes à comprendre. Les expériences enrichissantes et les idées qui fusaient dans sa tête, il les entendait fredonner dans sa conscience et il cherchait encore et toujours les limites de connaissances humaines. Trouver une véritable énigme n'étant pas tâchée aisée, il se divertissait en faisant des recherches dans les domaines scientifiques et chimiques, connaissant par cœur les atomes et les réactions entre les différents composants. Il était homme discret que l'on savait faisait des recherches, mais qui n'expliquait jamais clairement lesquelles. Le genre de créature qui ne parlait pas beaucoup de sa vie privée, si encore en avait-il une avec tout le temps consacré à ses études et recherches encore mystérieuses.

    Sherlock que l'on considérait sans doute comme un homme étrange, car ses centres d'intérêt étaient pour le moins toujours liés à sa profession, car il ne connaissait pas des choses existentielles, n'était pas de ceux qui s'amusaient à écouter autrui déblatérer de sa vie qu'il jugeait inintéressante. Il était un homme de science, bien trop incompris et sans doute trop décalé pour pouvoir s'entendre avec une grande partie de la population. Il en avait conscience et s'en moquait très clairement. Ce fût d'ailleurs son caractère pour le moins atypique qui le mena à la rencontre du docteur John Watson, admirable homme médecin vétéran de la guerre. Un homme sans doute intéressant dans son caractère, aux sentiments qu'il découvrir nombreux, là où lui abordait une froideur polaire et un esprit scientifique. En ce jour-là il le rencontra dans ses plus belles disponibilités, un de ces travaux aboutissant finalement dans un résultat exquis qui aurait presque pu le faire sauter de joie. Il était et resterait toujours un homme bien trop instable.

    « Je l’ai trouvé ! Je l’ai trouvé ! J’ai trouvé un réactif qui ne peut être précipité que par l’hémoglobine ! »

    Ce furent ses premiers mots adressés à cet homme, le prélude d'une démonstration de ses capacités dans une joie presque enfantine. Il était un homme satisfait de ses compétences, bien trop ennuyé en temps normal. La suite de la discussion se poursuivit lorsqu'il en vint à lui faire une déduction sur son passé militaire. Une observation exacte qui sembla surprendre le médecin, un quotidien pourtant normal pour le détective. Étrangement de cette pour la moins imprévue rencontre ils purent partager un peu de leurs habitudes et de leurs défauts, une chose normale lorsque le topic commun et la raison de leur rencontre étant une possible colocation. Le lendemain ils visitèrent ce qui allait être leur future habitation. L'appartement 221B Bakerstreet. Une page tournée qui annonçait de nombreuses aventures.

    Et celles-ci ne se firent pas tarder, leur première affaire étant si modestement nommée par le docteur Une étude en rouge. Un mystère en somme assez intéressant, avec des indices parfois peu compris des inspecteurs de Scotland Yard. Un mot gravé aux côtés de la victime laissant croire qu'il ne s'agissait qu'une affaire de vengeance alors qu'il n'en était tout autre. Le long de ses périples plusieurs théories vinrent dans son esprit, une seule qui semblait un poil tiré par les cheveux se confirma. Cette affaire démontra que personne n'était à l'abri d'être un criminel. Ils continuèrent ainsi à cohabiter dans une atmosphère agréable, parfois ponctuée du mutisme du détective lorsque son humeur n'était plus que vague, également des mélodies nostalgiques de son violon lorsqu'il s'amusait improviser une humble musique. Ils apprirent à se connaître et à se comprendre mutuellement, John devenant une sorte de rempart sur lequel Sherlock pouvait s'accrocher lors de journées trop peu animées.


    Bien qu'il n'en connaisse que la définition exacte dans les bouquins, il se surprit pourtant à se dire que John se rapprochait de l'idée qu'on se faisait d'un ami. Et malgré le caractère plutôt attentif et souple du médecin, il le surprenait à le suivre dans ses idées plutôt peu conventionnelles. Le frisson du risque ou une réelle affection pour le détective ? Sans doute un peu des deux, ce qui rendait sa compagnie agréable et pas du tout pesante. Cependant dans une de ses nombreuses affaires, il devina une grande affection du docteur pour une jeune demoiselle venant les chercher pour résoudre un problème majeur. Son conducteur de lumière s'était-il épris de la jeune et intelligente femme ? Ce n'était pas qu'une simple théorie, et bien qu'il ne soit pas homme à se laisser vaguer par ses sentiments il aurait préféré qu'il ne lui demande pas sa main. Ce ne fût pas chose faite, à peine l'affaire résolue que son conducteur de lumière - appellation qui lui allait fort bien - annonça qu'il se mariait avec la dame Mary Morston. Sherlock l'avait accepté et lui en souhaita tout son bonheur, bien que de son côté il ne comprît pas la chose, préférant la logique et les éléments tangibles aux galères sentimentales amoureuses. Il était bien normal que l'on vienne à lui donner un côté psychopathe, sa vie amoureuse et affective étant proche du néant absolu.

    Il se sépara donc de son plus fidèle ami pour vaquer à ses occupations seul, les quelques mystères traînant encore, la ville agitée ne lui permettait pas de s'ennuyer trop longtemps. Et lorsqu'il s'ennuyait il cherchait dans l'exotisme, profitant de ses revenus plus que corrects pour voyager quelque peu, allant ailleurs que dans les rues de cette ville qu'il connaissait déjà par cœur. Il put résoudre quelques problèmes, revoyant parfois le docteur lorsqu'il lui rendait visite, ce qui était chose arrivant relativement souvent. Cependant malgré son indiscrétion il était respectueux de la vie de celui-ci, décidant tout de même de ne pas trop l'importuner. John avait une vie et une femme qui comptait à ses yeux et bien qu'il ne vive pas la même chose, le détective était néanmoins assez intelligent pour comprendre qu'il ne devait pas trop empiéter sur sa vie.

    Bien qu'il fût assez occupé, de sa froideur naturelle, il rencontra lors d'une de ces précieuses enquêtes la femme. Dénommée Irène Adler. Un esprit assez futé pour filer entre les mailles de son filet, il avait débuté cette affaire pour récupérer une photo très précieuse d'un riche homme, grand-duc de Cassel-Falstein venant taper à sa porte. Telle avait été sa mission, s'infiltrer chez la dame pour repérer l'endroit où elle pouvait bien cacher son bien accompagné de son fidèle compagnon Watson. La première partie de son plan se passa comme il l'avait prédit, il usa de ses dons et de ses déguisements pour se faire passer pour un homme passant dans le coin et finissant blessé pour sauver la demoiselle. Tout s'était déroulé selon ses plans, jusqu'à ce que le lendemain elle ait déjà filé, plus vite que l'éclair en emportant avec elle la photo tant désirée. Admirable. Simplement admirable venant de cette créature, elle avait obtenu son respect par ce geste de finesse. Elle devint la femme, non pas parce qu'il ne se souvenait point de son nom, mais parce qu'elle demeurait unique. Et cela pouvait en arranger pas mal, de croire qu'ainsi il était tombé amoureux d'Irène Adler. Il ne pipa mot à ce sujet car ce n'était pas le cas, ce n'était pas de l'amour ni un quelconque désir. Simplement une sorte de respect, une admiration de sa capacité à s'échapper malgré tout.

    Et cette vie mouvementée le devint encore plus lorsqu'il posa le doigt sur un problème plus important encore.

    James Moriarty. Sa némésis et homme qu'il désirait absolument faire tomber avec son organisation. Un criminel consultant, entité organisée et méthodique comme lui. Un homme au caractère proche mais aux ambitions complètement inverses. Sherlock se retrouva jeté sur ce problème, cherchant un quelconque moyen de le faire tomber entre les mains de la loi. L'idée était simple, s'il parvenait à l'attraper lui et sa bande il pourrait demeurer satisfait de son travail et ainsi arrêter définitivement ensuite. Et il avait prévu les choses, concoctant un plan qui devait être des plus fins, la traque devenant une dangereuse partie d'échecs car ils savaient comment réagirait l'autre et comment le contrer. Il ne lui fallait plus qu'attendre une fois les pièges posés, attendre que l'homme ne tombe et que le roi abandonne son royaume. Trois jours avant les nouvelles, avant qu'il ne réalise qu'encore une fois il restait dans la nature. James n'était pas tombé dans le piège non et le détective se retrouva face à lui à nouveau, en Suisse, lors d'un voyage avec son plus fidèle ami médecin. C'était tout ou rien, risquer de tomber lui aussi dans l'oubli de la mort en tombant avec lui. C'était un avertissement que Moriarty lui avait déjà donné, quelques jours à peine avant qu'il ne parte en voyage.

    Et il avait cru que la mort allait le frapper de son voile impartial, sans même se préoccuper de ce qui se passerait ensuite. Les quelques mots écrits et délaissés en haut des chutes étant une preuve de l'idée qu'il s'était fait de cette situation. Moriarty avait presque tout perdu, il ne le laisserait certainement pas s'en sortir sans rien. Leurs comptes allaient être réglés sur ce lieu et aucun d'eux ne s'en sortiraient. C'était ce qu'il avait cru lorsqu'il avait été mené au bord des chutes, également lorsque son ennemi lui avait bondi dessus telle une bête sauvage et incontrôlable. Pourtant Sherlock avait tenu bon, l'autre homme lui tomba dans le vide après qu'il se soit défait de sa prise, sous les yeux curieux du détective. Une feuille dans le vent s'écrasant ensuite au sol, n'importe qui aurait pu espérer que les choses finiraient ainsi. L'ennemi ultime était tombé de ton trône, alors que toutefois trois de ses hommes couraient encore dans la nature.

    Il ne pouvait pas arrêter alors qu'il y en restait encore trois.

    Alors en ne prévenant que son frère pour les revenus financiers, il se fit passer pour mort aux yeux du monde, disparaissant en se créant une nouvelle identité. Il marcha jusqu'à Florence, devenant un jeune explorateur, passant bien deux ans de sa vie au Tibet, passant quelques jours en compagnie du Dalaï-lama. Il en profita aussi pour visiter d'autres endroits, retournant en France en ayant entendu des dires comme quoi il ne restait plus qu'un seul individu de la bande à James Moriarty encore en liberté. Pour sa propre sécurité et celle de ses proches il ne prit contact avec personne d'autre que son frère, les choses étaient mieux ainsi et bien qu'il ne soit qu'un habitué à l'agréable silence de la solitude, il lui arriva de nombreuses fois où pris de remords il commença à écrire à l'encre une lettre qu'il n'envoya jamais à Watson. Au bout de trois ans, sans moindre signe avant-coureur il revint à sa véritable identité, l'appel du mystère étant plus fort que n'importe quel autre loisir et métier qu'il aurait pu explorer. Suite à ses retrouvailles avec John - qui finit par s'évanouir en le retrouvant - il fini par reprendre son ancien appartement et sa collocation, tous les deux reprenant de leur lien, bien qu'une certaine distance pouvait encore être palpable.

    Plusieurs mois s'étant écoulés, l'ennui de la routine prenant place dans sa poitrine affreusement vide. Les jours qui suivirent remplis de situations inintéressantes du point de vue du détective, il se replongea dans son hyperactivité et dans la drogue venant doucement se glisser entre ses doigts. Ce fût cette même drogue qui le tua par excès, l'anguille pénétrant une fois de trop dans sa veine, l'attaque cardiaque étant fulgurante et douloureuse. Après cet événement il se réveilla dans un univers complètement différent de son milieu naturel, peuplé de personnes pour le moins particulières et d'un mode de vie amplement différent du sien.

    Son arrivée dans ce monde l'a quelque peu perturbé dans la révélation de sa non-existence réelle. Il eût beaucoup de mal à accepter la chose tout autant qu'à se faire à ce monde et à ses nouvelles technologies. La première année remplie de découvertes l'occupa pas mal, mais bientôt le manque de son ancienne vie frappa à sa porte, le forçant à reprendre son ancien vice et même à s'en trouver d'autres.






    IRL *
    Ciao bambinos. Vous pouvez m'appeler Patate ou bien Sherly le magnifique c'est comme vous voulez. Je suis arrivé ici grâce à certains admins que je ne citerai pas, je les aime quand même, même s'ils sont sadiques. Concernant Sherlock... je suis la faiblesse quand il s'agit de prédéfinis et en le voyant j'ai pas pu m'en empêcher donc voilà me voici pour combattre le crime. #enpeignoirdanslegame Keur sur vos fesses roses.



    John H. Watson
    John H. Watson
    Revelio
    Emploi : Médecin.
    DC : Vega ♚ Merzhin ♚ Émile Zola
    Crédits : Steve Rogers - Marvel
    Nox
    Lumos
      SHERLY SHRRLY SHERLY :sempai:
      JTM OK T'ESTROP PARFAIT ET PUIS LEVI JE GNNNNN JTM FOR :kiss: :kiss:
    Anonymous
    Invité
    Invité
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    Nox
    Lumos
    Bienvenue Sherly, quand j'ai vu Levi j'en pouvais plus omg :yaa:

    Ohwi, viens fight mes crimes en peignoir. J'aurais encore plus envie d'augmenter le taux de criminalité de la ville après ça :heinhein:

    Bon courage pour la fifiche, monfuturrivalmaispastropetpasvraimentquandmême ♥️
    Anonymous
    Invité
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    Nox
    Lumos
    :heinhein: :heinhein:
    tu oublies pas mes enfants stp
    je compte sur toi
    t'es BG, mais tu le sais déjà
    & jtm aussi, mais tu le sais déjà x2
    alors bienvenue babe !
    Anonymous
    Invité
    Invité
    Revelio
    Nox
    Lumos
    Bienvenue :chanwar: j'attend ta cheminé pour venir squatter devant :srs:
    Anonymous
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    Nox
    Lumos
    JE PASSE ENFIN  !
    Sorry pour l'immense retard, j'aime donner des nouvelles quand j'avance sauf que là j'ai voulu tout poster d'un coup. Donc voilà je ne viens vous dire merci que maintenant. pastaper :nooo:

    MERCI A VOUS WESH  ! Vous êtes bô, vous êtes chauds //MEURS.
    Je viens te faire des beybeys Baba ♥️
    Sinon j'ai fini ma fiche, enfin. Chat tu peux aller me cracher tes boules de poils dessus en disant que c'est nul, je comprendrai :woooh:
    Anonymous
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    Lumos

    Et c'est la validation !

    Bienvenue mon fils, je vois que tu as été fidèle à tout ce que j'ai pus dire de toi...je te connais si bien que s'en est effrayant, je suis assez amusé de voir l'histoire de ta vie n'être que le résumé de mes écrits, mais quoiqu'il en soit je te valide et je suis très "heureux" de t'accueillir parmi nous...même si j'aurais aimé que tu te fasse oublier :huhu: .

    Maintenant que tu as rempli la tâche qu'était de remplir ta fiche, je t'invite à aller remplir de quoi finaliser ton inscription.

    Pour recenser ton avatar, c'est [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Pour que ton personnage ait un lieu de travail, je te conseille également de te rendre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] pour remplir un formulaire et obtenir un logement. De même si tu veux un joli rang sous ton pseudo, tu peux venir en réclamer un à [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Et le plus important, n'oublie pas de recenser ton métier [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ! Et pour finir, venez recenser d'où vient votre personnage [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ♥️ !
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